La Saint-con de Quelqu'un d'autre...

Le 13/04/2008
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par Quelqu un
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Thèmes / Saint-Con / 2008
Dans la série des bouffons autocentrés, qui profitent de la Saint-Con pour poursuivre la polémique sur leur cas et faire parler d'eux, voici Quelqu'un. Texte symptômatique : private-jokes au sujet de la Zone et un auteur qui est le héros de son propre texte et parle de lui à la troisième personne. Bref c'est la protestation d'un ego malmené qui plaide sa cause et veut attirer l'attention par tous les moyens. Avec ici en bonus la confusion mentale qui caractérise son auteur.
Ce texte démontre que les miracles sont possibles, il suffit d'espérer...
D'ailleurs, l'ensemble de "la Zone" espérait un miracle !
Bilan de la Chrétienté depuis ses origines : environ quarante trois milliards de morts, une seule "Jésurrection" non prouvée..., une seule "Nihilation" ésotérique hallucinée et un cas unique d'auto combustion spontanée, celui du dénommé Quelqu'un...
En 2008, sur "La Zone", un putain de connard pétomane du nom de Glaûx-le-chouette passe en jugement.
On l'accuse d'avoir tué Quelqu'un après avoir détruit ses texticules, en le brûlant publiquement...
Il n'en restait plus qu'une partie de la tête et quelques vertèbres, à une trentaine de centimètres de son ordinateur.
Le fauteuil avait brûlé à l'emplacement du corps, mais l'ordinateur était intact.
Nihil, le chef de "la Zone", réussit à convaincre les juges du tribunal qu'il ne s'agissait pas là d'un décès ordinaire.
Les juges ont alors admis l'existence d'une sorte de "feu justicier " lancé par Dieu pour châtier Quelqu'un, qui passait pour écrire plus que de raison des textes interminables.
Un médecin légiste émit l'hypothèse que ce cas de combustion humaine spontanée s'expliquerait par l'état d'imbibition texticulaire particulièrement prononcé de la victime.
Une étincelle de génie suffisant à enflammer Quelqu'un alors en pleine séance masturbatoire de ses neurones.
Quelqu'un avait en effet été retrouvé dans une position naturelle, assis devant son PC, comme si tout c'était passé en une fraction de seconde !
Un autre problème était l'intensité de la chaleur dégagée et l'étendue des brûlures, car il faut une température d'au moins 1.650 °C pour consumer un corps humain.
Une telle chaleur réduirait tout en flammes dans un rayon considérable et aurait mis le feu à la maison.
Cependant dans ce cas de combustion, l'environnement avait été épargné.
Un autre problème était celui de l'étrange silence de la victime.
Celle-ci n'avait pas appelé à l'aide, d'ailleurs personne n'avait jamais entendu Quelqu'un...
C'est le pseudonommé Oméga, le seul ami virtuel que Quelqu'un eut jamais virtuellement qui fournit l'explication rationnelle en affirmant que ce cas de combustion quasi-inhumaine spontanée s'était produit lorsque la courbe géomagnétique de la Terre était à son maximum.
Cette courbe varie considérablement en fonction de l'activité solaire par rapport au degré celcius de la connerie ambiante.
Cela indiquant que cette combustion spontanée était le résultat d'une interaction entre des conditions astronomiques bien spécifiques et l'état neuronal de Quelqu'un, une étincelle de génie l'ayant littéralement allumé....