La trainée et le maso

Le 10/05/2005
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par Caligula
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Thèmes / Divers / Poèmes de merde
Le comité des pondeurs de bouses diarrhétiques nous présente aujourd'hui un nouveau mini-article, un poème romantique boursouflé de douleur outrée et hérissé de vannes improbables (voire involontaires).
Perdu dans les dédales du labyrinthe de mon coeur livide, je cours sans vraiment savoir où aller... Ni quoi trouver!
Sauf à cet instant horrible où mon âme croisa cette jeune nymphette.... espérant qu'elle croisera ma dague que je me plante avec méthode et violence dans son foureau!!!
Lentement et âprement avance ma déprime,
En rampant s’installe durement mon spleen,
Et méthodiquement la perception dérive,
Virevoltant au gré d’un cœur sans discipline.

Aujourd’hui, j’ai mourus par ton dédain,
Seul un acte de toi me renaît, qui sais… Demain ?
Mais j’hallucine de me voir errer comme un chien,
Glapissant de peur et d’un manque incertain.

Car aujourd’hui mon art à faillit !
Le comique : je m’en rend compte…
Dans mes artères la tumeur grossi,
Voila, je cours à ma soumission sans honte.

Mais, je bénis cette blessure car elle vient par toi,
Puisque des larmes coulent dans mes veines !
Pitié : humilie moi tant qu’il te plaira,
Dans mon ghetto mental où tu règne.

Plus d’apparat… De valeurs…. Rien à foutre !
Juste toi qui flagelle et moi qui cri : « Encore ! ».
Et du sang versé de mes yeux, j’arrache la croûte,
Pour laisser à vif cet ego que tu as mis à mort.

29/04/05 - 1H04

« Cherche à comprendre ! »