Pas de commentaire, la ca me soule, et si vous n'êtes pas heureux bande de pleutres : c'est la même!
Voila bonne gerbe... euh, lecture... Quoique?!
Voila bonne gerbe... euh, lecture... Quoique?!
Le mirage de la feuille blanche est parfait,
Puisqu’on croit lire du vide alors que le poème se naît.
En visualisant sa virginité, je m’éveille à la vie.
Je créé dans le néant par l’opération du saint Esprit.
Le miracle de la page seule est paradoxal,
Elle se noircit au rythme de mon délire cérébral,
L’immaculé se répandant de ses larmes d’encres,
Et le radeau de ma vie, ici, lève son ancre.
Le mariage du papier pur et de mon sang,
Vide mes veines de mes rages d’enfant,
Qui se complaisent à briser le teint perlé,
Du présent parchemin en train de me dévoiler.
La mortalité de la gomme écarlate se fait pressante,
Car mes écrits ont vaincu ce fantasme qui me hante,
Celui de n’avoir matière à l’épitaphe de mon désespoir.
Voici la fin de la feuille blanche qui m’a défié du regard.
22/05/05 1h28 « Essai confus »
Puisqu’on croit lire du vide alors que le poème se naît.
En visualisant sa virginité, je m’éveille à la vie.
Je créé dans le néant par l’opération du saint Esprit.
Le miracle de la page seule est paradoxal,
Elle se noircit au rythme de mon délire cérébral,
L’immaculé se répandant de ses larmes d’encres,
Et le radeau de ma vie, ici, lève son ancre.
Le mariage du papier pur et de mon sang,
Vide mes veines de mes rages d’enfant,
Qui se complaisent à briser le teint perlé,
Du présent parchemin en train de me dévoiler.
La mortalité de la gomme écarlate se fait pressante,
Car mes écrits ont vaincu ce fantasme qui me hante,
Celui de n’avoir matière à l’épitaphe de mon désespoir.
Voici la fin de la feuille blanche qui m’a défié du regard.
22/05/05 1h28 « Essai confus »