LA ZONE -

Mes rues sombres : paradoxe qui fait mal

Le 22/08/2005
par Bobby-Joe
[illustration] Elle est magnifique, et elle le sait, mais elle n'a nullement l'intention d'en profiter. Parfois, pour les faveurs d'un homme plus affable que les autres, elle troc ses amples vêtements, qui servent a cacher ses généreuses et troublantes formes, contre une tenue plus à la mode, échancrée et décolletée à outrance. Dévoilant ses perfections, attirants les regards, elle a alors l'impression de se travestir, de vendre son corps pour donner de l'importance au charisme de son partenaire du moment.
Ces derniers sont bien rare, d'ailleurs, a ne pas bomber le torse et a ne pas assurer leur démarche, fiers et fanfaronnant de pouvoir s'afficher avec leur dernière proie. Dans ces cas là, elle offrira son corps sans joie et sans entrain, comme un due dont elle devrait s'acquitter pour les avoir fait suinter de désir à exposer ainsi sa peau. Peut être aussi le faisait-elle, malgré tout, pour se punir d'être aussi naïve, de croire encore que les hommes puissent être intéressés par autre chose qu'une paire de seins et de fesses d'une fermeté proportionnelle à leur volume.
Quand, finalement, elle arrive à dégoter un homme dégagé de toutes ces formes d'esthétisme qui la rabaissent au rang de viande pénétrable, il s'avère que, malheureusement, elle les avait trouvé soit bizarres (un petit brun à lunettes adepte du bitume et de son histoire par exemple), soit très mauvais amants - souvent les deux à la fois.
Il s'agissait là, on le devine, du grand dilemme de sa vie… Elle avait retiré de ses nombreuses expériences plusieurs points troublants. C'était très clair dans sa tête que les hommes qu'elle attirait n'étaient uniquement soit intéressés par sa plastique, soit trop étranges pour vraiment lui plaire à elle. Elle avait rapidement découvert que les hommes qui auraient pus l'intéresser avaient visiblement peur d'elle. Son corps trop parfait, que beaucoup auraient pris comme un avantage, ne constituait, en réalité, qu'un effroyable handicap dans le domaine de l'amour.
Elle inspirait le désir, l'envie, le sexe et même, pour certains, la pure beauté. Mais les sentiments profonds de ceux qui font croire à la poésie, ceux-là ne lui étaient pas destinés. On ne peut véritablement aimer un corps. Hors, personne ne voyait autre chose en elle…
Elle avait pris le parti pendant un temps, de ne s'ouvrir qu'aux hommes "moches", espérant qu'ils auraient pus, pour cintre balancer cette tare, avoir développé une culture et une ouverture d'esprit leur permettant de s'élever au delà des considérations physiques. Grossière erreur… Qu'elle mit du temps à comprendre et à accepter. Elle se résigna. Il n'y avait pas de doutes : qu'ils soient beaux, laids ou communs; cultivés, intelligents ouverts ou étranges; riches ou pauvres; gentils ou de vrais salauds; jeunes ou vieux; les hommes n'en avaient que pour ses formes. Que pour son cul.
Nue devant eux, elle se transformait en plat divin qu'il fallait se dépêcher d'engouffrer, de peur que le rêve ne finisse avant sa toute fin. Ses seins devenaient des poires juteuses qu'on malaxait à la va-vite, ses fesses une énorme pêche dont on caressait trop peu la peau douce avant de l'écarter pour s'introduire jusqu'au noyaux. Vite, vite, avant que la déesse ne retourne parmi les siens, avant que la bombe n'explose.
Avant de le découvrir, son corps est couvert de promesses, de tendresse, on se jure de profiter de chaque instant pour se souvenir longtemps des moindres pores de sa peau, on assure de donner à ce corps le plaisir qu'évoque sa vue. On prendre son temps pour le couvrir de caresse et de baisers, par respect et pour honorer une telle perfection. Mais une fois découvert, on oublie. On lui accorde les préliminaires d'usage, à la rigueur, mais fit des beaux mots, son corps devient un objet à pénétrer de toute urgence. On palpe quelques parties charnues, mais dès les cuisses entrouvertes, on saute sur l'occasion pour s'introduire et pilonner à tout va, sans vraiment faire attention à elle. Leurs mains, leurs gestes, leurs mouvements et même, parfois, leurs cris, tout trahis leur impatience de jouir à l'intérieur de ce corps, et qu'importe le plaisir, seul compte l'acte. Vite, vite, décharger dans le rêve pour s'en vanter dans la réalité. Vite, vite, profiter du temps offert par les Dieux avec l'une des leurs. Il faudra raconter aux copains dans quel bol de luxe on a trempé sa biscotte.
On l'aime de dos, pour profiter de sa chute de reins et de sa croupe vertigineuse, pour malaxer ses fesses fermes et rebondies, pour rêver qu'on pourra la sodomiser, s'introduire dans sa rue sombre, son intimité tant convoitée.
On l'aime de face, pour apprécier le spectacle de ses lourds seins ballotants au hasard des coups de reins.
On aime voir son ventre à l'aspect si doux mais qu'on ne prend que rarement le temps d'embrasser.
On l'aime à genoux, sexe en bouche ou entre les mains, soumise comme une princesse devant son roi. Certains, s'ils en avaient les couilles, se croiraient plus important en lui crachant au visage, histoire d'asseoir une supériorité qui les ferait certainement éjaculer sur le champ.

