Tu passais tout ton temps à déclamer des vers
Et à courir la gueuse ta guitare à la main
Tu savais bien jouer de tes grands yeux si verts
Et charmais mes amies en reluquant leurs seins
Et à courir la gueuse ta guitare à la main
Tu savais bien jouer de tes grands yeux si verts
Et charmais mes amies en reluquant leurs seins
Je t'ai souvent envié, toi le bourreau des coeurs
Qui te disais phénix pour mieux les allumer
Tu ne pourras jamais mesurer ma rancoeur,
Poète de mes deux, quand tu l'as embrassée
J'espère à tout le moins que tu t'es amusé
Et qu'à l'instant présent aucun regret ne point
Tu trembles ; ne t'en fais pas, je vais te réchauffer.
Oui, ça c'est un briquet, et ça c'est un bûcher
Est-il bien nécessaire de te faire un dessin ?
Tu as le feu au cul ; et je te vois cramer.
Qui te disais phénix pour mieux les allumer
Tu ne pourras jamais mesurer ma rancoeur,
Poète de mes deux, quand tu l'as embrassée
J'espère à tout le moins que tu t'es amusé
Et qu'à l'instant présent aucun regret ne point
Tu trembles ; ne t'en fais pas, je vais te réchauffer.
Oui, ça c'est un briquet, et ça c'est un bûcher
Est-il bien nécessaire de te faire un dessin ?
Tu as le feu au cul ; et je te vois cramer.