"Über, Über über alles,
über alles in der Welt.
Wenn es stets zu Schutz und Trutze
brüderlich zusammenhält,
von der Maas bis an die Memel,
von der Etsch bis an den Belt.
Über, Über über alles,
über alles in der Welt."
über alles in der Welt.
Wenn es stets zu Schutz und Trutze
brüderlich zusammenhält,
von der Maas bis an die Memel,
von der Etsch bis an den Belt.
Über, Über über alles,
über alles in der Welt."
En éditant grossièrement l'hymne national allemand, le narrateur voulait marquer les consciences dans le dossier "l'Über et l'argent d'Über". En effet, ces paroles composées par l'écrivain August Heinrich Hoffmann von Fallersleben en 1841 sur l'île de Heligoland, et en particulier ce fichu premier couplet, n'étaient plus chantées aujourd'hui puisque les allemands n'entonnaient plus que le troisième couplet, consensuellement bisounoursien. Chanter le premier et le second couplet, c'était pour ainsi dire se revendiquer d’extrême droite voire carrément nazi, Aussi après avoir pensé qu'il était rudement fortiche, le narrateur se rendit compte de l’ineptie d'une démonstration par analogie dans la délicate problématique des plateformes et de l'überisation du travail. Il avait honte. "Pas un paragraphe, pas même un contradicteur, si ce n'est cette fichue autocensure qui rouille et qui grippe, et déjà un point Godwin.", songea le narrateur puis il décida qu'il en avait déjà trop fait et marqua un point final.