Son corps donc, loin de lui apporter le bonheur ou même ne serai-ce que du plaisir, la rangeait dans la case des femmes bandantes qu'on ne regarde que pour se rincer l'œil, de loin, en pensant aux mecs au cul bordé de nouilles qui ont eu la chance de fourrer ce beau petit lot.
A n'en pas douter, si elle avait été moche, ou ne serai-ce que quelconque, les choses auraient été moins compliquées. Bien sur, elle aurait eut plus de difficultés à trouver un partenaire, mais elle aurait eu plus de chances de tomber sur un homme qui aurait pris plaisir à lui faire l'amour. Et quand bien même elle serait tombée sur un homme ne voulant d'elle que son vagin, qu'elle aurait pu s'en sentir flattée.
Mais il en est malheureusement ainsi : les hommes la regardent mais ne la voient pas; les hommes la touchent mais ne la caressent pas; les hommes la désirent mais ne l'aiment pas…
Elle se retrouve prisonnière de sa beauté, trop intelligente pour détruire ce corps, trop respectueuse pour en profiter, elle est un effroyable amas de douleur dans une cage dorée, nacrée et incrustée de pierres précieuses. Elle est un esprit pas sain du tout dans un corps qui l'est de trop. Elle est un paradoxe qui fait mal…

= commentaires =

P-E

Pute : 0
    le 23/08/2005 à 00:11:36
Et à part "Les hommes pensent avec leur bite", c'est quoi la morale de l'histoire?
(parceque ça on le savait déjà)
Narak

Pute : 2
    le 23/08/2005 à 01:15:16
Les femmes pensent trop ?
Aka

Pute : 2
    le 23/08/2005 à 02:05:04
C'est vraiment de Bobby Joe cette daube ?
Lapinchien

tw
Pute : 7
à mort
    le 23/08/2005 à 10:03:54
il n'y a pas que les formes qui comptent, y a aussi le fond... Ma55iv3 G3rMan H3adFucking P3n3tration RuleZ !

ainsi s'achève cette formidable histoire (ou plutot succession de tirades) consacrée à la vie ,l'oeuvre et l'hygiène intime de Ginette... La Ginette de la fameuse chanson à boire et à vomir, Ginette qu'on bourre... On ne l'aurait pas su si tourmentée, la Ginette.


Ginette qu'on bourre à la tête qui pivote et deux grosses lèvres pour sucer de plus près... de plus près... de plus près... plus longtemps... plus longtemps.... ah ah ah ah
    le 23/08/2005 à 10:25:25
My name is Ginette Toissondare
Lapinchien

tw
Pute : 7
à mort
    le 23/08/2005 à 11:16:05
La nouvelle Ginette Quatro equipée de 4 lèvres revolutionnaires en série ?
Bobby-Joe

