Débilorama : de l'écriture automatique pure

Le 29/06/2007
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par Osiris
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Thèmes / Polémique / Semaine 'textes de merde' 04
Osiris, comme Lahyenne a décidé de faire dans l'improvisation totale, ce qui ne manque pas d'être destructeur. Hélas pour lui, il n'a pas pensé à laisser les fautes de frappe, et son texte est pas loin d'être lisible. C'est pas le manque de lisibilité qui tue le texte, c'est le manque d'intérêt. Limite si dans le délire, y a pas un ou deux trucs rigolos, ce qui est une hérésie.
AVERTISSEMENT (à publier avec le texte) : Ce texte n'a aucune visée, et par conséquent aucune visée humoristique. Il s'agit d'une pure expérience d'écriture automatique, et donc de destruction de texte. Je ne pense même pas qu'on puisse juger de sa qualité, car il n'y a aucune recherche de style ou de quoi que ce soit. Je le publié pour la semaine textes de merde car il me semble que c'est ce qu'il mérite. Je n'ai rien changé au brouillon, pas une virgule, pas même les fautes d'orthographe. Passé cette intro courte mais pourtant déjà chiante, voici le texte.
Se déconcentrer. Primo, se déconcentrer. On s'en fout de se déconcentrer. Ca viendra au fur et à mesure.

Car; je suis un hobby. Hobby wan kenoby. C'est quoi ce truc ? ha ha même pas drôle. Honk ! Rien ni personne ne me mentira. Je suis le menteur ultime. Jamais je n'ai menti - mais je me rends compte d'une contradiction avec la phrase précédente. Ne suis-je pas ?

Vous puez. Puez vous ? Puévous ? Puévoo ? Voo ? François. René de Châteaubriand. Car; je qeste l'infini à travers le car point virgule de Lautréamont l'auteur le plus génial de tous les temps. Ou pas. Goethe était-il plus intelligent ? Des souffrances du jeune Werther point ici ne ferai le commentaire. Des chants de Maldoror non pas.

Phrases incohérentes. De la folie pure. "Qui donc, sur la tête, me donne des coups de barre de fer" ? Je n'ai pas mal à la tête. Je n'ai pas mal à la têteu je n'ai pas mal alatêt ! Je n'ai pamalalatet tadadadadasoin !

Le sinus d'un angle aigu est égal à longueur du côté opposé à cet angle sur longueur de l'hypothénuse. Fonctions trigonométriques. Délire psychosomatique. Merdique. Mais je ne comprends pas ce que ça fout ici. Vous non plus. C'est le but.

                                SUITE D'APRES

Reprise de la pensée. Insérer la fin du texte au milieu. Voilà une idée de génie. En fait c'est parce qu'il ma restait deux pages non utilisées dans mon cahier. Ha. Ha. Je défie quiconque de comprendre quelque chose à ce texte.

"Que non pas être toi". "avec un peu plus de personnalité, ça nous fera un bon auteur." Que j'arrache des intestins.

C'est après plusieurs semaines que je reprends ce texte. Je suis fatigué.

Des lesbiennes ! RAAAH, tuons les ! heu...non...
-niquons les !
-ta gueule ta gueule ta gueule ta gueule ta gueule
-baisons-les, tuommmmfffff...
-UN ENFANT UNE CHÊVRE UNE TRONCONNEUSE! LALALALILALALALALALA
-Merci Igor.

Je disais donc, niqu...merde...tuons ces putain d'hommes qui veulent violer les lesbiennes.

Que les faibles périssent, et que leurs membres pourrissent. Priez et méditez sur une foulika. Et que la déesse de la nuit, son nom soit sanctifié !

Car; rien ni personne jamais ne me mentira.

Fussé-je celui qui fait coucou roucou cui cui. Fussé-je celui qui ne fait pas cui cui. Coin.

Coin ? UN CANARD !!!

-Tuons-le !
-baisons-le !
-Tuons-le et baisons-le !
-Excusez-moi, mais il me semble que vous négligez le problème, car à trop limiter l'importance des données en relativisant comparativement à l'immensité de l'univers, appliquant évidemment avec rigueur le principe copernicien de la non-particularité de l'homme et de la Terre au sein de celui-ci...mais...Mais lâchez-moi, je ne vous permets pas, je...non...NOOOON !!!

Dark-spiderman : Bon débarras.
Macbett : Un jour je serai archiduc à la place de Duncan !
Moi : Honk ! Hooonk ! HOOOOOOONNKKKK !

Mais que voilà un esprit bien organisé !

Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini - Car; je queste l'infini (etc...)

                                            FIN

                                            SUITE DU DEBUT

Je pleure, je pleure comme un...

