Childrens are very pures

Le 04/03/2006
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par Mad Meat
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Thèmes / Obscur / Nouvelles noires
La jeune protégée de Glaüx y va de son texte pédophile, froid et inhumain comme il se doit. Y a pas grand-chose à dire, c'est du porno cru et révulsant, avec comme prévu une absence totale de morale ou de psychologie. On sent une vélléité de choquer pour choquer, une volonté d'aller un peu plus loin que les autres dans l'extrême. Ca sent la provoc gratos, ce qui dévalue sévèrement le prix de la viande.
Il y a eu le livre noir du communisme, du capitalisme etc., là c'est le livre noir de l'humanité. C'est bien qu'il existe.
Certains auraient préféré rester dans l'oubli, tant leurs actes eût été atroces, glauques, et dégueulasses.
Pas moi.
J'exploite mon manque de talent dans la vulgarité, dans la perversion, dans l'inavouable, dans l'immoral.
Quand j'étais plus jeune, je m'amusais à regarder sous les jupes des petites filles.
Je passais des heures devant les maternelles, à regarder leurs jeux anodins, à écouter leurs cris.
En particulier une. Luna.
Son père venait la chercher tous les jours, à 18h, après l'étude. Et bon dieu qu'est ce que je pouvais l'envier.
Et puis un jour, j'ai osé. Je me suis pointé à 17h30 devant cette putain de maternelle, et j'ai demandé à la gardienne d'aller me chercher cette petite fille, que je venais en urgence parce que son père avait un grave problème dans son travail.
Elle est descendue. Avec ses chaussettes remontées jusqu'aux genoux, une jupe très courte, des chaussures de gamine.
Ses cheveux noirs et lourds relevés en chignon, laissaient paraitre la douceur de sa nuque.
Ses grands yeux bruns, et ronds, émerveillés.
Elle avait déjà du me voir, squatter devant son école.
Les fesses encore fragiles. Une fragilité presque abusive.
Tout était pur, dans cette petite fille. Son visage, son regard, ses courbes fines...Rien n'était encore développé.
Je l'ai emmenée chez moi. C'est là que les hostilités ont pu commencer.
J'ai commencé par lui faire à manger. Je lui ai demandé ce qu'était son plat préféré, on a été faire les courses, je l'ai mise en confiance.
Elle a fait une petite sieste d'une heure, et je l'ai réveillée. Il était exactement 19h.
Je lui ai montré ma bite, très dure. Sa première réaction a été celle de rigoler. Pauvre conne, elle savait pas ce qui l'attendait.
Et puis, je l'ai attachée. Sans aucune raison, juste celle de la voir se débattre. Parce que de toute façon elle n'aurait pas pu aller bien loin.
J'ai caressé son visage avec ma queue, très doucement...
Je l'ai embrassée, et j'ai senti son visage se raidir contre le mien. Je l'ai entendue ecarquiller les yeux.
J'ai pris le temps de la déshabiller. J'ai déboutonné son gilet, et j'ai terminé par les chaussettes. En prenant bien soin de lui laisser sa culotte.
J'ai fait glisser ma main, dans tous les sens possible, sans jamais toucher son sexe.
Brutalement, j'ai senti l'envie de le caresser. Tout en la regardant.
Sa chatte dégoulinante de sueur, ses yeux suppliants.
Elle avait enfin compris.
Mon érection était tellement forte, qu'elle en devenait douloureuse. Pour essayer de me calmer, j'ai introduit mon phallus dans sa bouche.
Elle lappait, comme un chien. Si furtivement que je sentais ma queue se durcir encore, et encore.
J'ai baissé sa culotte, et je me suis mis à lécher son entre jambe brûlant. Je me suis mis à sa taille et j'ai caressé son clito avec ma queue.
Je passais de temps en temps à son vagin, très délicatement. Je poussais un peu, et dès que je voyais son visage se tordre de douleur une nouvelle fois, je m'arrêtais.
J'ai pas tenu, il fallait que je sente combien son intérieur était étroit, mouillé, et réticent à ma venue.
J'ai poussé. Très fort. Jusqu'a ce que ses hurlements me fassent éjaculer.
Ne pouvant pas réavoir une érection tout de suite, je l'ai laissée se calmer quelques minutes. Et puis je l'ai retournée. Ma bandaison encore plus violente que la précédente, tant l'idée de la sodomiser était encore plus excitante.
J'ai passé un coup de langue bref sur son anus, et j'y ai entroduis ma queue dure comme du fer. D'un seul coup. Ca a peut-être duré plus d'une heure, il fallait que ça dure. Il fallait que je profite grandement de cet instant.
Je savais que je n'allais plus jamais la revoir en bon état, après cette nuit. Et ça me rendait triste, j'étais amoureux.
J'ai loué un autre appartemment. Dans une autre ville, je passais la voir de temps en temps, en la regardant pourrir. Je ne comprends même pas que les voisins n'aient pas senti cette odeur abominable de décomposition.

Et chaque fois, j'avais le coeur lourd, en repartant.