Daria

Le 29/12/2006
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par MantaalF4ct0re
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Thèmes / Débile / Disjoncte
Ce texte n'a aucun rapport avec l'auteuse inactive (et conne) de la Zone. Bonne nouvelle, ça n'a aussi aucun rapport avec les merdasses dont l'auteur est coutumier. C'est pas une merveille de classe internationale, mais c'est tout à fait réjouissant dans le genre du célèbre texte zonard 'la passion de Bernard'. Ici c'est une charmante petite ratte qui va avoir droit à l'affection déplacée du narrateur. C'est plus romantique et beaucoup moins gore que le chef-d'oeuvre de Vassago, mais tout autant pornographique. Recommandé.
Je ne voudrais pas faire le difficile mais pour un dépucelage j'aurais préféré moins étroite quand même. Je n'en demandais pas tant.
Elle me plaît. Elle est belle, douce, câline. Mais rien n'y fait. Impossible de fourrer mes 18mm (de diamètre) dans sa petite vulve.
A moins de forcer, mais cela lui serait douloureux, et je l'aime trop pour lui faire mal.
J'ai rencontré Julie au travail. Une collègue charmante,agréable, sérieuse. Je suis certain que ses élèves l'adorent. Au bout de quelques semaines nous avons facilement sympathisé. Un soir, elle m' invité chez elle après les cours. Nous avons discuté de tout et de rien. Elle s'est révélée être une jeune femme charmante, ouverte, qui elle aussi aime les animaux.

C'est là qu'elle m'a présenté sa ratte: Daria.

Tout de suite, ça a été le coup de foudre entre nous.

Daria, si douce, si attentive, m'a semblé être une compagne parfaite.Peu bavarde, souriante, aux courbes enchanteresses. Une petite femelle idéale, en somme, sérieuse, mesurée, sachant néanmoins s'amuser, toute guiullerette qu'elle est après m'avoir sucé quelques gouttes de whisky ou de vodka au bout du doigt, ce qui n'a jamais manqué d'ailleurs de me flanquer une érection spectaculairement rigide.
Si bien que j'ai même manqué plusieurs fois de jouir dans mon pantalon, à force de sentir la caresse de ses petites pattes lorsqu'elle monte sur mes genoux, me procurant un plaisir incomparable, tout cela sous les yeux de Julie, qui n'a jamais rien remarqué. Heureusement mes quinze années d'expérience de la masturbation m'avaient déjà fourni l'occasion de m'exercer à la rétention.

Si j'avais été convaicu que Julie ne me voyait pas comme un simple ami, moi le prof d'histoire myope aux horribles lunettes, fade,stressé, laid, sans humour, n'ayant jamais eu la moindre expérience vaguement sexuelle avec les femmes, peut-être aurais-je tenté de lui plaire.. Mais je n'ai même pas eu le temps de me faire d'illusions quant à d'éventuelles chances avec elle: Daria était déja dans mon coeur.
Elle me dépucèlerait, enfin, pour mes 30 ans. Même étudiant, en résidence universitaire, lors des soirées où l'alcool et les joints étaient massivement de la partie, je n'ai jamais conclu, pétrifié dans mon coin, buvant jusqu'à retourner saoul dans ma chambre pour y vomir dans le lavabo et dormir ,seul. Eternel solitaire, amer quant à la gent féminine, à 25 ans j'avais déjà perdu toutes mes illusions.

Cependant, à ma grande surprise, avec Daria un avenir plus rose s'est enfin dessiné.

Au fil des semaines, je me suis efforcé d'être d'agréable compagnie à Julie, afin de voir souvent Daria. J'ai buché consciencieusement afin d'apprendre quelques bonnes vannes, quitté les lunettes pour des lentilles, changé de coupe de cheveux, adopté un look plus à la mode, je me suis mis à la musculation... et cela a donné ses résultats. Depuis deux semaines elle m'invite tous les soirs, à voir un film, boire des verres...elle m'a même proposé de dormir chez elle, un soir où j'avais beaucoup bu. Evidemment j'ai refusé.

Ayant gagné sa confiance, j'ai pu lui demander de garder Daria avec moi un soir, afin d'avoir de la compagnie pour corriger quelques copies, me détendre au contact de ce petit être apaisant.Bien sûr, devant notre complicité, et la petite lueur dans les yeux de Daria quand je la caresse chez elle, Julie n'a pas refusé, au contraire. " Comme ça ce sera un peu comme si je t'aidais" avait elle ajouté en souriant. Seulement , pour accomplir mon projet, je ne pense pas qu'elle aurait réellement souhaité collaborer.

Toujours est-il qu'elle m'a confié Daria il y a environ deux heures, et que je suis censé la lui rendre demain.

Nous voilà donc enfin seuls, Daria et moi. C'est le grand soir, et j'ai mis toutes les chances de mon côté. Pour la détendre, lumière tamisée, un peu de musique douce, du jazz...comme les tombeurs dans les films. Un peu de Baileys également a été apprécié. Nous avons beaucoup conversé, sans compagnie indésirable...du coup, nous avons pu nous livrer assez intimement je dois avouer, nous nous sommes racontés nos vies...Pour ne pas l'apitoyer je ne lui ai pas avoué ma virginité, j'ai même inventé quelques ex..
Puis, en nous rapprochant, nous sommes progressivement passés aux choses sérieuses. Quelques caresses de plus en plus prononcées, quelques bisous. Elle a eu l'air d'aimer, me répondant par de nombreux petits baisers et mordillements, et son petit ronronnement si mignon...

Seulement voilà, alors que je pensais enfin tremper le biscuit, sa petite vulve s'avère trop étroite.

J'ai eu beau essayer l'huile de moteur, la graisse à traire, le dégrippant....elle me résiste.

Je la caresse pour la détendre.

Nouvelle tentative.

Rien à faire.

Je la caresse encore, puis je sens ma main se crisper autour de son cou. Elle crie. Cela m'excite au plus haut point mais je ne peux pas assouvir mes pulsions.
Je resserre. Elle crie encore plus fort.

Je n'en peux plus.

Encore un essai, toujours aussi infructueux..je risque même une petite sodomie, mais c'est encore pire.

Je commence à trembler.

Mon bras se raidit à son tour. Je sens une espèce de montée de chaleur dans mon crâne, le sang qui semble vouloir faire éclater mes tempes à chaque battement cardiaque soulevant mes veines.

L'espace d'une fraction de seconde je revois défiler toutes ces salopes qui n'ont pas voulu de moi, m'ont pris pour un con, m'ont dévalorisé, au collège, au lycée, à la fac, et ma mère aussi, cette grosse pute...qui se sont toujours faites troncher par des minables alors que j'étais là plein de bons sentiments prêts à tout pour elles....Un élan noir m'emporte....Daria, tu ne vaux pas mieux qu'elles!!! Salope!!!

Je ne réalise ce que je viens d'accomplir que lorsque j'ai fini d'essuyer la longue trace de sang coulant du mur jusqu'à une petite flaque sur le lino,au moment précis où la feuille d'essuie-tout souillée rejoint sa petite dépouille poilue, éclatée et molle dans ma corbeille à papier.