Du bois de chauffage pour la fête des surmoi

Le 15/04/2007
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par Saintshaka
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Thèmes / Saint-Con / 2007
J'aime bien les poèmes de Saintshaka, ce qui fait de lui un putain de privilégié. Mais là, faut reconnaître, c'est de la grosse merde incompréhensible et chiante. C'est un texte de Saint-Con en plus, dixit l'auteur. Alors bon moi, bonne poire, je publie pour la Saint-Con. Mais je vois pas le rapport entre cette chose et notre fête adorée. Foutage de gueule.
Une autre guerre et une confrérie opposent notre ciel vide rempli par un flash d'obscurité que j'ai entendu.
Mille alertes de vous et de moi: je pense juste à ce que mes yeux mettent en boîte
Et voient que le changement se fait dans le vide; tout de l'esprit oublié est sous la commande,
Le destin s' est trompé de destinataire souriant, pour le plaisir,
Genèse des espoirs d'être juste le cadavre a accrocher en bas de la corde.
Rien que pour moi;
L'aimant de haine, un homme lynché par la foule fâchée. J' ai embrassé leur poings.
Que votre esclave galeux pense à vous! Ainsi tous vos mensonges semblent être chose vraie dans vos bouches.
Là n'est plus rien, je bidonne mes croyances, prend mes sentiments: le cambouis!
Quelque chose suggère au piège à âme fracassés de nous sacrifier et se casser .
La volonté de mal est dans des vos mains et vous protège.
Mon coeur du sable, les larmes du sang semblent s'émietter et aujourd'hui coulent pour moi.,
Vos entrailles grondantes ont avalé toutes les choses que vous avez dit avoir aimé
Les ongles ont collé dans ma tête: je me sens trahi, vous lisez mes rêves.Trop de douleur.
Mais mon cri perçant du ventre crée une autre harmonie, vous donner l' assaut
Sans que vous sachiez que chacun de nous deux seul sent votre espace
Le froid de coeur vers le bas, comme des brûlures de mine qu'ils ont essayé de m'enseigner.
Toutes les choses je le truque et je t apprends que je peux juste m'attendre à un chuchotement de calme
Puisqu'en tant que vous, tuez-moi au sujet de mon sauveur, mon mausolée aimé par confiance
Voici la course de finition ! poncez les tours pour épousseter comme vous etes mon Saturne,
Pour peu, je serais votre anneau, ainsi vous pourriez tous me voir.
Je ne suis rien et ne tourne jamais tout autour de vous, si vous pouvez être gêné à mon sujet,
Soufflez la pièce de la gorge, ma source de vue car je suis aveugle .
Que je sente ainsi votre lumière près de moi, je ne vole jamais votre chaleur.

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