Alors tas de mécréants, je vous ai manqué durant mes longues croisades?
Désolé de cette absence, mais l'appel des caillots de sangs et des cris suppliants de jeunes vierges a été plus fort que tout.
De retour, j'ai écrit cette lancinante lamartinerie avec le jus d'entrailles des enfants de mes victimes, afin de clamer haut et fort mon retour et prouver que le détraqué que je suis n'a pas changé... en bien!
Désolé de cette absence, mais l'appel des caillots de sangs et des cris suppliants de jeunes vierges a été plus fort que tout.
De retour, j'ai écrit cette lancinante lamartinerie avec le jus d'entrailles des enfants de mes victimes, afin de clamer haut et fort mon retour et prouver que le détraqué que je suis n'a pas changé... en bien!
Encore une nuit sans étoiles au chapitre trois de mon arrogance, à l’acte X du lit vide de mon cœur, bordé par mes espérances.
Pantois devant la fatalité de mon délire, voila que j’implore mon jugement ! Pour chatouiller cet orgueil moisi, qui te sépare à présent.
Puisque ma vie n’est pas un exemple de droiture ; car je pêche par allégresse. D’ailleurs, moi, je ne cherche pas l’absolution, mais juste nos caresses.
Pitié ! Je veux mourir encore, et encore, giflé par ton mépris, me plonger à l’abysse de ces yeux, qui expriment le souci et pousser tes limites, voir ce que tu as dans le ventre ! Voir naître l’appréhension de ne pas comprendre où tu entres, toute enveloppée du noir qui plane autour de ton corps, pour enfin fusionner en toi en te serrant trop fort.
Je veux vivre cette tragédie, pour a nouveau pleurer et souffrir, vomir, gémir, te contraindre à me violenter. Sache que chaque barrière que je vois se former, chaque objection que tu émets, n’est en fait qu’une sadique recherche à te voir tomber, là où tu n’avais jamais été.
06/04/05
« Saigne moi… et aime moi ! »
Mais le mirage se disperse, au fur et à morsure que j’approche, que je sens ton odeur, que j’entrevois nos reproches.La liberté à un prix, mais serais-tu partante pour le payer ? Car il est vital que j’embrasse ton ombre pour à jamais l’aimer….
Pantois devant la fatalité de mon délire, voila que j’implore mon jugement ! Pour chatouiller cet orgueil moisi, qui te sépare à présent.
Puisque ma vie n’est pas un exemple de droiture ; car je pêche par allégresse. D’ailleurs, moi, je ne cherche pas l’absolution, mais juste nos caresses.
Pitié ! Je veux mourir encore, et encore, giflé par ton mépris, me plonger à l’abysse de ces yeux, qui expriment le souci et pousser tes limites, voir ce que tu as dans le ventre ! Voir naître l’appréhension de ne pas comprendre où tu entres, toute enveloppée du noir qui plane autour de ton corps, pour enfin fusionner en toi en te serrant trop fort.
Je veux vivre cette tragédie, pour a nouveau pleurer et souffrir, vomir, gémir, te contraindre à me violenter. Sache que chaque barrière que je vois se former, chaque objection que tu émets, n’est en fait qu’une sadique recherche à te voir tomber, là où tu n’avais jamais été.
06/04/05
« Saigne moi… et aime moi ! »
Mais le mirage se disperse, au fur et à morsure que j’approche, que je sens ton odeur, que j’entrevois nos reproches.La liberté à un prix, mais serais-tu partante pour le payer ? Car il est vital que j’embrasse ton ombre pour à jamais l’aimer….