Pute : 0
    le 23/08/2005 à 12:10:42
Hmmm...
Bha pour une fois que des mauvaises critiques me font bien marrer à ce point...
Alors bon, soit vous avez rien grillé à la base de la rubrique, soit vous êtes trop persuadés qu'il y a un style "sombre" idéal et parfait qui ne peut être que le seul utilisé sur la Zone...
'Fin bref, dans tous les cas j'suis un peu déçu que ce soit critiqué essentiellement sur la base de "c'est pas zonard"... J'aurais dus mettre qu'elle se droguait et qu'elle se coupait un doigt, ça aurait été un putain de carton...
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 23/08/2005 à 12:21:37
Ca me rappelle une chanson de Clara Bruni. Abject.
Lapinchien

tw
Pute : 7
à mort
    le 23/08/2005 à 12:24:25
ben c'est quant même un peu cliché non ? C'est ce que pensent toutes les bonasses blasées après avoir écumé les lits de villes entieres au lieu de faire un doctorat en bitologie...Quelles connes à vouloir être pareilles aux autres thons !

Vive les debats Jeune et Jolie !
Bobby-Joe

Pute : 0
    le 23/08/2005 à 13:54:12
Bha dans le principe moi j'm'en fous que ce soit cliché ou non, dans le principe ça m'emmerde juste de voir des "c'est pas zonard", alors que la seule chose qui fasse chier tout le monde, c'est que ce soit une meuf bien roulée qui est pas contente de sa petite vie et qui le vit mal. Z'êtes de toute façon tous trop moches pour comprendre...
Que ce soit mal écrit, ça, c'est tout a fait possible et tant pis pour moi, que l'histoire soit cliché, bon, admettons, mais de là à dire que c'est pas zonard, bordel de merde, on est ou là ?!? Sur la Zone ?!?
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 23/08/2005 à 14:18:22
Dans 'Bha', le -h est aspiré ?

Bobby-Joe, bien qu'on puisse trouver une certaine noirceur dans ton texte, il est tout de même compréhensible que son côté platement édifiant, quasi petit-princier, ne parvienne guère à arracher des larmes sur le sort d'une catégorie d'êtres humains à qui, en réalité, pour peu q'ils aient un minimum de discernement et sachent se servir de leurs atouts, le monde d'ici-bàs appartient.

Pour le reste, je ne dirais pas que le texte est mal écrit, mais QUE TU DEVRAIS APPRENDRE A TE RELIRE PUTAIN D'ENCULE DE REBELLE DE LA LANGUE. Y a quand même beaucoup de fautes.
Lapinchien

tw
Pute : 7
à mort
    le 23/08/2005 à 14:34:54
trop bien le riemel glauss rouge à lèvre fer à friser les cils farre à paupière gode pouffe-proof de l'Oreal/DuLuxe valentine/black&Decker...c'est le couteau suisse de la femme moderne je dirais
Abbé Pierre

Pute : 1
    le 23/08/2005 à 14:35:19
Sauf qu'on écrit "qu'ils aient" dourakinounet chéri ENCULE DE REBELLE DE LA LANGUE.
Lapinchien

tw
Pute : 7
à mort
    le 23/08/2005 à 14:38:38
trop bien mon institut de beauté... je vous present Jean-Louis et David

http://constructeur-ravalement-facade-carrelage-angouleme-charente.concept-bat.com/construction/ravalement.jpg

çà c'est des pros du visagisme
Lapinchien

tw
Pute : 7
à mort
    le 23/08/2005 à 14:42:52
N'empeche c'est vrai que le debat Zonard/pas Zonard me fait doucement marrer... Comme si les Ethiopiens, discutaient de savoir si la bouffe humanitaire est trop/ou pas assez salée...arf arf arf
    le 23/08/2005 à 14:56:31
Sais pas si c'est Zonard ou non pis je m'en suce l'orteil, à vrai dire, mais c'est chiant à lire. Ca, c'est sûr.


