Felix annexe : Non mais... mais c'est ignoble !

Le 14/07/2005
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par Nounourz
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Rubriques / Felix
Bon, je profite de l'absence des admins en chef (ouaiiiis!!) pour poster ce texte totalement débile et 100% provoc. C'est à moitié gore, sans aucun effort pour le style, c'est vachement long, et ça ne plaira pas à Familles de France. Texte en exclusivité en version longue non censurée, déconseillé aux âmes sensibles et aux femmes enceintes. Vous ne pourrez pas dire que vous n'étiez pas prévenus. Et VIVE NOUNOURZ !!
Yeah c'est cool d'être admin, on peut faire passer ses textes comme on veut ! Bon, ce texte, c’est du foutage de gueule. Farpaitement madame ! Et je l’assume, j’encaisserai les insultes, les vannes, les cassages et autres indignations scandalisées que mon texte pourra provoquer. Vive la provoc, à bas la censure !
Les Admins en chef se sont barrés. Partis en vacances à la mer, faire un coup de bronzette sur les plages bretonnes. Et ils espéraient quoi, que tout allait marcher sur des roulettes ? Oh, au début, j’avais l’intention de rester bien sage et de poster quelques articles prédéfinis. Mais voila : le chat n’est pas là, les souris dansent ! Je suis complètement défoncé, ne vous déplaise, chacun ses moyens pour ne pas subir cette vie de merde. Je suis camé jusqu’au nez, j’en suis fort aise ! Les yeux qui tiennent à peine ouverts, je gerbe des mots sur mon traitement de texte dans le but de faire un texte naze. Et il l’est ! sans histoire, sans intérêt, même pas zonard.

Enfin, pour être zonard, ça peut s’arranger :

Fuck les bisounours, ta chatte ta chatte ta chatte, mort à l’humanité, schizo-à-gogo, violence, violence, gore, gore, pamela anderson nue, sodomie au motoculteur, fist-fucking sur un bébé de trois mois, violence, Nihil, paranoïa, méchanceté, vol de bonbons dans les écoles maternelles, donne moi tes billes ou j’te démonte ta sale gueule à la récré, vulgarité, bite, couille, con, nichon, vidéos x gratuites, sonneries téléhone portable.

N’hésitez pas à mettre en commentaire des associations de mots de ce genre, qui ramèneront chez nous les pervers qui cherchent des trucs de sexe sur Google™.

Voila, j’ai rempli mon quotat de zonarderie, maintenant je vais continuer à déblatérer des insanités, je suis le roi du texte moisi, l’empereur des mots inutiles. Si j’écrivais sur du papier, je déforesterais l’amazonie à moi tout seul tellement j’ai de conneries à raconter.

Putain, j’ai à moitié la bouche pâteuse et la gorge sèche, saleté de rabla, enfin je dis saleté mais c’est rudement bon cette merde, allez-y, droguez vous, vous aussi, c’est super cool, faites comme moi, dites fuck à la vie, fuck à l’espoir, fuck à vos amis et à votre boulot, laissez la came prendre le contrôle de votre existence, vous allez voir c’est super chouette, plus besoin de se prendre la tête, plus de souci sauf un : s’en procurer ! De toute façon on est sur un site subversif ici donc je vais pas me prendre la tête sur des considérations morales, je conseille ce que je veux si je veux. Donc là, je vous assure, essayer l’héro c’est l’adopter, après ça devient comme une partie de vous, un autre vous-même, le super pied !

Et puis je voulais dire aussi : fuck la vie de merde, faites comme moi des tentatives de suicide ! grâce aux conseils de ventoline la mort est à portée de main, et je peux vous faire part de mon expérience afin que vous ne fassiez pas les mêmes stupides erreurs que moi. Vous êtes inutiles, vous êtes blasés de la vie, vous rêvez de décrocher un goncourt mais n’écrivez que de minables fictions sur un site de loosers, dites STOP à cette existence de merde ! suicidez-vous, et incitez vos proches au suicide ! Rien ne nous oblige à continuer, l’amour c’est de la merde, l’amitié une illusion, les autres sont des cons, la société est pourrie, l’humanité est une gangrène sur cette planète, j’entends déjà dame nature pousser un soupir de soulagement quand le dernier représentant de l’espèce humaine aura rendu l’âme. Qu’attendez-vous ? Faut être con pour souhaiter continuer à vivre, ça en fait 6 milliards sur terre, vous ne trouvez pas que c’est un peu trop ? Je serais d’avis qu’on fasse une campagne massive d’incitation a l’autolyse (c’est ainsi qu’ils désignent le suicide dans les hôpitaux), à la télé, dans les journaux, à la radio, sur internet… qu’on envoie des milliards de spam ! Après les « enlarge your penis » et les « buy drugs online », que vienne l’ère des « buy a gun and commit suicide now ! »