C'est après plusieurs heures que je reprends ce texte, et je suis encore plus fatigué. Preuve s'il en faut (je ne la donne que par condescendance, car je pourrais tout aussi bien vous demander de me croire sur parole), je viens de perdre une partie d'échecs contre un 1200 Elo. Alors que je tourne en moyenne autour de 1600 Elo. Bah. Vous vous en foutez. Peut être comprendrez-vous un jour.

Je vous hais. C'était dans mon texte de propagande nihiliste mais, je ne publierai pas celui-ci. Je suis fatigué. Peut être mon esprit/cerveau pourra-t-il me faire cracher un ou deux cris de haine souffreteux, comme un malade qui... Je ne me souviens plus de ce que je voulais écrire.

Qui êtes-vous ? Lisez-vous dans mes pensées ? QUI D'ENTRE VOUS PEUT PRETENDRE LE CONTRAIRE, BANDE DE FILS DE PUTE ?!? VOUS LISEZ DANS MES PENSEES JE LE SAIS !!!!!

Mais, ha ha, je peux contrôler mon esprit. Quiconque s'approcherait de moi, le dessein de connaître le contenu de mon cerveau se lisant sur mon visage, ne découvrirait qu'un maëlström d'associations d'idées illogiques tendant vers une complexité de plus en plus grande, et capable de rendre fou le plus habile des nécromanciens dévoreurs de cerveau - personnages pittoresques s'il en est que mon cerveau, dont les circonvolutions ne peuvent pas ne produire que de la pensée cohérente, voire des mots, considérant le fait que les mots sont peut être le summum de ladite pensée cohérente; car, n'oublions pas que ce sont eux le support de toute idée structurée (ou structurante, une pensée logique et puissante étant forcément capable de recréer de l'ordre dans le chaos le plus total, faisant naître des architectures, parfois de toute beauté, parfois insupportables, mais toujours régies par des règles strictes - des schémas de pensée), a fait naître en une image riddicule d'irréalisme tant ils ressemblent à des personnages de dessins animés.

Comme disait mon idole : si le lecteur trouve cette phrase trop longue (le reste est de moi, et vous sentirez sans doute à quel point mon style semble au dessous de l'original, mais je m'en fous), qu'il crève étouffé par l'écran sur lequel elle est affichée. D'aucuns me répondront qu'il semble difficile de mourir d'une telle manière, les voies respiratoires humaines étant trop étroites pour qu'un objet aussi gros puisse les pénétrer; partant, les obstruer. Je lui répondrai qu'il ne faut pas sous estimer les facultés de dilatation de la chair humaine, et lui donnerai pour preuve les vidéos abominables de fist-fucking et de dilatation extrême que l'on trouve sur internet. Et même, s'il est impossible de faire rentrer l'écran en un seul morceau, qu'on le fasse en plusieurs. Les éclats de verre ne feront qu'ajouter une note cristaline/puérile/idiote à ce putain de texte de merde/de rouge/de couleur/j'en ai marre d'énumérer les différentes possiblités et je m'arrête là/ à la scène déjà Ô combien jouissive de la mort de mon lecteur.

Ce texte est déjà certainement en train de lui ronger le cerveau. Sa raison ne peut sortir intacte de la lecture d'une telle abomination chaotique. ha. ha.

Oh mon dieu mon cerveau est détruit. Ou fatigué. Ma raison hagarde, fixée trop longtemps sur un même objectif, commence à s'étioler. Mais passons à autre chose.

Que donc l'inspiration d'un nouveau sujet sorte du chaos de ma pensée. Processus itératif.

RAAAH JEVOUS HAIS JE VOUS HAIS JEVOUHAIS JEVOUHAIS !

Pute. Pute pute. pute pute pute pute pute pute pute pute.
            Houba         Houba         Houba    Houba    Houba

(je suis un orang-outan. Non...je suis un con qui écrit.
"-Tu es un con
-je suis un con
-mais un génie
-car non pas con. Combre.
-Mais...Mais qui es-tu ?
-je suis moi.
-mais ? Je suis moi aussi !
-Débile psychosomatique.
-mais génial quand même.
-Mais moi suis cestui qui destruira CE foutu monde !!!
-Le monde se meurt d'un mal inconnu. Je ne veux pas de toi dans ma tête.
-dis bonjour à mes potes alors.
-Salut    -salut -salut -salut salut
-salut -salut
-salut - salut -salut
-merde")

Vous n'avez pas le droit de lire dans mes pensées. Moi. Seul maître à bord d'un esprit à la dérive. Vous ne comprenez pas, madame. Vous êtes ce que je définis par "médiocre".

*Interruption temporaire de pensée*
*Relecture du texte par son auteur, qui se sent très con d'avoir écrit un tel ramassis de conneries.*

                             SUITE AU MILIEU.