C'est le genre de texte qui appelle pour tout commetaire soit "ben oui" soit "et alors" (soit "lol", dans certains contextes socioculturels).
Et c'est pas bon signe.
Abbé Pierre

Pute : 1
    le 23/08/2005 à 15:10:49
Soit "slurp".
Mais c'est surtout quand on a lu les commentaires avant le texte qu'on ne lira pas.
Aka

Pute : 2
    le 23/08/2005 à 15:37:45
En même temps, à part nihil dans son résumé, qui a fait la critique que ce n'était pas zonard. Moi je dis que c'est de la daube, dans le fond comme dans la forme, que je l'ai lu sur la Zone ou sur le mur des toilettes de ta mère.
Lapinchien

tw
Pute : 7
à mort
    le 23/08/2005 à 16:57:43
yeepeee! c'est le megawaï !une mutinerie ! oui d'abord, y a que nihil qu'a dit que c'etait pas zonard, rien à battre du redac-chef-createur-dieu du site, c'est pas lui qui va donner le ton d'abord ! Oui c'est le seul à le dire... et en même temps , c'est le seul à l'avoir publié c't'article... La zone, le seul site ou on pratique l'autosubversion, c'est à dire qu'on s'oppose à soit même et à nos convictions profondes qui ne sont que des aprioris réflexes mal cernés à la con !

Commentaire édité par Lapinchien.
nihil

Pute : 1
void
    le 23/08/2005 à 17:42:13
Honnêtement, ne pas être zonard c'est pas son principal défaut. D'ailleurs il est vaguement dépressif donc pas totalement hors-de-propos. Ses principaux défauts : il est franchement fade, longuet, pas palpitant. Les complexes de la pouffiasse trop belle pour être bien considérée, c'est du rebattu, ça n'a plus le moindre intérêt, et ça fait franchement complainte niaise.
Ensuite et surtout, c'est très mal écrit, bourré de fautes et le portrait psychologique n'apporte aucune lumière nouvelle sur tout ce qu'on a déjà pu lire ou entendre sur ce genre de conneries, c'est très bas de plancher.
Et effectivement, si elle s'était tranché un doigt, ça aurait donné un intérêt au texte : ça l'aurait rendu parodique, alors que là il est juste navrant.

Pas de points positifs pour aujourd'hui.
Aka

Pute : 2
    le 23/08/2005 à 21:09:27
Moi en plus je trouve ça psychologiquement pas juste du tout, de mon pauvre point de vue de nana quoi. J'en ajouterai pas sur les autres défauts, ça a déja été dit et redit.
Tyler
    le 24/08/2005 à 08:36:35
y'a des relents de morale sexuelle, en plus, qui suintent là-dedans.
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 24/08/2005 à 10:09:20
Condamner la morale sexuelle des autres, c'est une forme de morale sexuelle totalitaire. Fasciste.

En outre, je n'en vois pas. Simplement, elle est supposée attendre autre chose et ne jamais le recevoir parce que ces vilains garnements n'en veulent qu'à son corps.
Tyler
    le 24/08/2005 à 10:34:09
ta gueule
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 24/08/2005 à 10:54:01
Agent de Pitt.
Nagash

Pute : -2
    le 24/08/2005 à 13:51:26
Je trouve les autres plutôt sévères.
Si on met de côté les fautes, je le trouve bien écrit.
Sujet maintes fois rabâché certes, mais il est ici adroitement mené et se tient plus éloigné de la caricature que la plupart des autres textes du style. On ressent bien le paradoxe..
Meme si il est un tantinet grossier par moment, l'aspect psychologique se tient.
Mais une nana ou un mec moche jugera tout ca complètement débile, c'est clair.





Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 24/08/2005 à 13:53:31
Agent de l'eau réale.
Nagash

Pute : -2
    le 24/08/2005 à 13:56:44
..ou Argent de l'Or Réal?
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 24/08/2005 à 14:00:46
Agent de la synarchie héraldiste.
Nagash

Pute : -2
    le 24/08/2005 à 14:08:04
.. ou détergent de la Monarchie Etatiste?
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 24/08/2005 à 14:11:02
Au panache plus blanc que blanc ? Y a plein de fleurs de lys qui partent pas.
Nagash

Pute : -2
    le 24/08/2005 à 14:24:59
Et à la bile plus noire que noire? Y a plein de moeurs en vices, qui hurlent le trépas.
Nounourz

Pute : 1
    le 30/08/2005 à 12:31:38
m'a pas deplu moi ce texte.
me range aux cotes du commentaires de nagash.

une remarque "trop intelligente pour détruire ce corps" je proteste, ca signifie que les autodestructeurs sont des cons. Je me sens insulte, j'exige une reparation.
Arkanya

Pute : 0
    le 01/09/2005 à 01:50:12
Moi aussi je l'ai aimé ce texte.

