LA ZONE -

L'apologie de l'en-soi

Le 02/09/2002
par Relou-le-Gueux
[illustration] (note de nihil :)Voici l'unique article d'un auteur inconnu, qui n'est jamais intervenu sur les forums, ne s'est jamais manifesté, ne répond pas aux mails. Mais bon, on est pas chez les flics ici, et c'est pas un état de droit, d'ordre et de sécurité. Les frontères sont ouvertes et on a pas besoin de montrer ses papiers à l'entrée. Donc on y va avec cet article profondément incompréhensible (en plus).
Relou est un fameux découvreur de problèmes. Ne cherchez pas dans ses monologues des solutions. Mais comme l'a dit un président quelquonque de la France: "il n'y a pas de problème dont l'absence de solution n'en constitue une, à terme". Veuillez éteindre vos portables et vos épouses pour écouter, messieurs, Relou-le-Gueux dans un "sensationnel monologue" (Nouvel Obs-mensonge). Un onzième monologue qui complète les dix premiers à paraître sur demande du public.

Relou-le-Gueux :

J’ai planché sous les tranches de pingres ! Les bonnes tranches de la société ! On m’apprit jusque dans le gland que la mort est héréditaire et mon « athlétisme affectif » est, quand je brasse l’air, une poutrelle où les mots s’agglutinent. Vainement. Donc je veux perpétuer la maladie du reflet démocrate : je me regarde et j’observe. Je me sens déchiré dans ces glaces. Je me sens balancé, pétri de tous côtés, pris à partie par mes échos. Les reflets de ma vue sont trop chargés d’angoisses. Et mon angoisse est déchirée… dans le risque de ne plus aboutir à la mort. La déviance, le chemin parcouru jusqu’à trop loin dans le lointain passé des mondes émasculés.

L’Homme-Chou, c’est moi. Depuis le ventre de ma Terre j’ai conquis cette aura destructrice : souffre en ce lieu c’est ton destin m’a-t-on dit. Mais je n’ai pas souffert pauvres cons ! J’ai tangué dans la mer d’humanisme opportun. D’humanisme providentiel. J’ai banni la prière et ce matin : l’ours est venu chercher sa peau. J’ai coupé vos vivres et j’ai coupé vos bourses aussi j’ai su ce qu’on peut faire de sa conscience indicible des choses. Je suis cette vérité : ma vérité. Je suis l’ombre au-dessus des [il]lustres : je suis ce que vous nommez l’ignorance. Je suis la candeur éprouvée !

Qui peuple ce regard ? Attends, regardes-toi plus fort… Observes un peu ce fruit du monde éparpillé… Je sais qu’un nain m’habite et je sais plus encore que les glaces ont une histoire. Une illusion qui pourfend la pudeur du monde. J’attends du peu qu’on donne aux mendiants : des pantoufles de verre.

= commentaires =

Nounourz

Pute : 1
    le 13/07/2005 à 22:22:28
Ma foi, rien compris à celui-la.
l'a bien choisi son pseudo lui, c'est plutot relou.
Antrax
    le 14/07/2005 à 12:18:39
j'aimre bien la fin (mais je n'ai lu que ça - la faute denihil à frontières m'a donné la nausée, j'ai pas pu continuer - el duc et nihil sont sans doute siamois)
Kirunaa

Pute : 1
    le 15/07/2005 à 13:47:19
Whaaaa ! Le premier texte de Relou !
C'est beau !
Devil-Poison
    le 18/07/2007 à 21:04:49
L'apologie de l'en merde aurait mieux convenu comme titre.
C'était tellement incompréhensible que j'ai renoncé à lire cette chiure jusqu'au bout ,je ne le regrette pas car de toute façon les quelques bribes de texte que j'ai pu percevoir était sans aucun intêret.
    le 19/07/2007 à 00:40:28
En même temps si t'utilises "percevoir" pour "comprendre" c'est normal que tu piges pas.
Ca n'empêche pas que je sois globalement d'accord. Bourré, je suis toujours d'accord.
MantaalF4ct0re

Pute : 1
    le 02/09/2007 à 11:48:36
oui après un ptit dej alcoolique agrémenté de médocs etde lobotomie aux dessins animés ce texte passe tout seul, comme une bite de nain dans une motte de beurre.
Le Duc

Pute : 1
    le 10/11/2007 à 01:26:44
on vas dire que je suis égocentrique, ce qui n'est pas faud, mais j'aimerais savoir pourquoi Antrax à pu dire en 2005 que Nihil et moi étions siamois ? et accesoirement aussi pourquoi ?
Sinon le texte je les pas lus

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