Ben ouais quoi, faut bien pointer le doigt là où ça fait mal non?
2006 étant une année dont la somme des chiffres est égale à 12, surtout quand on retient 4 à la fin, il me paraissait évident de vouloir rentrer de plein pied dans la caverne, certes étroite, de la culture littéraire jouissive. Mon but pour cette année étant d’avoir les mains pleines d’un savoir fou tel un innocent englué dans une impasse mystérieuse de l’illettrisme aigu. Je ne saurais m’avancer de plus d’un orteil dans une personnification mystique de la moule géante car bien qu’étant poisson les effluves des bestioles marines dans une tente d’un camping de Marseillan-Plage à 3 heures du matin bourré comme un coing et vomissant dans des poils pubiens les spaghettis bolognaises de Tante Odette ne m’ont jamais emballé. Mais c’est trop tard.
J’espère que tu me pardonneras, toi, Gretha Van Poolerseet, innocente néerlandaise de 2m06, qui succomba à mes cris rauques de poulpe désinhibé dans une discothèque de plein air pendant une soirée mousse où j’avais battu mon copain Rodolphe au célèbre jeu japonais du Doidanku d’une avance certes non négligeable de 12 majeurs et 5 auriculaires.
Comme disait le célèbre manchot du village :
« la vie tient à peu de choses, d’une petite phalange innocemment coincée dans une moissonneuse-batteuse ».
J’espère que tu me pardonneras, toi, Gretha Van Poolerseet, innocente néerlandaise de 2m06, qui succomba à mes cris rauques de poulpe désinhibé dans une discothèque de plein air pendant une soirée mousse où j’avais battu mon copain Rodolphe au célèbre jeu japonais du Doidanku d’une avance certes non négligeable de 12 majeurs et 5 auriculaires.
Comme disait le célèbre manchot du village :
« la vie tient à peu de choses, d’une petite phalange innocemment coincée dans une moissonneuse-batteuse ».