Madame Duchemin

Le 09/03/2007
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par B52
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Thèmes / Débile / Idiot
Après son script de téléfilm pseudo-aphrodisiaque du jeudi soir, B52 s'essaye au porno gérontophile. Ça se veut drôle, avec des dialogues à la limite entre Oui-oui et les films érotiques de RTL9, mais même au 586ème degré, on parvient pas à sourire. Tout ce que ce texte fournit, c'est un désir incoercible de faire exploser la tête de l'auteur avec tout et n'importe quoi.
-" Driiing"
-" Tiens tiens, qui çà peut bien être?"
J'ouvre, laissant un petit espace pour voir qui se cache derrière la porte.
-" Bonjour Madame, Alain Ducoin, société minable, vous connaissez?"
Je réponds que non. Il me fait un sourire charmeur et laisse entrevoir des canines jaunâtres. Il doit certainement fumer mais cache les mauvaises odeurs de tabac sous du parfum bon marché. Il est plus jeune que moi, je le laisse entrer, je m'ennuie tellement ici...
-" Vous avez fait le bon choix Madame! Madame?"
- " Madame Duchemin, Monsieur Ducoin!"
Il me sert son argumentaire comme un bon petit écolier et me fixe de ses grands yeux bleus larmoyants. On dirait un petit animal de dessin animé, je m'attendris.
-"Vous verrez, vous ne serez pas déçue Madame Duchemin!"
Il passe sa langue de haut en bas sur ses lèvres gerçées, en me regardant fixement. Je replace mes lunettes et règle mon appareil auditif.
-" Comment?" lui dis je, grimaçante. Il me dit qu'il fait beau aujourd'hui.
- "Oh oui, c'est encore doux en cette saison."
-" Vous savez", dit il, d'un air sûr de lui, "Si vous acceptez de me sucer, je vous fais la deuxième fenêtre gratuite!"
-"Comment? Gratuite? Ah oui, gratuite? C'est très bien çà! Si mon robert pouvait voir çà.."
Il pose sa main sur mon châle en pure laine vierge et caresse mon dos de façon circulaire. Il me plaque sur la table, les yeux brillants, plein de fougue. Je ne sourcille pas. Il n'est pas étonné.
-"Mmm chienne, je savais que tu en voulais", puis il baisse son pantalon. Il n'a pas de sous vêtements, c'est plus pratique. Il me pénétre mais ma chatte n'est pas très ouverte, alors il insiste et enfonce la totalité de sa verge. "Argh c'est bon!"
J'en perds mon dentier.
- " Tu aimes quand je te laboure, salope?"
Il prend un air repenti, tout en me pénétrant.
- " Excusez moi Madame Duchemin, j'aime bien insulter ma partenaire pendant l'acte mais vous savez, je suis pas méchant". Je réponds par un cri, que j'aime vraiment çà, qu'elle est bien grosse. Il me baise pendant plusieurs minutes, qui me paraissent interminables. Il finit par ejaculer en moi et essuie le bout de sa bite avec mon tablier à carreaux bleus. Il me laisse sur la table, la bretelle du soutien gorge sur le bras et le dentier par terre. "Oops... en criant, il a du valser, hi hi!"
- "Je vous dois combien monsieur? "
Il me repond qu'il veut bien un verre de liqueur, pour faire passer tout çà. Je vais chercher la bouteille, posée sur le mini bar orange, sur lequel est posé un joli napperon. Le chat me regarde, les yeux mi clos, indifférent. Je le regarde aussi et je pense:" Mon pauvre robert, s'il voyait çà...". Alphonse miaule. Il a faim. Je m'abaisse avec difficulté pour prendre son écuelle vide et la remplir de croquettes premier prix. Alain Ducoin profite de ma position et s'agrippe à ma hanche d'une main, soulève le jupon de l'autre et abaisse précipitamment ma gaine couleur chair.
- " J'ai pas fini mémé, j'en veux encore". Il introduit un doigt dans mon anus, puis deux. Je me retourne et m'assure que c'est bien Alain Ducoin et pas l'autre employé de mairie qui vient m'enfourner. Rassurée, je laisse Alain Ducoin sentir ses doigts imprégnés de mon odeur corporelle et me sodomiser avec le mini vase posé sur la console. J'esquisse un sourire de satisfaction. Il embrasse la peau ridée et tâchetée de mon cou. Il mordille un peu mes oreilles.
- " Maintenant j'ai presque fini ma douce Madame Duchemin". Il rentre sa grosse queue dans mon orifice bien dilaté et finit par ejaculer sur mes fesses creusées d'escarres. "Làààà, tout doux, j'ai fini Madame Duchemin" et il soupire. Je soupire aussi en me frottant les fesses de contentement. Je lèche le reste de sa semence sur son sexe pour bien nettoyer tout ce chantier! Je n'oublie pas de nettoyer les quelques gouttes sur le sol également. Il me montre une tâche sur son mocassin droit: "Là aussi, ma poularde !" . Slurp slurp, je nettoie bien pour que ça brille, en laissant quelques fils de salive. Il est content et va s'asseoir sur le canapé en velours vert pour remplir le devis. Il inscrit la somme, remise incluse. " Voilà ma petite dame, c'est un immense plaisir d'être reçu chez vous!"