D'ailleurs j'ai pas bien compris pourquoi il avait fait l'objet d'un tel dénigrement. Je le trouve plaisant à lire, j'aurais même aimé à certains moments qu'il soit plus développé. La psychologie de la nana, je vois pas bien en quoi elle est bancale, d'ailleurs ce n'est pas la nana qui parle, aussi à la lecture je n'ai pas vraiment eu l'impression d'entrevoir sa logique à elle, mais plutôt celle d'un mec qui l'observe, la voit vivre et souffrir. Un mec qui a deviné ce qu'elle ressent mais reste extérieur à son problème, qui fait juste le constat stoïque d'une misère assumée.

Et puis ouais, c'est un thème connu déjà, mais bon, depuis le temps, plus personne ne peut innover, tout a déjà été vu, et la façon de traiter ce thème-là avec détachement et résignation m'a beaucoup plu.

Commentaire édité par Arkanya.
nihil

Pute : 1
void
    le 01/09/2005 à 06:55:10
Bah chacun ses goûts hein... Mais en terme d'objectivité, entre le mec qui aime tout et tout le monde et la femelle de l'auteur, on a déjà vu mieux.
Non pas que les détracteurs de ce texte soient nettement plus crédibles d'ailleurs. Tout dit ce qu'on s'attend à ce qu'il dise, pas de surprise, c'est le bon train-train habituel. Je crois que je pourrais écrire l'ensemble des commentaires moi-même et les poster en même temps que le texte, ça irait plus vite.
Désolé de refoutre le principe de la femelle de l'auteur sur le tapis, mais voir qu'il y a un commentaire d'Arka sur ce texte et se dire avant de l'avoir lu "ah tiens voilà le premier commentaire franchement élogieux pour ce texte" et pas se planter, bah forcément....

Commentaire édité par nihil.
Nounourz

Pute : 1
    le 01/09/2005 à 10:05:06
j'aime pas tout et tout le monde ! j'aime pas... euh... j'aime pas... je suis sur qu'il y a au moins un texte que j'ai pas aime, comment on fait pour avoir une retrospective des ses commentaires ?
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 01/09/2005 à 10:35:16
echo "Bonjour serveur apinc, je voudrais une rétrospective de mes commentaires, merci d'avance";
Serveur APINC
    le 01/09/2005 à 11:06:18
error at line 01 : unknown command
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 01/09/2005 à 11:35:20
echo "Saloperie de serveur anglo-saxon";
Arkanya

Pute : 0
    le 01/09/2005 à 14:13:24
...

Ok, alors là pour le coup, je trouve ça encore plus débile. Pour info les textes de Bobby, comme tu peux t'en douter, je les lis souvent avant qu'ils ne paraissent sur la Zone, et bien souvent aussi, il a droit à mon commentaire par la même occasion. Il m'est arrivé de ne pas aimer un de ses textes, de le lui dire. D'ailleurs ce texte-ci, je l'avais déjà commenté, et si je tenais à poser de nouveau mon avis en public, c'est parce que ça me gonfle que quand le grand gourou dit qu'un article est à chier, tout son troupeau de mouton suive, comme si se ranger à l'avis du chef permettait d'être bien vu ou comme si s'écarter du mouvement de groupe signifiait s'exposer aux représailles. Note qu'apparemment c'est le cas. C'est marrant de voir des gens qui passent leurs journées à fustiger l'effet de masse et condamnent les gens qui ne savent pas s'exprimer tant que l'on ne pense pas à leur place faire exactement la même chose.

Si maintenant aimer un texte, ça veut dire qu'on se fait troncher par l'auteur, en tout cas, je dois avoir une vie sexuelle vachement remplie !
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 01/09/2005 à 14:51:40
J'attends de voir comment Nihil va te répondre. Puis je te dirai que je suis toujours d'accord sur tout avec Nihil. A part quelques détails insignifiants, bien sûr. Je suis d'ailleurs très attentif à ne rien dire qui pourrait déplaire à Nihil.

