Dreamcatcher

Le 28/05/2005
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par Le Duc
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Thèmes / Polémique / Semaine 'textes de merde' 02
Accrochez-vous à vos bretelles. Notre poulain, notre champion, notre héros gavé aux stéroïdes déboule dans l'arène de la semaine 'textes de merde'. Et une nouvelle fois il s'impose comme le Seul, l'Unique. Conjugaison aléatoire, clichés batards, stupidité au premier degré, confusion mentale, repompage qui touche à la parodie involontaire. Le Duc met toutes les chances de son coté. Attention chef d'oeuvre de la merde.
J’avancer dans ce bâtiment de la fonction publique, certainement le ministère des finances à Paris 13.
Il y avait là, beaucoup de gens qui se bousculer pour passé dans ses couloirs beige, monotone, étroit et sans vie, l’archétype du couloir de la mort.
Soudain je vis par la fenêtre tout au fond du couloir une lumière bleutée, intense qui ressemblée fortement à un raz-de-marée électrique.
J’arriva devant un ascenseur, une jeune et séduisante femme complètement nue si trouver assise sur un tabouret, elle fumer une longue cigarette, et exaltée des ronds d’une fumée compacte.
Les gens continuer à avancer en silence dans toutes directions, prenant soin de me contourné pour continuer leur course sans fin, personne ne regarder le fascinant spectacle de cette femme à la cigarette..
J’entra dans l’ascenseur, et les portes se refermères derrière moi, la créature qui me fixer d’un regard transperçant se leva et avança vers moi, je ne bouger pas laissant libre court à ses inhibitions…
Elle appuya sur le bouton qui mener l’ascenseur au rez-de-chaussée, toujours en me fixant.
D’un coup son regard se déforma, elle me regarda avec beaucoup de tristesse et une larme de sang perla sur ses joues d’un teint qui devenais de plus en plus pâle.
Soudain la cabine de l’ascenseur se mis à tombée, les freins automatiques s’engagères et réussir à ralentir péniblement notre chute.
Nous arrivâmes a ce qui devais être le sol, car l’ascenseur si cogna violemment, le toit avait disparus et un câble qui devais le porter se mis à s’enrouler à nos pieds, je vis qu’une porte était dissimulée à notre droite, j’y fis entrée la belle inconnue avant de mis engouffré moi-même ; un terrible bruit de tôles froissées provenant de la cage d’ascenseur nous assourdis un moment.
Nous étions maintenant dans des toilettes, dans un local encore plus petit que notre précédant ascenseur, nous étions seul et enfermer, pris au piège.
Je m’approcha de la fille, qui me regarder toujours sans rien dire,(elle avais un peu l’air de Marla dans Fight Club, mais en plus séduisante).
Je commençais à la toucher, à la caressé, contournant ses voluptueux seins de ma main gauche, et faisant remonter l’autre sur ses cuisses qui commencer à souvrire lentement.
Mais soudain de l’eau glacée sortie du lavabo sur lequel elle c’été accotée et commença à envahir la pièce, le niveau monta rapidement.
Je vis une fenêtre velux blanche, qui se situé en haut du mur, nous y escaladâmes et nous y engouffrères.
Nous étions, maintenant à l’air libre et en me retournant je pus constater les dégâts qu’avait engendré la chute de l’ascenseur.
Mais quelque chose me troubla, il faisait bon, il y’avait un grand ciel bleu avec quelques petits nuages qui ressemblé à des bouts de cotons, mais il n’y avait personne.
Nous nous, dirigeâmes vers un grand parc, ou la nature avais garder ses droits.
Quelque bancs y été aménager et aussi des jeux pour enfants.
Il y’avais d’ailleurs quelques enfants qui jouaient en silences, tournants sur un tourniquet, faisant de la balançoire, du toboguant.
Je n’aperçus aucune personne adulte aux alentours, excepté « Marla ».
Qui d’ailleurs partie en directions des enfants, puis disparue subitement au détour d’un arbre.
Je remarqua qu'il y avais pleins de vêtements eparpiller un peu partout.
Sans m’en inquiété, je continua m’a recherche.
J’arrivai devant une grande étendu d’herbe fraîchement coupée.
Ce n’étais qu’une vaste pleine ou se trouver quelques fleurs de multiples couleurs, des vêtements de taille adulte, des arbres, et ses maudits enfants, qui jouaient en silences, bien trop sagement et bien trop insouciants pour êtres normaux.
Après un temps d’exploration que je ne pus juger, je me rendis à l’évidence que j’étais seul dans cette ville, ou seulement subsisté des habits qui devaient appartenir aux anciens citoyens.
Et ou proliféré des enfants sans vie, qui sembler pouvoir devenirs agressifs.
Je vus a l’extrémité d’une façade d’immeuble, la vague d’électricité que j’avais vu plus tôt.
Elle n’avancer plus et était immobile.
Je courus vers la vague, comme pour sortir de se cauchemar et puis rien .. noir.
Tout s’arrêta.