Leurs marches de langueur dans des traces impures
Justice sommaire, dos contre le mur
Lumieres et esprits en pleine déchéance
Rêves abolis pour règne d' inconscience
Justice sommaire, dos contre le mur
Lumieres et esprits en pleine déchéance
Rêves abolis pour règne d' inconscience
Bienvenue dans nos temps de peur et confusion
Fins sans rancoeur, la chance t' a souri
Coeur déchiré entre confiance et envie
Odeurs de chlore et craintes en éclosion
Force humaine, tu trouvera tes limites
La jalousie que les bonheurs suscittent
Pour un respect confiné à l' apparence
Rêves abolis pour règnes d' inconstance
Bouc emissaire, chaque corps et esprit libre
Morcellement des fins et ensuite des moyens
Masse de mépris dans les mots du doyen
Bravoure imitée, pour que l' égo s' enivre
Beautés nouvelles dans le sang et le feu
Drogues spirituelles pour leur race et leur dieu
Victimes et coupables en toutes circonstances
Rêves abolis pour règnes d' intolérance
Un drap humide, cadeau des represailles
Couvrant un corps qui n' en a nul besoin
La dissidence en pature a des chiens
Cacher le génie pour dévoiler les failles
Des jambes lourdes qui n' avanceront plus
Ce comfort simple dont nous nous sommes imbus
Entre couilles vides et un crane en carence
Rêves abolis pour règnes de pestilence
Et nous convergeront en un point inutile
Nos vies sont faites pour oublier l' enfance
Rêves abolis pour règne de complaisance
La joie se décharne comme les jours s' empilent
Fins sans rancoeur, la chance t' a souri
Coeur déchiré entre confiance et envie
Odeurs de chlore et craintes en éclosion
Force humaine, tu trouvera tes limites
La jalousie que les bonheurs suscittent
Pour un respect confiné à l' apparence
Rêves abolis pour règnes d' inconstance
Bouc emissaire, chaque corps et esprit libre
Morcellement des fins et ensuite des moyens
Masse de mépris dans les mots du doyen
Bravoure imitée, pour que l' égo s' enivre
Beautés nouvelles dans le sang et le feu
Drogues spirituelles pour leur race et leur dieu
Victimes et coupables en toutes circonstances
Rêves abolis pour règnes d' intolérance
Un drap humide, cadeau des represailles
Couvrant un corps qui n' en a nul besoin
La dissidence en pature a des chiens
Cacher le génie pour dévoiler les failles
Des jambes lourdes qui n' avanceront plus
Ce comfort simple dont nous nous sommes imbus
Entre couilles vides et un crane en carence
Rêves abolis pour règnes de pestilence
Et nous convergeront en un point inutile
Nos vies sont faites pour oublier l' enfance
Rêves abolis pour règne de complaisance
La joie se décharne comme les jours s' empilent