Vacances en Vendée

Le 23/02/2008
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par Massime
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Thèmes / Débile / Vie quotidienne
Wow, jamais rien lu d'aussi mal écrit. Conjugaison arbitraire, contructions de phrases abracadabrantes, adjectifs aléatoires et clichés stupides à tous les étages, c'est une pure merveille. Dommage que l'histoire, qui forme la suite du texte 'Tobby' n'ait pas le moindre intérêt et s'achève en queue de poisson (en attendant un troisième épisode ?), parce qu'avec un style aussi pathétique, y avait moyen d'avoir un putain de chef d'oeuvre.
Le paysage défile rapidement mais pas trop par la fenêtre du train corail. Finalement c’est déjà les vacances de ne pas prendre le TGV.
Gérard a le nez collé à la vitre car il s’embête un peu, comme on le constate souvent lors d’un trajet en corail. Il est seul car il rejoint les autres à la gare qui sont arrivés antérieurement au village de vacance mais lui travaillait quelques jours de plus à la station service. Enfin seul pas tout à fait, car pour se distraire il peut toujours faire des caresses à travers la grille à son fidèle compagnon, un bien beau cocker nomé Tobby.
Il se prend à rêvasser à ses vacances du futur proche en imaginant les journées sympas que peut offrir un tel séjour en Vendée. Cepandant Gérard a aussi un pressentiment étrange quand à ces vacances qui sont proches mais aussi très dur à dire pour qu’est ce vraiment que ce bémol aux rêveries sucrées.

Lorsque Gérard sort de la gare, ses amis ne sont pas encore là car il fallait qu’ils passent au Super U avant l’heure de pointe. Mais bon Gérard prend son mal en patience et s’ouvre à l’ambiance qui règne autour de la gare et qui représente celle dans laquelle il va profiter de ses congés. Pour la peine, ça fait une opportunité à Tobby d’être permis de sortir un peu du panier en attendant les amis de son maître tant qu’ils sont toujours au supermarché, mais avec la laisse bien sûr. Puis enfin les amis arrivent ayant acquérit l’alcool adequat à fêter l’arrivé d’un nouveau copain au bingalow en la personne de Gérard et accessoirement de son compagnon Tobby le cocker.

C’étaient tous de sacrés fêtards aussi ils savaient fêter un évenement tel que la venue de Gérard au village d’où un apéro plutôt chargé pour nos vacanciers.
Personne ne s’occupait vraiment de Tobby lorsqu’il était coucouche panier mais quand il se levait les gens lui faisaient quelques caresses qui étaient la source d’une joie immense dans le cœur de ce bon vieux Tobby le chien. Gérard quand à lui décidait de croquer la vie à pleine dans comme dans une pomme durant ces 4 jours en Vendée et de se vider la tête de toute sa vie quotidienne loin d’ici en faisant un break pour ces quelques jours. Mais il peinait à aboutir à ses désir de détente optimale à cause du vilain pressentiment qu’il ressentait jusqu’à ce qu’il ait suffisament pris de bières dans le réfrigirateur toujours bien founi grâce à la pugnacité de quelques membres du groupe en terme de l’importance de bien faire les courses au niveau boissons.

Puis les jours d’après se suivirent de la sorte à l’instar du premier jour. Des vacances pour le moins sympas si on décompte le fait relatif à propos dudit préssentiment étrange de Gérard, duquel la noirceur s’assombrissait au fur et à mesure du fil des jours.

Pour le dernier soir, à propos duquel on peut notifier qu’à ce moment du séjour l’état de la troupe est plutôt stationnaire en terme d’alcolémie et se situe assez élevé au niveau législatif en la matière.
Et bien pour le dernier soir ils choisir d’aller bruncher sur la plage qu’ils n’avaient guère encore vue ainsi que l’océan atlantique bordant cette région appelée Vendée. Ils sortirent donc pour la première fois du bingalow (excepté faire les commissions au marché U) et prirent en cœur le sentier qui mène à la plage un peu avant la tombée de la nuit, suivis du bon Tobby heureux de cette petite balade ancestrale. Les mêmes qui gérait l’approvisionnement avaient prévuent les paniers garnis de manière adaptée pour un événement similaire.
Puis ils firent un rond autour d’un feu et commencèrent les festivités dignes de fêter leur dernier soir de ces belles vacances vendéennes et vraiment ayant le profond désir de célebrer tout ceci dans les règles de l’art, ainsi vers 2h00 la plupart se mirent en quête du quartier des prostituées incluant Gérard au groupe. Tobby les suivirent comme par reflex en tant que bon canidé suivant son maître en toutes circonstances et c’est par ce processus qu’il bondit dans l’auto. Certainement aucun des vacanciers n’était vraiment en train de faire acte de prudence en prenant ou laissant prendre ou désirant prendre ou désirant laisser prendre le volant du véhicule, mais ils démarèrent et s’engagèrent dans les petites routes avoisinantes par un chemin un peu hasardeux dans la démarche.

Ils ne trouvèrent au grand jamais le quartier desdites prostituées et la voiture fut quelque peu encastrée dans un arbre avoisinant la route. Seul Gérard qui dans un éclair de lucidité avait comme par miracle mis sa ceinture était sans une égratinure a contrario des autres passagers et autres conducteurs qui étaient pour le moins tous morts sur le coup. Tobby pour le plus grand soulagement de son maître avait lui aussi fait preuve de survie.

Malheureusement Gérard n’avait aucune théorie quant aux probabilités d’où pouvaient-ils être…Aucune habitation ne semblait peupler ce site, Gérard décida de quitter la route et de s’enfoncer dans les fourrées afin de retrouver son chemin, bien sûr suivi de ce bon vieux Tobby.