Planquez-vous ! C’est à mon tour de me coller à l’édito…La dernière fois j’ai passé la main comme j’avais rien à raconter sur l’actu du moment que je ne connaissais même pas d’ailleurs. Du coup après une habile tractation avec nihil, je lui ai promis de faire les deux éditos à venir, un vieux pneu et un tic-tac, s’il prenait mon tour, ce qu’il a accepté volontiers…
enfin çà c’est notre petite tambouille interne, comme quand le docteur Ross échange son tour de garde avec le docteur Green dans Urgences, je sais que vous vous en cognez royalement mais que c’est hyper pratique pour moi pour faire du remplissage. (Merci Michael Chrichton pour ce petit coup de main sûrement involontaire de ta part) Les jours passent et l’image d’illustration du dernier édito ne cesse de descendre sur la colonne des previews d’articles, signe qu’elle va bientôt disparaître et que le moment sera donc venu de pondre un nouvel édito… angoisse… tachycardie… Sueurs froides… insomnies des jours durant…. Voila-t-y pas qu’elle vient à disparaître et que je n’ai toujours rien à raconter… youpi ! pas de sabre de samouraï sous la main, on m’a coupé le gaz et l’électricité le mois passé, mes fenêtres sont fermées de l’extérieur, en gros aucun moyen d’échapper à la corvée par voie suicidaire comme j’ai l’habitude de le faire… Je vous avoue que je n’ai même pas envisagé de trouver une excuse bidon comme la dernière fois… Du coup je me suis souvenu que sur la Zone, quand on a rien à dire, on peut toujours recycler de vieux déchets du forum… J’ai donc lancé une double initiative. La première qui servait de diversion consistait à recueillir vos idées du moment pour les récupérer à mon compte et en faire un édito… Cette initiative à complètement foiré comme le prévoyait à peu près mon plan sournois. Et c’est là qu’intervient la seconde initiative innocemment intitulée « Qui aura le dernier mot ? ». Comme je m’y attendais à peu près elle a eu un succès fulgurant (vous êtes vraiment prévisibles et stupides…) Vous avez tous voulu avoir le dernier mot et vous avez participé comme des guedins oufs dans leur chetron… de vrais petits militants de partis politiques, c’était pathétiquement pitoyable…
Père de la psychanalyse, souvent controversé, Sigmund Freud est sans aucun doute l'un des scientifiques qui aura le plus influencé la pensée de son siècle. Né à Freiberg (Moravie) le 6 mai 1856, Sigmund n'a que trois ans lorsque son père, un négociant en textile, doit faire face à la faillite économique. Tous ses biens perdus, la famille Freud se réfugie à Vienne en 1860… hum pardon. Revenons à nos moutons…
Si j’ai fait un copier coller partiel de la biographie de Freud, c’est que je ne voulais pas me faire chier à introduire la suite de cet édito bancal. Vous vous êtes laissé allé dans un brainstorming du feu de dieu, vous vous êtes lâché sur le forum et sans même le savoir vous m’avez offert une précieuse substance, un peu de jus de vos cerveaux… En effet, grâce à tous ces mots aléatoires livrés sans la moindre arrière pensée, je peux maintenant tâter le vrai pouls de la Zone, mesurer la température rectale du site, et ce par le biais d’une petite psychanalyse de groupe…
Opéré une première fois en 1923 pour un début de cancer à la mâchoire, Freud souffrira tant de la progression du mal que le 21 septembre 1939, il demande à son médecin d'abréger son calvaire. Deux centigrammes de morphine le plongent dans le coma. La légende veut qu’il en meure deux jours plus tard. Mais en réalité, Freud n’est pas vraiment décédé ce jour là. Un embaumeur a extirpé son cerveau de sa boite crânienne par ses narines et l’a plongé dans un bocal rempli de formol. Il y est resté plus de 40 ans sans qu’on en trouve le moindre usage. Il finit même par se perdre. En 1979, il est retrouvé dans son goûté par Bill Gates. Il est sur le point de l’avaler d’un seul tenant mais le sauve in extremis. Il le sort du formol, lui branche deux trois électrodes et le relie à un processeur d’Amstrad 464… Il lui implémente même une petite interface qu’il programme en Qbasic. Le biologiciel Freud-bot 79 voit alors le jour. Il fonctionne un peu comme la Dolorean de Retour vers le Futur à la fin du premier volet, sauf qu’au lieu de convertir des ordures et détritus en énergie nucléaire, il transforme une liste de mots en analyse psychologique… heu en gros, il ne fonctionne pas du tout comme la Dolorean de Retour vers le Futur pardon. Bill Gates détruisit le premier model de Freud-bot le 1er janvier 1980. Il avait consommé pour la première fois de sa vie du Champomy pour célébrer le fameux passage à l’obscure décennie des eighties. J’en appelle donc aux plus grands historiens de notre temps pour qu’ils corrigent cette coquille dans la biographie de Freud. Il est mort en réalité le 1er janvier 1980, aux suites d’un violent claquage de gerbe dans ces circuits intégrés.
