Putains de voleurs

Le 27/12/2005
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par Ek-ZutWar
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Thèmes / Débile / Vie quotidienne
Les fautes sapent rapidement la crédibilité de ce texte qui pourtant est assez sympathique. Une tranche de vie vitriolée à la sauce disjoncte / insultes tout ce qu'il y a de plus amusant. Complètement absurde, salace, teigneux. En fait ça fait presque trop, genre 'j'en rajoute un maximum histoire de flamber'. Fin en queue de poisson histoire de bien perplexifier le lecteur.
J’en ai plein le cul ! Hier soir ma caisse qui était garé comme d’hab’ devant chez moi a été fracturé. Ces cons l’ont ouverte comme une boite de conserve et mon piqué mon super autoradio MP3 digital surround THX megawatté. Les fils de putes me faire ça à moi qui est dû jouer mon RMI en bourse pour me le payer ! Ni une, ni deux j’ai mis mon plan au point : squatter dans le coffre avec mon ordinateur portable wifi et sa webcam, que je me suis payé en revendant les restes de ma mère à un jardinier nécrophile qui aime enterrer des corps dans les rond-points qu’il cultive, pour revenir les nuits sans lune les baiser avec sa truelle.
Le plan était simple, un criminel revient toujours sur le lieu de son crime, d’autant que la ruelle est friquée : peu de gens peuvent vivre ici avec les studios à 800 euros que moi j’ai pu me payer en m’inscrivant dans toutes les CAF de France sous des pseudos différents avec des adresses bidons qui atterrissent dans toutes les fausses boites aux lettres professionnelles que j’ai créé ( genre Sarl Man Rushdie, Sarl Baumann, Sarl Ipopet ).

Ces putains de voleurs savent bien qu’ici ils vont pas tombés sur un bête autoradio lecteur de cassette même pas autoreverse. Sont malins ces cons. Je me suis installé pépère dans le coffre extra large de ma BMW série 7 que j’ai acheté la semaine dernière en truandant la vielle salope d’héritière qui traînait dans un bar à pute parce que, depuis la mort de son PDG de mari, elle avait plus vu le loup et que ça la démangeait de se faire troncher par un jeunot dans mon genre. J’t’ raconte pas ce que je lui ai mis à l’héritière ! Du GHB dans son verre pour commencer. On a été chez elle, après que je lui ai fait les poches, trouvé les clés de son palace et l’adresse sur sa carte d’identité. Ensuite, arrivé là-bas, je lui ai resservi un petit exta et un acide, histoire de bien lui mettre la tête à l’envers. Elle comprenait plus rien la pauvre. J’ai commencé à lui lécher la chatte et là elle en pouvait plus, elle hurlait : « prends moi, prends moi ! » Je lui ai dit : « Ok, mais tu me donnes combien ! », elle a dit : « tout ce que tu veux ! ». J’ai pris son carnet de chèques je m’en suis fait un de 130 000 en regardant ces extraits de compte j’ai vu qu’il lui resterait de quoi faire. Elle a eu du mal à signer alors je l’ai aidé à tenir le crayon. Après ça, comme je suis pas un voleur je l’ai vraiment baisé et je me suis barré avec ma paie. Baiser une vioque de 60 balais, c’est vraiment dégeulasse, mais pour 130 000 ça se fait.

Bref j’étais pépère dans le coffre à mater les alentours depuis trois jours déjà avec ma webcam 360° de la taille d’un œil de mouche placé sur le toit ( je sortais de temps en temps par la portière comme si de rien n’était pour aller me fader un kebab chez le voleur du coin ( 6 euros 50 le kebab ! )) quand tout à coup à 3 heures du mat’, gaver de speed pour pas dormir, je vois la vioque avec un pied de biche à la main, encore saper de la même manière que je l’avais laissée la semaine dernière, les cheveux en pagaille avec des yeux révulsés qui claudiquait la bave à la lèvre en s’approchant de la bagnole. Elle arrive devant la bagnole et ce met à éclater mon pare- brise en hurlant : « je sais que c’est ta bagnole, fils de pute. J’ai tracé le chèque, ducon, je sais tout ! Le patron du bar m’a dit où t’habitais, tu t’en tireras pas comme ça. ! » Complètement ébaubi je sors de la caisse et j’essaie de lui enlever le pied de biche des mains mais elle est carrément incontrôlable la tcharbée et je me prends un violent coup dans les valseuses qui me laisse groggy sur le trottoir. Ravagé par la douleur, je me tords comme un rollmops dans sa boite pendant qu’elle continue de déblatérer en détruisant systématiquement tous les endroits encore intacts de ma caisse : « C’est pas permis de faire ça à une vieille dame, lui prendre 130 000 pour même pas la faire jouir, y en a vraiment qui doute de rien !»

Après ça je me souviens juste que j’ai pris un gros coup de barre à mine qui m’a fait sauter la cervelle comme un bouchon de champagne ( du Pommery à 1000 euros la bouteille, bande de voleurs ! )

Enfin, tout ça ne me dit pas qui m’a piqué mon autoradio…