Wow putain j’ai déjà écrit une page de conneries, ça va trop vite ! En plus de faire un texte qui ne rime à rien, je le fais supra long, d’ailleurs si vous avez lu jusqu’ici tapez « radiateur » en titre de votre commentaire, ça me fera une preuve que vous avez été assez cons pour lire le texte jusqu’ici… Enfin, assez cons ou assez ennuyés, comme moi quoi ! Moi je me fais chier et j’écris, vous vous faites chier et vous lisez ! Ca peut continuer longtemps comme ça, hein, mais c’est pas grave, rien n’est grave, puisque vous n’avez pas encore opté pour le suicide je peux bien me permettre de continuer de me foutre de votre sale gueule, vous aimez ça, vous en redemandez même !

A-t-on déjà vu ou lu pareille fumisterie sur la zone ? Oh, je suppose que je ne dois pas être le seul à avoir fait d’une diarrhée verbale un article digne du worst-of, enfin, quoique, j’ai récemment parcouru le worst-of sans trouver de texte qui ressemble de près ou de loin à celui que je suis en train de pondre en ce moment. Allez, on va tenter de battre un record, celui du texte le plus abject. Ames sensibles passez votre chemin, ce qui suit est le fruit de mon cerveau de schizophrène détraqué, mais je vous dis tout de go : vous n’êtes même pas cap de faire ce que va faire le héros de la nouvelle qui suit. Ouais, même pas cap.

= FIN DE LA SUPER LONGUE INTRODUCTION =

Attention les yeux, c'est parti. 3-2-1-0...

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Georges baissa son pantalon. Sa bite était en érection, il était tout excité et tremblait comme une feuille à l’idée de ce qu’il s’apprêtait à faire. Il s’ensuisit le gland de gel lubrifiant puis attrapa son fils félix agé d’un an. Il le tenait d’une main, le bébé bougeait peu ce qui lui facilitait la tâche. Il posa son gland au niveau de l’anus du nourrisson puis, délicatement, commença à entrer en lui. Il sentit des os se rompre tandis que son chibre s’enfonçait dans le fondement de son fiston chéri. Une fois son sexe entré jusqu’ à la garde, il le retira doucement, puis le réintroduisit, et ainsi de suite, de plus en plus rapidement. Il ahanait bruyamment en besognant son fils qui s’était mis a hurler de douleur. Il sentit qu’il allait jouir, il se retira et lacha la purée sur les cheveux de son môme. Félix gueulait toujours, il avait certainement les os du bassin brisés. Georges coinça le petit corps entre ses jambes, au niveau des épaules. Puis il saisit la tête, et commença à la faire pivoter, jusqu’à ce que celle-ci prenne un angle insensé et que les cervicales se brisent dans un bruit de craquement sec. Il continua à tourner sur la tête comme s’il voulait la dévisser, c’était amusant, il riait bruyamment en voyant le petit visage sans vie faire des tours sur lui-même. Quand il en eut marre, il fit tourner le corps autour de lui, prit de l’élan et envoya avec force le corps s’écraser contre le mur de la chambre. Le crâne se brisa en rencontrant la paroi, le petit cadavre retomba sur le sol, une partie du cerveau encore collée à la tapisserie jaune et rose.

