Les aventures de Jacques Chirac

Le 26/05/2005
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par Puyo
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Thèmes / Polémique / Semaine 'textes de merde' 02
Puyo, l'illustrateur vedette de lapin.org débarque sur la Zone avec cette sombre merde illisible. Manque de talent ? Stupidité innée ? Non, c'est juste qu'il met toutes les chances de son coté pour le concours de la semaine 'textes de merde'. Voici donc les aventures politico-mongoliennes de notre chef de l'état aux prises avec ses adversaires de gauche et de l'UDF. On se croirait dans 'Oui-oui', c'est totalement insupportable.
C’est l’histoire de Jacques Chirac qui rentre de campagne. Paf ! C’est le matin. Il dégomme un socialiste. Parfait pour le déjeuner.
Boum, un coup dans les boules de Robert Hue ! (il passe devant le QG des communistes, et il vient de croiser Robert Hue) Mais, Robert ne se laisse pas faire, mais, il sort une hallebarde ! Ça va barder ! Hé, mais non, tout va bien ce n'était pas Robert Hue, en fait, mais un simple communiste.

Chirac est un peu tendu. Il veut se battre ! Il croit reconnaître Robert cette fois-ci.

Et Vlan, il cogne dans les dents ! Mais non, il s’est trompé (encore), il a tapé un gars, un ami d’un pote du RPR ! Oh non ! Il part vite, faut éviter le scandale. A mi-route pour l’Elysée, il se demande : « Je me demande ce que fait Bernadette ? »

Je ne sais pas. Je ne suis pas Elle, moi.

Pendant ce temps, sur l’île de Ré, Lionel Jospin attend son heure. Mais, bon, on s'en fiche un peu.

Jacques Chirac arrive dans la grand-place. Il est presque chez lui. Il est fou d’avoir pris des risques de taper ses ennemis, mais bientôt, il sera en sécurité, oui.

Hé non ! Souci ! Le club de l’UDF l’attend avec des battes de baseball ! (on est en 82, il est contre eux et tout ça) Ils ont compris que le Président allait venir, les communistes ont parlé ! Les fourbes ! Donc, les hommes de l'UDF, Ils ont des battes de baseball. Mais pas des « en bois », hein, non, des battes comme dans Kung fu master, avec des pics empoissonnées et des lames de couteau ! C’est super dangereux ! En plus, c’est tout rouillé, on peut attraper le tétanos !!!

Chirac esquive. Attention, à droite ! Non, à gauche ! Marche arrière ! (une passante arrive) Comment allez vous, madame ? Votez pour moi, allez, crétine, vote vote ! AU secours !

Oh non !

Les gardes de l’Elysée arrivent. C’est la pagaille. Les hommes de l’UDF se battent. Giscard arrive en catastrophe. Il trouve un stylo. Il écrira la constitution avec.

Mais c’est là une autre histoire. On va finir par se perdre.

Résumé : Giscard est avec son stylo, et il fuit (il est un peu lâche). Jacques se bat, enfin, il essaye. Et les hommes de main de l’UDF sont en arrière (ils avancent) avec des fusils sniper à présent (ils se sont rendus compte que les armes d’avant, ça marche pas, ça fait classe, mais moins qu’un fusil sniper). J’aimerai bien faire un film de l’histoire. Bernadette arrive, alertée par le bruit.

- Vite, Bernadette, mettez vous à l’abris !

Trop tard ! Boum, elle est en morceaux, qui tombent dans une boîte pour les pièces jaunes, là.

Oh non !

Jacques s’énerve. Comme il connais l’Asie, le Japon tout ça, il cogne comme un malade et obtient enfin une grande victoire.

Il court, tout va bien, il passe la porte royale. Pour l’audimat, il fait une interview pour TF1 qui est toujours premier pour les scène de guerre (même quand c’est politique, y’a plus de sang) France télévision est à la masse, alors, ils essayent de payer des pots de vin dans le café d’en face de l’Elysée pour obtenir un rendez-vous du Président (c’est super cher comme café, un café de présidents) - ça marche pas. Ils attendent.

La télévision publique, trop à la masse.

Jacques avance. Il est dans l’Elysée. Il hésite à utiliser l’ARME NUCLEAIRE pour se défouler les nerfs mais non. Il est sage. Pour changer les idées, il va voir son ministre. Je crois que c’est un homme de gauche, comme y’a eu des soucis électoraux (nota, c’est encore une autre histoire que je me ferai à un plaisir de vous raconter, les socialistes aussi sont hyper forts, ils arrivent des fois à être numéro un). Mais soudain, il voit une dame dans la cour.

Il croit reconnaître son amour de toujours !

Il descend, il arrive, y’a des escalier, mais il y est à présent. Il est un peu à découvert.

- Oh, Bernadette ! Vous êtes vivante ?

Non, même pas. Son état n’a pas changé. La femme, c’était une simple passante. Jacques, il est trop triste, Bernadette, c’était quand même sa femme même si ils se battaient des fois à cause du Champion du Judo qui lui faisait les yeux doux, alors il veut boire pour oublier, et très vite il est ivre de boire. Il va dans le petit bar en face de l’Elysée, mais France télévision n’est plus là.

Il se trouve alors en face de son alter ego maléfique : Bayrou, avec une cape. Là, c’est vraiment pas de chance. Il crie :

- Oh non, pas encore ! Trop de sang a coulé !

Ils font la paix, mais bon, Jacques est le plus rapide, il dégaine et descend le pauvre politicien. Il est un tueur !!!!!!

Police ! La police arrive ! Ils vont peut-être l’arrêter… Mais non, la police est avec lui !

Mais bon, France télévision arrive, là, même TF1 s’est fait avoir sur ce coup (ils passent après cette fois ci, ils avaient qu’à rester). Ça fait du grabuge, on parle de meurtre, de choses étranges, avec des magouilles (y’a toujours des magouilles de toutes manières en politique).

Mais bon, Jacques, il sait qu’il prend des risques en restant dans le coin. Les gars de l’UDF sont encore sur les dents. Il s’approche de l’Elysée.. il avait raison !!! Ils sont là…

Il recule. (pas fou le gars)

Il fait un crochet, et il rentre chez lui (c’est l’Elysée, trop de la chance d’habiter là bas !)

Et hop, là, il sauve sa vie en faisant un vote collectif pour les français. Ça s’appelle un Référendum. C’est autorisé par la constitution. Si le référendum passe, l’UDF ne pourra plus rien lui faire.

Ça y est, c’est le référendum : et il passe ! Les socialistes en parlent encore…

FIN