De nos jours, la technologie a beaucoup évolué et il suffit d’un cerveau de gerbille et d’une puce de carte téléphonique pour émuler le Freud-bot 1979. J’en ai un sous la main justement. Je m’apprête donc à entrer vos mots à la con dans sa base de données, le Freud-bot 79 va les digérer et automatiquement se mettre à simuler l’esprit torturé de la personne ayant pondu cette liste de commissions…. En gros, il va incarner la Zone. Je pourrais ensuite l’interroger. Un petit instant la jauge est presque à 100%. Ahh voilà … bon ben j’interviewe maintenant…
Lapinchien : « Bonjour la Zone, comment allez-vous ? »
La Zone : « çà va mon gros Poney… à donf dans la Puériculture ! »
LC: « heu… Vous voulez dire que nous les zonards sommes un peu comme vos gamins ? »
LZ : « Pas du tout, je suis Spermophile… »
LC : « Bwarf ! Dois-je en conclure, d’après cette tournure imagée incompréhensible, que dans un sens nous sommes l’expression de vous-même et que parallèlement vous vous nourrissez de nous ? »
LZ : « Oui… Je suis agriculteur et Herbivore… Si j’étais peintre, vous seriez des fils de peintre… Si vous étiez des pommes de Terre, je serais agriculbutateur dans ton cul, j’en serais alors malade, et vous seriez ma cure, ma médecine… On pourrait dire qu’alors je serais Homéopatate de vous, car vous me guéririez à petites doses tout en étant mes poisons en grandes quantités… »
LC : « La Zone ! Bordel ! Mais vous n’êtes qu’une saloperie d’ersatz de Jean Claude Vandamme en fait ? C’est quoi ce p’tain de Freud-bot 79 pourri mal réglé de merde ?»
LZ : « Cesse d’exciter mes Zygomatiques ! Ta pensée a besoin d’un Assainissement mon enfant ! On a qu’a dire que c’est un Lapsus de ta part… mais n’insiste pas, je pourrais prendre cela pour de l’Outrecuidance…»
LC : « Heu… Ok… Je poursuis mon interview alors…Qu’est ce que l’inconscient d’un site ? »
LZ : « Et bien… Imaginons que je sois un champ de choux-fleurs piétiné par les Tricératops que vous êtes. Ma conscience serait alors un outil de labour, une Tractopute par exemple… un truc Motoculturel en gros pour m’autocultiver… Si par contre, vous étiez mes choux-fleurs alors à ce moment là, ma conscience serait une bonne grosse Cohalimace convoitée par les Gastéropodistes, elle serait votre parasite et vous boufferait… »
LC : «Ah non en fait vous êtes la caricature de Cantona dans les guignols en fait… »
LZ : « Héréticon ! Foutraitre ! Tu cherches la bataille nasale avec ton gros tarin qui renifle pas là où qui faudrait ? »
LC : « Heu non, je cherche à remplir du vide pour construire un édito et me sortir d’un piège à la con que j’ai tendu et où je suis tombé par hasard… Bon je poursuis vous vexez pas où je te débranche ta race comme je l’ai fait pour mon grand père qui voulait pas bouffer son Blédina ! La Zone, bonjour tout d’abord… Êtes vous un site subversif ? »
LZ : « subversif ? au sens latin du terme ? de sub, sous et versare,verser ? Non pas vraiment… Je ne cache pas la poussière sous les tapis Capétiens… Je ne cherche pas à faire du nettoyage de fond avec mon gros rétropulseur anal ni mon légendaire éternuement génital… Par contre je suis subversif dans le sens où je suis composée de sous versets de presques religions ne se clamant même pas telle quelles que vous, Zonards, construisez jour après jour pour mieux les démonter ensuite… Bande de branleurs de missionnaires à deux balles ! Arrêtez un peu de vous foutre des Vibropasteurs et des Cucurbicétacé au Troululu ! çà me fait des guilis et je vais finir par chopper le scorbut, ou une Bronquiniolite ou une coculine... »
LC : « Ce jeu pourri à deux balles commence à me gaver… Pouvez vous me donner la liste des mots que je n’ai pas encore utilisé s.v.p. que je parte en week end ?