Avec un grand couteau de cuisine, il découpa soigneusement un bras. Il se dirigea ensuite vers la chambre de mémé qui dormait à poings fermés. Il attaché mémé à son lit à barreaux et la baillonna de manière à ce qu’elle ne puisse ni parler ni lui opposer la moindre résistance. Il souleva sa robe, coupa la culotte a l’aide d’une paire de ciseaux, et laissa apparaître la chatte toute ridée de sa mère. Il enduisit le bras coupé de félix avec du lubrifiant, et commença à titiller le clito de mémé. Celle-ci bougeait la tête avec véhémence en disant « ouhmmm ! mhmouuhhh mhuummmommm !!! » et georges trouva que c’était une excellente idée que de l’avoir baillonnée. Il remit de la crème lubrifiante et enfonça le bras entier dans la vieille chatte toute fripée et décrépie. La veille tentait de se débattre mais solidement attachée comme elle l’était, ses efforts étaient vains. Une fois qu’il eut fini de s’amuser avec la main de son gosse, il la posa sur le coté du lit, se déshabilla, fit un clin d’œil à sa mère puis entreprit de la pénétrer. Ainsi disposée, il dut se satisfaire de la position du missionnaire mais de toute façon ça ne changerait pas grand-chose, vu qu’il était éjaculateur précoce ce n’était pas la peine de changer toute la configuration pour quelques secondes et trois-quatre allers-retours. Il ne se retira pas pour jouir et balança la sauce dans sa maman chérie. « Merci maman, décidément t’es la meilleure même pour la baise » lui lança-t-il en enfilant son pantalon. Elle lui lançait des regards affolés, se demandant quel sort il lui réservait.
Il commença par refaire le baillon afin que le moindre son soit étouffé. Sans cela, il était vraisemblable que la douleur finisse par la faire hurler et ainsi alerter le voisinage. Il ferma la porte et les volets, alluma une lampe de chevet. Il pensait que la lumière tamisée se prêtait mieux à ses sinistres amusements. Avec la petite scie à branchettes de son couteau suisse, il commença à attaquer la chair au niveau du genou. Le peu de mouvement disponible à la grand-mère lui suffisait à se débattre de façon à sensiblement compliquer la tâche de Georges, aussi celui-ci s’assit sur la jambe de manière à la maintenir bien droite. L’os de la rotule était difficile à entamer, mais il fit le tour consciencieusement avec la petite scie jusqu’à ce que l’os soit à nu. La mamie finit, elle, par s’évanouir. Il alla alors dans le garage et revint avec une grande scie à métaux, et paracheva son œuvre sans la moindre difficulté. Il fit un garrot au niveau de la cuisse pour limiter la perte de sang. Avec la petite lame de couteau récemment aiguisée, il fit une entaille dans l’abdomen dans le sens de la hauteur. Il ouvrit a coté de lui un dictionnaire de médecine et se mit en tête d’identifier les différents organes. Il avait toujours rêvé de faire ça étant petit, et son jeu « docteur maboul » l’avait laissé avec plein de questions sans réponses. C’était difficile, avec tout ce sang et cette viscosité. Il s’arma de patience, et fouillant dans les entrailles, commença à trouver quelques similitudes entre le schéma de son livre et l’organisme béant de sa mère. Le premier organe qu’il reconnut fut l’estomac. Il retira la poche visqueuse et le mit dans un seau rempli d’eau. Il identifia ensuite successivement le foie, un rein, le colon, un poumon et le cœur. Il mit tous ces organes dans le seau avec le premier, sans trop savoir ce qu’il en ferait ensuite.

Avec son couteau suisse, il entailla profondément la cuisse en plusieurs endroits, et fit des tranches de chair et de muscles. Il retira soigneusement la peau et découpa la viande en carrés de huit centimètres de coté. Il partit à la cuisine avec toutes ses trouvailles. Il passa les organes au mixeur et les donna à manger à son chien qui se régala . Si le chien avait pu parler, il aurait dit quelque chose comme « putain Georges c’est de la balle ton repas, ça me change des croquettes ! ». Mais ce n’était qu’un chien, et il lanca un « ouarf » joyeux qui signifiait la même chose, mais en langage chien. Georges mit les carrés de viandes dans le hachoir, puis les façonna de manière a leur donner l’apparence de steaks hachés, il y en avait cinq de bonne taille. Il les mit dans un ziploc (vous savez, ces sacs d’albal qui se referment hermétiquement) et partit en voiture en direction de chez gérard, un de ses amis - en fait, la seule personne qui le supportait, et encore, pas toujours.

Il arriva devant le pavillon, entra dans le petit jardin et sonna à la porte d’entrée. Gérard lui ouvrit, surpris de le voir débarquer ainsi sans prévenr, mais le laissa entrer tout de même, se demandant quel bon vent pouvait bien l’avoir amené ici. Georges lui proposa de partager son repas : il lui expliqua qu’il avait acheté de la viande pour faire un repas chez lui et que tous ses invités s’étaient décommandés. Gérard accepta, il aimait bien les steaks hachés. Il laissa georges aux fourneaux, et une petite demi heure plus tard, il revenait avec des steaks hachés grillés aux petits oignons accompagnés de torsades au basilic. Il dégustèrent la viande de grand-mère en gourmets, l’accompagnant d’un petit bordeaux légèrement fruité qui se mariait à merveille avec le gout fin de la viande rouge. « Félicitations », dit Gérard, « Je ne te savais pas si fin cuisiner… la viande a gardé un gout d’une finesse exemplaire, reviens quand tu veux me faire de bons petits plats comme celui-ci ». Georges lui sourit et lui adressa un regard complice.