Je lui dis que je ne suis pas déçue et je remets mon dentier. Je lui sers sa liqueur de poire dans un verre à goutte du dimanche. Il ingurgite le verre d'un trait, prend son porte document et s'en va. Je le regarde partir en me servant un grand verre de liqueur à mon tour. Je vais faire la vaisselle, marchant avec peine.
-" Driiing!"
- " Ah ? Serais ce encore mon beau prince?"
Je vais ouvrir, avec peine, boitillante mais comblée par la prestation du jeune vendeur.
- " Bonjour Madame Duchemin, c'est francky! Voici votre repas!"
- " Merci mon bon Francky!"
- " Euuh... vous m'invitez pas aujourd'hui?"
-" Voyez vous francky, Anna, l'infirmière, vient soigner mes escarres après le repas, je ne vais pas pouvoir jouer au scrabble avec vous! Vraiment désolée!"
Il renifle et d'un revers de la main gauche essuie sa truffe. Il se caresse lentement l'entrejambe et met un doigt sur la bouche de Madame Duchemin, l'air coquin et joueur.
"D'accord Madame Duchemin, une autre fois peut être...". Je scrute son entrejambe jusqu'à sa moustache coupée façon années cinquante.
-"Aurevoir Francky".
-"Ah !J'allais oublier votre repas Madame Duchemin! tenez." Je prends le colis et rentre dans mon appartement. Je pose le colis et ouvre le contenu, en m'asseyant sur la chaise rembourrée. "Aie aie aie, j'ai mal". L'odeur est alléchante, une odeur sucrée. J'enlève le film plastique de la barquette. Ce midi, c'est sauté de veau et riz nature. Dessert: pomme au four. L'entrée ressemble à du vomi de bébé. Bizarre, sur la fiche ils disent que c'est du céléri rémoulade. Je referme le colis et je vais à la cuisine. J'ouvre le placard couleur cerisier et je prends un paquet de chips à l'ancienne.
-"Driing!"
- "Raaah! Qui vient m'enquiquiner quand je mange mes chips favorites? "
Je vais ouvrir, c'est Anna, l'infirmière remplaçante. Deux fois qu'elle vient celle là. Toujours bien maquillée, bien coiffée, parfumée au jasmin. Mon thé préferé... Je lui demande d'entrer. Elle pose sa grosse malette noire sur la table en chêne et me demande comment vont mes escarres. Je pense: qu'est ce que ça peut lui foutre? Elle me demande de m'allonger sur le ventre. Elle me soigne avec douceur, en faisant la conversation.
-" Ecoutez, c'est pas mon habitude de poser des questions indiscrètes..mais.. qu'avez vous fait pour saigner autant du derrière?" Gênée, je réponds. " Hé bien, voyez vous ma petite Anna, les mamies aussi ont droit d'avoir du plaisir, mais le vendeur a forcé ...le passage..."
Elle écarquille ses beaux yeux verts et fait mine de comprendre. Alors elle caresse mes doux cheveux blancs aux reflets bleus et de sa main gantée m'enfonce un doigt dans le vagin. Je suis etonnée par son geste mais je me laisse faire.
-" J'aime beaucoup les personnes âgées vous savez, depuis toute petite, je soigne mes grands mères".
Elle déboutonne son chemisier et passe sa main dans son corsage immaculé. Je devine ses tétons durcir sous le tissu. Quelle salope cette Anna!
- " Tout s'explique" lui dis je en me retournant. Elle m'envoie un baiser en soufflant sur sa main toujours gantée et continue son exploration vaginale. De l'autre main, elle explore mon anus et fouille bien profondément, sa main entière est passée. Je pousse un cri de plaisir et me cramponne à l'accoudoir du canapé en velours. Elle sourit et sort de mon cul le mini vase que Monsieur Ducoin avait introduit quelques heures plus tôt...
-" Un oubli..." lui dis je, à demi embarassée.
-" ça m'arrive tout le temps" dit - elle, ricanant comme une hyenne.
Nous continuons de faire l'amour sur le moelleux canapé. Elle relève ses cheveux blonds et penche la tête en arrière. Sa poitrine ressort davantage. De mes mains fripées, je malaxe doucement ses seins veloutés. Elle commence à caresser son clitoris piercé et epilé. Mmmm, c'est vraiment la plus belle garce que j'ai jamais vu. Elle s'enfonce dans le canapé et ecarte les jambes. Alors j'ôte son petit string en dentelle avec mes fausses dents. Je lui lèche doucement le clitoris et les lèvres. Elle soupire de plaisir et se raidit grâce à ma vieille langue experte. Elle jouit, trop vite et très intensément, les doigts crispés sur le velours emeraude du vieux canapé.
-" Merci Madame Duchemin!'
-" De rien mon enfant!"
Je l'aide à s'habiller.
Elle finit les soins qu'elle avait commencé et s'en va, laissant quelques billets dans le vide poche.