Dame,
Je te porte en mon cœur ; et te porte l’obole
De n’avoir au poitrail que rancœur et cloportes
Hérissés à l’envers et les pattes battant
La chamade méchante d’un nom sans noblesse.
Car ton œil est splendeur ; mais sa lumière immole,
En l’âtre creux et noir où le Diable m’emporte,
L’idolâtre crétin dont en vain l’âme attend
La transcendance altière et les molles caresses.
Ma queue seule s’élève ; et raide elle se dresse.
Que ton cul soit calice et le culte salir ;
Intestinale soit ta lumière et ma lyre ;
Je noie tes yeux de sperme et bouffe entre tes fesses
L’ostie que tu échappes - lie du vin de messe ;
Soit. La musique n’est que pucelle faiblesse.
De n’avoir au poitrail que rancœur et cloportes
Hérissés à l’envers et les pattes battant
La chamade méchante d’un nom sans noblesse.
Car ton œil est splendeur ; mais sa lumière immole,
En l’âtre creux et noir où le Diable m’emporte,
L’idolâtre crétin dont en vain l’âme attend
La transcendance altière et les molles caresses.
Ma queue seule s’élève ; et raide elle se dresse.
Que ton cul soit calice et le culte salir ;
Intestinale soit ta lumière et ma lyre ;
Je noie tes yeux de sperme et bouffe entre tes fesses
L’ostie que tu échappes - lie du vin de messe ;
Soit. La musique n’est que pucelle faiblesse.