LZ : « Numérisation, Cabrioliste, émille gorgonzola, écrivain-fromager, pianiste, Babarbite, Syndicope, capitalistick, fléchette-pantoufle, Bredingotte, Poilsdesardine… »
LC : « Merci je crois que je viens de faire coup double… signer l’édito le plus pourri et le plus incompréhensible … Bien fait pour ta gueule… Bien fait pour vos gueules…»
Père de la psychanalyse, souvent controversé, Sigmund Freud est sans aucun doute l'un des scientifiques qui aura le plus influencé la pensée de son siècle. Né à Freiberg (Moravie) le 6 mai 1856, Sigmund n'a que trois ans lorsque son père, un négociant en textile, doit faire face à la faillite économique. Tous ses biens perdus, la famille Freud se réfugie à Vienne en 1860… hum pardon. Revenons à nos moutons…
Si j’ai fait un copier coller partiel de la biographie de Freud, c’est que je ne voulais pas me faire chier à introduire la suite de cet édito bancal. Vous vous êtes laissé allé dans un brainstorming du feu de dieu, vous vous êtes lâché sur le forum et sans même le savoir vous m’avez offert une précieuse substance, un peu de jus de vos cerveaux… En effet, grâce à tous ces mots aléatoires livrés sans la moindre arrière pensée, je peux maintenant tâter le vrai pouls de la Zone, mesurer la température rectale du site, et ce par le biais d’une petite psychanalyse de groupe…
Opéré une première fois en 1923 pour un début de cancer à la mâchoire, Freud souffrira tant de la progression du mal que le 21 septembre 1939, il demande à son médecin d'abréger son calvaire. Deux centigrammes de morphine le plongent dans le coma. La légende veut qu’il en meure deux jours plus tard. Mais en réalité, Freud n’est pas vraiment décédé ce jour là. Un embaumeur a extirpé son cerveau de sa boite crânienne par ses narines et l’a plongé dans un bocal rempli de formol. Il y est resté plus de 40 ans sans qu’on en trouve le moindre usage. Il finit même par se perdre. En 1979, il est retrouvé dans son goûté par Bill Gates. Il est sur le point de l’avaler d’un seul tenant mais le sauve in extremis. Il le sort du formol, lui branche deux trois électrodes et le relie à un processeur d’Amstrad 464… Il lui implémente même une petite interface qu’il programme en Qbasic. Le biologiciel Freud-bot 79 voit alors le jour. Il fonctionne un peu comme la Dolorean de Retour vers le Futur à la fin du premier volet, sauf qu’au lieu de convertir des ordures et détritus en énergie nucléaire, il transforme une liste de mots en analyse psychologique… heu en gros, il ne fonctionne pas du tout comme la Dolorean de Retour vers le Futur pardon. Bill Gates détruisit le premier model de Freud-bot le 1er janvier 1980. Il avait consommé pour la première fois de sa vie du Champomy pour célébrer le fameux passage à l’obscure décennie des eighties. J’en appelle donc aux plus grands historiens de notre temps pour qu’ils corrigent cette coquille dans la biographie de Freud. Il est mort en réalité le 1er janvier 1980, aux suites d’un violent claquage de gerbe dans ces circuits intégrés.
