Je ne suis pas nécrophile

Le 04/10/2009
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par Yog
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Thèmes / Débile / Disjoncte
Oh cool, une nouvelle tentative minable de battre le record d'ignominie et de perversion en un seul texte. Faudrait juste comprendre qu'on ne choque un lecteur que lorsque l'on maltraite un personnage doué d'une psychologie crédible, et pas des figurants en carton-pâte. Mais hormis ce détail, c'est croustillant et assez drôle, du bon gore débile à l'ancienne, sans le moindre intérêt mais amusant. Accompagné d'un peu de Grind genre Cephalic Carnage ou Haemorrhage, ça passe.
Je me souviens avec une certaine émotion, quand même, de cette vidéo que j’avais louée, il y a de cela 2 ans et quatre mois, à plus ou moins trois jours. C’était une de ces vidéos necrophiles, bien sûr c’est illégal en France mais tu parles, dans ce sex shop ils ont de tout derrière le comptoir de caisse, si tu sais à qui et comment parler.

J’étais curieux, en fait, j’avais déjà regardé des films où des filles se font baiser par des poneys et des doberman, mais ça m’avait lassé, à force. J’ai tenté le DVD necrophile. Je dois admettre, ça m’a un peu dégoûté, les cadavres putréfiés, je me disais que ça doit schlinguer. Mais quand le gars s’est branlé dans une orbite et a créé d’autres orifices sur ce putain de cadavre, j’ai eu une semi bandaison. « Dommage, je les préfère vivantes » me suis-je dit et comme ça j’ai eu le déclic.
Pour une Bonne Soirée comme je dis, mes soirées de rêve, il faut du temps pour préparer, et puis c’est mieux de les espacer.

Voilà comment je fais. Je lustre mes accessoires, j’en ai peu pour œuvrer, pas besoin de flonflon, de l’efficace. Je prépare la Salle de Jeu, puis je pars en chasse. Je traine dans les rades un peu minables et il y a toujours une fille qui convient. Il faut qu’elle soit mignonne, donc jeune, pas trop ravagée, avec ce truc dans le regard qui dit « je suis une serial victim », elles sont dans l’alcool et quelques drogues, elles sont perdues et à moitié prostituées, à la recherche de l’oubli de leur vie merdique au fond d’un demi, et pourquoi pas d’une queue pour se faire fourrer.

Pour l’approche c’est facile, tu leur offres des bières. Il y a toujours un moment où elles se mettent à te parler de leur dernier viol subi et de tout le tralala qu’il y a eu avant, violée par papa, tonton ou beau-papa, c’est toujours la même histoire pathétique, un peu lassante.

Je me souviens de la Petite Brune. Modus operandi comme toutes ses petites sœurs de la Pitié, elle avait les yeux mouillés, ce qui me faisait bander à moitié, déjà, ainsi je lui ai proposé de l’amener chez moi boire du cognac et se faire quelques traces. Une gentille fille, elle a dit oui tout de suite.

Oh, elle l’a eue, sa C, mais je ne l’ai pas trop abreuvée par le nez pour ne pas l’avoir trop tonique, juste gaillarde et prête à du sexe un peu spécial. Elle connaissait déjà. Elle était un peu maigre, pâle, les cheveux coupés courts, elle portait un débardeur noir et un pantalon de para, elle avait des petits seins qui pointaient, un parfait petit oiseau mazouté, je l’avais bichonnée, elle était chaude et prête à être consommée.

Elle est venue bien gentiment dans la salle de jeu et a même souri comme la salope qu’elle était devant le matériel de contention. Une brave gamine, vraiment. Elle s’est déshabillée bien sagement, déjà soumise (un long entrainement dans le camp de la vie), elle a un peu cherché à me sucer, j’avais une assez jolie trique. Bien serviable, mais je l’ai calmée un petit peu en l’attachant sur la Table d’Opération et en lui fixant le bâillon boule. Ça lui donnait des hauts le cœur et c’était plaisant de voir ça. Je me suis penché sur sa chatte, rasée à blanc mais pas de frais, avec deux millimètres de repousse.

« Oh, je vais t’arranger ça, ma puce » je lui ai dit et son regard était perplexe. J’essaye toujours de ne pas perdre le regard, c’est ce qu’elles ont de plus bandant, ces gentilles petites putes.
J’ai sorti le coupe chou et la mousse à raser et je l’ai rasée bien gentiment. Ses cuisses tremblaient et son regard devenait inquiet. Elle n’avait pas tort car au final j’ai abrasé la peau de sa chatte à vif. Elle s’est pissé dessus. De peur ou pour me dégoûter, je ne sais pas, moi ça m’excite quand elles font ça. Du coup je l’ai léchée et j’ai bien savouré son sang aigre et sa pisse acide.

Une fois cela fait je suis revenu lui caresser la tête, elle avait des hoquets, hauts le cœur ou sanglots, je ne sais pas, mais c’est bien plaisant. Elle tirait sur les liens sans conviction parce qu’elle savait déjà qu’elle était foutue. Les désespérées sont bien pour ça, elles restent vigiles car elles sont résistantes, mais ne sont pas trop rétives, vu leur habitude de la prédation. « Tu es une gentille fille tu sais » je lui ai dit en caressant ses cheveux courts, assez sales et gras. « Tu te comportes bien, tu auras une Place Spéciale. » Elle a gémi sous le bâillon, dieu que c’est bon ces gémissements. J’avais une trique d’enfer.

