(pour les gens qui n'auraient pas de moteur de recherche sous la main, voici un lien à copier/coller : http://www.loree-des-reves.com/)
L’OREE DES CAUCHEMARS
Voila qu’a la faveur d’un « clic » malencontreux, voilà je m’égare dans quelque site, ou revue numérique funeste… La revue (anti-)littéraire « l’Orée des cauchemars » est un véritable cloaque remplie de viles personnes, des « fachorthographiques », qui n’écrivent pas mais rédigent d’infectes insanités en bon français. Sur le site « l’Orée des cauchemars », « on fait pas dans le social », ni dans la dentelle, les auteurs an-orthographiques y sont jetés dans les limbes infernales d’une dictée imbécile, celle d’une dictatrice inhumaine enseignant le dégout de l’écriture, voire même, de la littérature, disons-le, dans la revue l’Orée des cauchemars, attention, il ne faut pas mettre un pied de travers, et les dictionnaires de la rime et du « comment il faut » seront là pour vous « dirigèrer ». Sur le site, l’Orée des cauchemars, « on exige », on exige de vous, que vous fissiez des phrases bien propres, ce que vous mettez dedans… on s’en fout. A l’Orée des cauchemars, finalement, on n’y est pas si « exigeant » … dans le site « l’orée des cauchemars », où on accepte de poète, que celui qui se soumet, qui se soumet à la dictature de l’anonymat. Et aussi, à l’Orée des cauchemars, on n’aime pas être dérangé dans les certitudes arbitraires du bon esprit obtus, et les « vrais » écrivains ne peuvent y être que des momies. Sur le site, « l’Orée des cauchemars » … etc. Heureusement, le cauchemar, c’est un peu comme l’Enfer, on finit toujours par en sortir, même si une seconde et l’éternité s’y équivalent…
Voila qu’a la faveur d’un « clic » malencontreux, voilà je m’égare dans quelque site, ou revue numérique funeste… La revue (anti-)littéraire « l’Orée des cauchemars » est un véritable cloaque remplie de viles personnes, des « fachorthographiques », qui n’écrivent pas mais rédigent d’infectes insanités en bon français. Sur le site « l’Orée des cauchemars », « on fait pas dans le social », ni dans la dentelle, les auteurs an-orthographiques y sont jetés dans les limbes infernales d’une dictée imbécile, celle d’une dictatrice inhumaine enseignant le dégout de l’écriture, voire même, de la littérature, disons-le, dans la revue l’Orée des cauchemars, attention, il ne faut pas mettre un pied de travers, et les dictionnaires de la rime et du « comment il faut » seront là pour vous « dirigèrer ». Sur le site, l’Orée des cauchemars, « on exige », on exige de vous, que vous fissiez des phrases bien propres, ce que vous mettez dedans… on s’en fout. A l’Orée des cauchemars, finalement, on n’y est pas si « exigeant » … dans le site « l’orée des cauchemars », où on accepte de poète, que celui qui se soumet, qui se soumet à la dictature de l’anonymat. Et aussi, à l’Orée des cauchemars, on n’aime pas être dérangé dans les certitudes arbitraires du bon esprit obtus, et les « vrais » écrivains ne peuvent y être que des momies. Sur le site, « l’Orée des cauchemars » … etc. Heureusement, le cauchemar, c’est un peu comme l’Enfer, on finit toujours par en sortir, même si une seconde et l’éternité s’y équivalent…