Sur le chemin du retour, Georges se demandait de quelle façon il allait pouvoir se débarasser des corps. En arrivant chez lui, l’odeur de viande morte commençait à empuantir l’atmosphère, il fallait vite trouver une solution. Il emmena les deux cadavres au garage où il avait préalablement garé sa voiture, à l’abri des regards. Comme il l’avait vu faire à la télévision, il découpa les corps en morceaux de petites tailles et brûla les parties susceptibles de les identifier (notamment les empreintes digitales) puis les mettait dans des sacs-poubelles. Il chargea le tout dans le coffre de sa voiture, après s’être assuré que le sang ne coulerait pas dans la malle de sa Seat presque neuve. Il revint chercher les draps tachés des deux chambres, nettoya le sang sur le papier peint de la chambre de félix, bref il joua les monsieur propre jusqu’à ce que la maison redevienne impeccable. (Si vous avez lu jusqu’ici, mettez en titre de votre commentaire « radiateur à bi-thermostat »).

Tout étant prêt, il revint sans le salon et se dégusta un verre de cognac en fumant sur un cigarre à la fumée épaisse. Une idée lui traversa soudain l’esprit. « Et si… non, quand même ! Enfin, quoique… hmmoui… non, remarque… mais si, voyons… au point ou j’en suis… allez, c’est parti).

Il appela hector, son teckel. Celui-ci apparut promptement en haletant, et lui adressa un regard plein de douceur. « Brave bête… » pensa Georges. Il commença à jouer avec le chien, tout en attrapant une corde située à quelques mètres. Il commença par baillonner le chien, faisant plusieurs tours de ficelle autour du museau de son gai compagnon. Celui-ci semblait n’apprécier que très moyennement la tournure que prenaient les choses, mais il n’était plus en position de protester. Georges attacha ensuite les pattes avant ensemble, puis les pattes arrières ensemble, et enfin joignit les quattre pattes et enserra le tout bien solidement.

Il défit son pantalon et commença à se caresser pour faire monter l’érection. Comme celle-ci ne venait pas, il alluma son poste de télévision et mis dans le magnétoscope une cassette vidéo porno. Alors que l’actrice prodiguait une fellation au hardeur pantelant, l’émoi que la scène provoquait chez georges fit dresser son membre paré à une nouvelle attaque. Il s’enduisit le gland et le reste de pénis de gel lubrifiant, en mit bien partout autour de l’anus du chien et un peu à l’intérieur à l’aide de son doigt, et tenta de le pénétrer. C’était encore plus étroit que le rectum de son fils, et le chien visiblement serrait les fesses. Au bout de plusieures minutes et essais infructueux, il commençait à débander. Il avait beau tourner son regard vers l’écran où une blonde à gros seins se faisait prendre en levrette par un apollon au visage carré, son membre redevenait flasque. « Je… je ne comprends pas » dit-il à son chien « c’est la première fois que ça m’arrive… je te jure… ». Il était devenu écarlate de confusion, ridicule le membre pendouillant, le pantalon aux chevilles, tenant son chien ligoté dans ses mains. C’est en regardant vers le fond de la pièce que son regard s’arrêta sur le balai. Sans se démonter, il alla chercher l’ustensile qu’il arrosa copieusement de vaseline. Contrairement à lui, le balai de débanderait pas. Il commença à forcer le passage du rectum du chien et réussit en moins d’une minute à enfoncer l’outil d’une bonne dizaine de centimètres. Le chien ne cessait de couiner mais il trouvait cela plutot amusant. Il faisait des allers et retours de plus en plus rapides, pour essayer d’habituer le chien. Ce petit jeu l’excitait terriblement et de nouveau son chibre pointa le bout de son nez, prêt pour une nouvelle saillie. L’anus du chien ne semblait plus contracté, et subrepticement il retira le balai et inséra son membre dans le rectum dilaté de la pauvre bête. Miracle, il était en lui ! Son cabot et lui, réunis, ne formant qu’une entité, dans l’amour, la luxure et le plaisir ! il embrassa la petite tête du cabot sodomite puis commença à le besogner avec douceur. Il accéléra le mouvement progressivement, il se retenait pour ne pas jouir trop vite. Il se synchronisait sur le jeu des acteurs X qui continuaient de baiser sur l’écran cathodique. Au moment ou l’acteur principal atteignait l’orgasme, Georges balança son foutre dans le cul du chien poussant un informe grognement de satisfaction. Durant toute la scène, le chien n’avait pas cessé de couiner.

