J'aimais les amours de terroir
J'aimais ces races que n'admirent
Pas les grands seigneurs dans les foires
Agricoles j'aimais sentir
La déréliction le martyr
Ces culs résignés où l'on lâche
Ses bas instincts sans coup férir
Du temps que j'enculais les vaches
J'aimais ces races que n'admirent
Pas les grands seigneurs dans les foires
Agricoles j'aimais sentir
La déréliction le martyr
Ces culs résignés où l'on lâche
Ses bas instincts sans coup férir
Du temps que j'enculais les vaches
Majorettes des prés, vraies moires,
Maîtresses des ruraux plaisirs
J'écumais tous vos abreuvoirs
Puis en vous venais me finir
A l'aube je voulais mourir
Vautré dans vos bouses - ça tache -
Toute honte bue j'ai fait pire
Du temps que j'enculais les vaches
Je repense parfois le soir
A ce jour où je vis partir
La jolie bretonne pie noire
Droit vers l'abattoir sans faiblir
Je suis resté là sans rien dire
Son regard m'implorait moi lâche
J'étais vil et sans repentir
Du temps que j'enculais les vaches
ENVOI
Chère accueillez ces souvenirs
Sans que jalousie trop ne crache
Son feu j'étais sans avenir
Du temps que j'enculais les vaches
Maîtresses des ruraux plaisirs
J'écumais tous vos abreuvoirs
Puis en vous venais me finir
A l'aube je voulais mourir
Vautré dans vos bouses - ça tache -
Toute honte bue j'ai fait pire
Du temps que j'enculais les vaches
Je repense parfois le soir
A ce jour où je vis partir
La jolie bretonne pie noire
Droit vers l'abattoir sans faiblir
Je suis resté là sans rien dire
Son regard m'implorait moi lâche
J'étais vil et sans repentir
Du temps que j'enculais les vaches
ENVOI
Chère accueillez ces souvenirs
Sans que jalousie trop ne crache
Son feu j'étais sans avenir
Du temps que j'enculais les vaches