De nos jours, la technologie a beaucoup évolué et il suffit d’un cerveau de gerbille et d’une puce de carte téléphonique pour émuler le Freud-bot 1979. J’en ai un sous la main justement. Je m’apprête donc à entrer vos mots à la con dans sa base de données, le Freud-bot 79 va les digérer et automatiquement se mettre à simuler l’esprit torturé de la personne ayant pondu cette liste de commissions…. En gros, il va incarner la Zone. Je pourrais ensuite l’interroger. Un petit instant la jauge est presque à 100%. Ahh voilà … bon ben j’interviewe maintenant…
Lapinchien : « Bonjour la Zone, comment allez-vous ? »
La Zone : « çà va mon gros Poney… à donf dans la Puériculture ! »
LC: « heu… Vous voulez dire que nous les zonards sommes un peu comme vos gamins ? »
LZ : « Pas du tout, je suis Spermophile… »
LC : « Bwarf ! Dois-je en conclure, d’après cette tournure imagée incompréhensible, que dans un sens nous sommes l’expression de vous-même et que parallèlement vous vous nourrissez de nous ? »
LZ : « Oui… Je suis agriculteur et Herbivore… Si j’étais peintre, vous seriez des fils de peintre… Si vous étiez des pommes de Terre, je serais agriculbutateur dans ton cul, j’en serais alors malade, et vous seriez ma cure, ma médecine… On pourrait dire qu’alors je serais Homéopatate de vous, car vous me guéririez à petites doses tout en étant mes poisons en grandes quantités… »
LC : « La Zone ! Bordel ! Mais vous n’êtes qu’une saloperie d’ersatz de Jean Claude Vandamme en fait ? C’est quoi ce p’tain de Freud-bot 79 pourri mal réglé de merde ?»
LZ : « Cesse d’exciter mes Zygomatiques ! Ta pensée a besoin d’un Assainissement mon enfant ! On a qu’a dire que c’est un Lapsus de ta part… mais n’insiste pas, je pourrais prendre cela pour de l’Outrecuidance…»
LC : « Heu… Ok… Je poursuis mon interview alors…Qu’est ce que l’inconscient d’un site ? »
LZ : « Et bien… Imaginons que je sois un champ de choux-fleurs piétiné par les Tricératops que vous êtes. Ma conscience serait alors un outil de labour, une Tractopute par exemple… un truc Motoculturel en gros pour m’autocultiver… Si par contre, vous étiez mes choux-fleurs alors à ce moment là, ma conscience serait une bonne grosse Cohalimace convoitée par les Gastéropodistes, elle serait votre parasite et vous boufferait… »
LC : «Ah non en fait vous êtes la caricature de Cantona dans les guignols en fait… »
LZ : « Héréticon ! Foutraitre ! Tu cherches la bataille nasale avec ton gros tarin qui renifle pas là où qui faudrait ? »
LC : « Heu non, je cherche à remplir du vide pour construire un édito et me sortir d’un piège à la con que j’ai tendu et où je suis tombé par hasard… Bon je poursuis vous vexez pas où je te débranche ta race comme je l’ai fait pour mon grand père qui voulait pas bouffer son Blédina ! La Zone, bonjour tout d’abord… Êtes vous un site subversif ? »
LZ : « subversif ? au sens latin du terme ? de sub, sous et versare,verser ? Non pas vraiment… Je ne cache pas la poussière sous les tapis Capétiens… Je ne cherche pas à faire du nettoyage de fond avec mon gros rétropulseur anal ni mon légendaire éternuement génital… Par contre je suis subversif dans le sens où je suis composée de sous versets de presques religions ne se clamant même pas telle quelles que vous, Zonards, construisez jour après jour pour mieux les démonter ensuite… Bande de branleurs de missionnaires à deux balles ! Arrêtez un peu de vous foutre des Vibropasteurs et des Cucurbicétacé au Troululu ! çà me fait des guilis et je vais finir par chopper le scorbut, ou une Bronquiniolite ou une coculine... »
LC : « Ce jeu pourri à deux balles commence à me gaver… Pouvez vous me donner la liste des mots que je n’ai pas encore utilisé s.v.p. que je parte en week end ?
LZ : « Numérisation, Cabrioliste, émille gorgonzola, écrivain-fromager, pianiste, Babarbite, Syndicope, capitalistick, fléchette-pantoufle, Bredingotte, Poilsdesardine… »
LC : « Merci je crois que je viens de faire coup double… signer l’édito le plus pourri et le plus incompréhensible … Bien fait pour ta gueule… Bien fait pour vos gueules…»