Les fabuleuses aventures de bénito mussolini à la plage

Le 06/02/2006
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par Dr Ben Jovi
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Thèmes / Semaines Textes De Merde / Semaine 'textes de merde' 03
Ben Jovi s'impose d'emblée comme un incontournable du texte de merde. Cette chose illisible n'a aucun sens ni aucun intérêt, n'est jamais drôle, se complait dans le pénible. Ca dépasse pas mal de limites de l'humainement acceptable. J'ajoute les fautes, le titre sans rapport avec le reste, le repompage de Las Vegas Parano, et on est pas loin du Grand Chelem.
Une introduction ? dans quel but ? et pourquoi pas un brouillon pendant que vous y êtes ! (l'usage de majuscules est fortement prohibé, et les fautes d'orthographe ajoutent une petite touche personnelle à "l'oeuvre") décidément ce texte vas être une merde mémorable...je l'as sens d'ici(ça pu)
    un personnage quelquonque peut se révéler plus interessant qu'il pourrait sembler au premier abord. c'est pour cela que ce cher sandy vas tant nous interesser dans les quelques lignes qui vont suivres.
    nous ne nous attarderons pas sur ces problèmes familial ni concubain mais plutot pour son penchant éfrainer à user de divers produits cappilaire stupéfiant ! en effet chaque jour que dieu(pas de majuscule non plus, même tarif pour les divinités) fait, ce passionant sandy perds un temps fou a appliquer impeccablement ses différentes lotions sur....non enfait ça n'a aucun intérêt
je vais donc en revenir a mon sujet de prédilection. vous raconter une histoire hors du commun, comptant les faits et gestes de personnages hors normes, accroc au délires psychédéliques et refusant de s'intégrer à ce monde médiocre et ininteressant par bien des abords.
mon premier héros, s'appelera tod.
issue d'un milieu défavorisé, et vivant au coeur du wisconsin, il passe sa plus tendre enfance à tirer la poule avec son père. à dix ans il découvre les joies de la drogue et tombe follement amoureux de sa propre mère. n'allez pas croire que tod est un vulgaire héros comme tout les autres ! non et non ! mieux vaux vous prévenir vite ! sa vie n'a jamais était normal dans le sens commun du terme. jamais il n'aurait su être normal au sens commun du terme. ce n'était qu'un être top bizarre pour être reconnu par ses pairs, trop étrange pour mourir.
mon second héros quand à lui, connait un profil bien différent.
d'un milieu aisé, naquit un homme du nom de sam. enfance sans histoire, intellect élevé, predestiné a un grand avenir, et grandement aidé par ses relations pécunière.
mais que voulez vous ? tout ne se passe pas toujours comme la famille l'aurait souhaite
il eut une révélation à sa première prise de lsd
et c'est à ce moment là qu'il croisa tod et depuis ils ne se quittent plus.
dans leurs errement de junkies, ils ne s'intégrèrent dans la société que pour mieux la rejeter. leurs capacités littéraire de loin supérieur au mienne leur permirent de se trouver chacun un poste de journaliste
et de profiter aux grès de leur reportages des joies procurer par la drogue.
tout y passer:
acides en buvards, poppers, kétamine, mescaline à haute doses, marijuana, héroine, cocaïne, et j'en passe.
pourquoi donc se fixer des limites si l'on considère que la vie n'a d'intérêt que dans l'excès ?
ils voguaient au grès des vents et tempêtes passer au travers des difficultés, éviter obstacles et nid de poules sans même se retourner une fois.
s'il n'y a qu'une seule anecdote que vous devez retenir sur ces deux compères alors retenez celle là:
par un beau matin de printemps, l'envie leur prit de rencontrer celui qu'il considérait comme le symbole de la belle amérique libre et protestante, john fizgeral kennedy.
peut être qu'un trop grand consommation de lsd avez pousser a son paroxysme ce délire de toxicomans mais ils se mirent tout de même en route pour washington a bord de leur magnifique van volkswagen et au terme d'un cours voyage de trois mois ils arrivèrent finalement dans la capital. centre éminent de la politique mondial.
et par on ne sais quel miracle ils réussirent a interviewer le fameux kennedy. peut être n'est-ce pas réellement la bonne personne mais toujours est-il qu'ils crurent bon faire article sur la politique étrangère mener par le gouvernement démocrate et des rapports sociaux culturels inter hippi.
néamoins kennedy était mort depuis pas mal de temps et les démocrates qu'un vague souvenirs pour l'opinion publique...
voila tout ! cette histoire est digne de ses personnages. elle n'est pas destinées à être comprises par tous...