Pour moi, ce texte devient d'ailleurs illogique dès les deux premières phrases ("Elle est magnifique, et elle le sait, mais elle n'a nullement l'intention d'en profiter. Parfois, pour les faveurs d'un homme plus affable que les autres, elle troc ses amples vêtements, qui servent a cacher ses généreuses et troublantes formes, contre une tenue plus à la mode, échancrée et décolletée à outrance.") : elle n'en profite pas, sauf quand ça l'intéresse ?

Quant à la fin ("Elle se retrouve prisonnière de sa beauté, trop intelligente pour détruire ce corps, trop respectueuse pour en profiter, elle est un effroyable amas de douleur dans une cage dorée, nacrée et incrustée de pierres précieuses. Elle est un esprit pas sain du tout dans un corps qui l'est de trop. Elle est un paradoxe qui fait mal…") : trop intelligente ? Du début à la fin, c'est le portrait d'une conne. Respectueuse ? D'hommes dont on nous dit implicitement que ce sont tous des connards superficiels et égoistes ? Corps sain ? un corps beau n'est pas nécessairement un corps sain. "Amas de douleur" ? Vachement émouvant, sortez les mouchoirs.

Par ailleurs, le style n'est pas exécrable, mais je ne lui trouve rien d'admirable. Par exemple : "généreuses et troublantes formes", c'est une formule toute faite qu'on a déjà lu des milliers de fois.

Arkanya

Pute : 0
    le 01/09/2005 à 15:36:21
Bien sûr, tout dans ce texte respire le paradoxe. Une conne intelligente, une femme qui ne veut pas profiter de son apparence mais qui ne peut pas s'en empêcher, qui déteste n'être qu'un objet mais attise cependant la convoitise. C'est quand même un peu le sujet, le paradoxe, c'est même le titre de l'article. Personnellement ces incohérences me semblent très humaines, voire très féminines.

Des filles comme celle-ci, j'en connais deux, qui souffrent d'être trop belles mais ne savent pas vivre autrement qu'en s'en servant comme d'une excuse pour se sentir quelqu'un. Des filles qui aimeraient bien que ça change, mais qui ne s'en sentent pas le courage, parce qu'elle n'ont jamais été rien d'autre qu'un corps, et que le regard dees autres les a façonnées. Des nanas qui vont te dire blanc et agir en noir, des paradoxes quoi.
nihil

Pute : 1
void
    le 01/09/2005 à 16:04:38
Des putes quoi.
Oups pardon, on attendait de moi une contribution plus constructive au débat. Euh... Je suis d'accord avec Dourak. Moi je suis toujours d'accord avec Dourak.

Je note au passage que dès que les gens n'ont plus le même avis que toi, c'est qu'ils se rangent à la motherfuckin' bannière du gourou. Quand ils sont d'accord avec toi (il me souvient quelques superbes lynchages, notamment sur un texte de X), t'as moins de cas de conscience quant à leur probité intellectuelle. Soit les gens sont d'accord avec toi soit ce sont des putains de moutons hein ?
Arkanya

Pute : 0
    le 01/09/2005 à 16:34:09
Mouarf, mouarf, mouarf, toi-même aussi tiens.
nihil

Pute : 1
void
    le 01/09/2005 à 16:36:55
C'est vrai. T'as raison saloperie de moutonne.
Dourak Smerdiakov

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Pute : 0
ma non troppo
    le 01/09/2005 à 16:45:41
Tout à fait d'accord.
nihil

Pute : 1
void
    le 01/09/2005 à 16:46:37
Je vous aime tous.
Nounourz

Pute : 1
    le 01/09/2005 à 20:03:31
ah non, ca c'est MA replique.
Arwen

Pute : 0
    le 15/12/2005 à 06:28:33
Elle avale?
brunette
lol    le 07/03/2009 à 17:27:33
g pa tt compri on pe me reexpliker
    le 07/03/2009 à 17:32:52
Oui. Tu prends le parapluie, tu l'ouvres, tu marches jusqu'au bout du promontoire d'Etretat, tu souris au monde, à la vie, aux embruns parfumés, tu prononces distinctement les mots aléatoires COMPONCTION LUNULE EXCALIBURNE OHLALA CASTOR YOUPIIIIIII, et tu sautes en serrant les jambes. Réessaie.

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