...Puis, quand levaient au ciel les grandes voûtes, dans la senteur des palmes,
Au soir hurlaient les singes, sur les rames immenses et sombres.
Et le soleil crevait doucement, asphyxié par l’ombre…
Au soir hurlaient les singes, sur les rames immenses et sombres.
Et le soleil crevait doucement, asphyxié par l’ombre…
J’ai dit à la nourrice : je joue sur les pierres chaudes et humides.
Car on y trouve souvent, des bêtes d’or et de couleurs !
(C’était donc en des temps lointains)
Ici l'oeil pousse quelque lézard au ventre gonflé.
Ha... cette peur qui délivre les jambes... comme les cris d’oiseaux des bouquets verts.
(Dieu! Si la mémoire est fertile les mouvements l'étaient aussi)
Le combat fut bref.
Et les livres, terribles plaintes des hautes gens, les livres, avaient mentis...
Car le corps tremblant, l’animal s’écoule, sans flammes ni trophées
Sous les courbes des mangroves.
Que l’air était donc tiède et insouciant !
(Il faut dire qu'en ces âges, on ne souciait point des sentiments du coeur)
Mais portée par le vent se répandit la nouvelle honteuse,
Jusqu’au front des arbres hautains et nonchalants,
De celle d’un crime d’enfant.
Car on y trouve souvent, des bêtes d’or et de couleurs !
(C’était donc en des temps lointains)
Ici l'oeil pousse quelque lézard au ventre gonflé.
Ha... cette peur qui délivre les jambes... comme les cris d’oiseaux des bouquets verts.
(Dieu! Si la mémoire est fertile les mouvements l'étaient aussi)
Le combat fut bref.
Et les livres, terribles plaintes des hautes gens, les livres, avaient mentis...
Car le corps tremblant, l’animal s’écoule, sans flammes ni trophées
Sous les courbes des mangroves.
Que l’air était donc tiède et insouciant !
(Il faut dire qu'en ces âges, on ne souciait point des sentiments du coeur)
Mais portée par le vent se répandit la nouvelle honteuse,
Jusqu’au front des arbres hautains et nonchalants,
De celle d’un crime d’enfant.