J’ai pris l’ustensile deux en essayant de contrôler mon excitation pour que ça dure bien. Le grand couteau à découper. Elles n’en crèvent pas quand on les plante dans le bide, voilà, tu leur plante le couteau dans le bide, tu tournes un coup, tu fais gaffe à ne toucher aucune artère. Je les préfère vivantes.

La Petite Brune a bien gémi encore, brave fille. Bon, j’ai eu à prendre l’escabeau pour être à bonne hauteur pour fourrer son nouveau petit trou. Elle était vraiment bonne, je sentais ses viscères se tortiller autours de ma queue au rythme de ses spasmes. Ce qui fait que j’ai joui assez vite, avec des étoiles et des flashes dans les yeux, mais je connais le truc, je m’améliore à chaque fille, je me tiens bien les couilles pour pas lâcher la purée de suite, je garde toujours le meilleur pour la fin, un beau final, c’est ça qui signe une Bonne Soirée, une soirée de rêve.

De toute façon, excité comme j’étais (j’en tremblais) j’aurais rebandé derechef.

La Petite Brune pleurait en silence, son visage essayait de se tordre, j’ai léché ses larmes et passé la langue sur ses yeux qu’elle a fermé très fort. Vraiment bien conciliante, gentille.

Je suis passé à l’ustensile trois, que je garde dans une belle boite en cuir, enchâssé dans du velours : la Cuiller à Pamplemousse. Je souriais, la tension sexuelle était proche du point culminant. Je lui ai fait passer la cuiller devant les yeux. Elle était étincelante, je l’avais bien astiquée en pensant à ce soir là. La Petite Brune voyait ses yeux à l’envers dedans, elle les a à nouveau fermés en plissant avec détermination les paupières.

« Bon, je lui ai dit, tu as été gentille jusque là tu ne vas pas faire la vilaine maintenant, si ? Allez, ouvre moi tes jolis yeux, ma chérie » Elle n’a pas obtempéré. Je crois qu’elle ne pouvait pas en fait, ce qui m’a obligé à lui garder l’œil droit ouvert avec la main gauche, pour commencer à contourner l’œil avec la cuiller à pamplemousse. J’ai senti la résistance du muscle optique, j’ai fait un petit mouvement circulaire avec la cuiller, en l’utilisant comme une petite scie. C’est un peu sa fonction d’ailleurs. Puis plop, l’œil est sorti d’un coup. Je l’ai posé sur un plateau à côté.
Une giclée de sang du plus bel effet, l’œil gauche devenait vitreux
J’ai donné des petites claques à la Petit Brune
« Oh, me lâche pas maintenant chérie, t’es bonne. Allez, tu vas pas tourner de l’œil »
Je n’avais pas fait exprès mais ça m’a fait rire. C’était très agréable et je me suis promis d’en ressortir de similaires aux suivantes. J’ai repris le tabouret pour la fourrer dans l’orbite en regardant l’œil rescapé qui se noyait, qui était perdu. J’ai giclé très fort, dommage que ça m’ai fait fermer les yeux et lâcher le regard de la fille mais putain c’était trop bon. Ma queue a continué à palpiter un bon moment, bien soutenue par les secousses du sang qui continuait à pisser.

Les lèvres de la Petite Brune devenaient violettes et elle bavait de la mousse autours de la boule, je me suis dit qu’il fallait se dépêcher. Je les préfère vivantes et une m’a claqué dans les pattes comme ça une fois. J’ai fait sauter l’œil gauche d’un geste expert et posé l’œil à côté de son copain. J’ai vite pris l’appareil photo « Souris chérie, c’est pour la postérité » et j’ai pu avoir un très beau shoot de cette adorable petite, le sang, le sperme, les larmes, la mousse de sa salive, les lèvres violettes, tout y était. Je me branle souvent en regardant cette photo, pour pouvoir retarder la préparation de la prochaine soirée.

Juste après le shoot elle est crevée.

Là je m’en désintéresse, car je les préfère vivante. Je m’essuie la bite dans un Sopalin, ensuite c’est du rangement et de l’organisationnel chiant.

J’avais encore le cœur qui tapait fort donc je me suis octroyé un cognac et une clope. Je l’ai écrasée dans l’orbite droite. Enfin, noyée serait plus juste.


C’est toujours pareil ensuite, ces putain de filles ont pas de vie, ou si peu, à part des potes de troquet elles n’ont personne, ça prend longtemps avant qu’on les cherche, et on les cherche pas fort, vu leur comportement de serial victim, tout le monde savait que ça arriverait un jour, elle a du se foutre en l’air dans un coin, gentille mais bonne pour l’asile. En tout cas personne ne les cherche dans le sol de ma cave.


Mais la Petite Brune, c’était il y a quatre mois et la photo ne suffit plus. Je me remets à astiquer la Cuiller à Pamplemousse et en imaginant la prochaine Bonne Soirée, soirée de rêve, fatalement je m’astique le manche dans la foulée.

Tu vois, c’est pas compliqué