Il se retira et essuya sa bite sur la nappe de la table du salon. Il se rhabilla et se demanda ce qu’il allait bien pouvoir faire du chien. Son anus béant était sans équivoque quant au sort qu’avait subi l’animal… Il fut donc décidé que le chien serait enterré avec mémé et fiston. Il ne résista pas cependant à la tentation de lui crever les yeux. Le petit « chluic ! » que faisait les globes occulaires quand on les perçait l’amusait beaucoup. Il aurait crevé des milliers d’yeux rien que pour entendre ce « chluic !». Hector couinait encore, aussi l’assomma-t-il d’un grand coup de balai sur le crane. (Si vous avez lu jusqu’ici, mettez en titre de votre commentaire « radiateur à bi-thermostat nucléaire inversé »)

Il chargea donc fils, mère et chien dans le coffre de sa Seat. Il sortit de la ville et s’enfonça dans la campagne alors que la nuit commençait à tomber. Il roula une bonne partie de la nuit, s’enfonçant de plus en plus profondément dans une forêt épaisse. Il emprunta un chemin à peine prévu pour les automobiles et s’arrêta dans une clairière faiblement éclairée par la lune gibbeuse. Armé d’une pelle, il prit les sacs sur ses épaules - heureusement que mémé avait perdu beaucoup de poids après sa chimio - et s’aventura dans le bois. Il creusa un grand trou, creusant encore et encore jusqu’à ce que la profondeur atteigne un bon mètre cinquante, puis il jeta les sacs poubelles, referma le trou et disposa des feuilles et des branchages de manière à ce que son opération soit indécelable. Le chien avait continuer de couiner jusqu’ à ce qu’il fut entièrement enseveli. Il fit ensuite demi-tour dans la clairière, reprit le chemin tortueux et reprit la route de son domicile. Le trajet lui sembla plus court qu’à l’aller, mais « de toute façon c’est toujours comme ça » se disait-il.

En rentrant, il prit une douche qui lui fit le plus grand bien, puis alla se préparer une verveine. Sa maison lui paraissait silencieuse sans les jappements d’hector ni les babillages de félix. Il alluma la télévision pour rompre le silence, il était près de deux heures du matin. Demain Lundi il faudrait qu’il reprenne le travail, s’il était en retard son patron M. Blandot allait encore lui retenir des heures sur sa maigre paye mensuelle. Il se forca à boire sa verveine encore brûlante, régla ses trois réveils disposés en des endroits stratégiques de sa chambre de manière à ce qu’il soit obligé de se lever, puis se coucha. Il fit rapidement le bilan de sa journée : riche en action et en surprises, il s’était bien amusé. Il eut une pensée rapide pour son bébé et sa mère qui, en morceaux, entamaient le cycle de décomposition, et pour hector qui de la même manière avait certainement commencé à pourrir et se voir infesté de vermine. Il éteignit la lumière et s’endormit en souriant. Si vous avez lu toute ma nouvelle, finissez votre commentaire par « je hais, j’exècre, j’abhorre les ragondins »

Le texte est fini. Vous pouvez vous droguer parce que c’est cool, vous suicider parce que ça me fera plus d’air, vous entre-tuer devant des caméras parce que la télé-réalité c’est bien. Ah oui n’oubliez pas de polluer, de jeter vos déchets par terre, vider les cendars par la fenêtre de votre voiture, tabasser vos gosses quand ils n’ont rien fait de mal, accuser votre voisin de pédophilie et faire des alertes à la bombe dans tous les aéroports. Si des services secrets venaient à avoir connaissance de cette page, je tiens à préciser que Kirunaa est une dangereuse terroriste afghane connue sous le nom de Kirunaa mhad’souadi, « la main vengeresse ». Kirunaa projette de faire exploser une bombe au milieu d’un troupeau de moutons en lozère. Méfiez-vous d’elle ! Elle est capable de tout, surtout du pire !