Mr. Cabronne

Le 14/04/2008
-
par Le Duc
-
Thèmes / Saint-Con / 2008
Le Duc a jugé nécessaire de truffer son texte de liens vers des vidéoclips de pop punk pourris et dance machine de mes burnes, qui n'ont strictement aucun rapport avec le texte lui-même. Bon. Si on fait abstraction de ce parasitage, on a un texte Ducal comique, à savoir pourri, mais pas aussi impressionnant dans la pourritude que ses textes sérieux. On se satisfera de l'inorthographe orgasmique et des quelques instants d'intense stupidité involontaire, mais ça reste un texte de merde moyen.
Avant de lire le texte cliquez sur ce lien : Youtube 1

Mr. Cabronne est un homme de forte corpulence, il a quarante deux ans, et il porte la moustache.
Il est plutôt dodus car il boit beaucoup de bières, depuis beaucoup d’années. Il n’a pas de travail, car il vit dans un immeuble cossu de Paris qui est un héritage de ses parents décédés depuis plusieurs années. Il loue plusieurs appartements et en a garder deux qu’il a transformés en duplexe pour y vivre.

Mr. Cabronne a une femme, Marie Renée, à peine moins âgée que lui. Elle est brune et parait soixante ans. Il l’a épousé il y a dix-neuf ans maintenant, Marie travaille dans sa cuisine et fait le ménage. Elle ne parle plus ou alors rarement, car Mr. Cabronne lui fait comprendre physiquement que son avis n’est pas digne d’être exprimé. Du coup Marie Renée s’est construit un monde dans sa tête, et y vie une vie presque épanouie. On la vois souvent dans sa cuisine, avec un regard de veau, entrain d’essuyer inlassablement la même assiette depuis près de dix ans.

Mr.Cabronne a aussi des enfants ; Johnny, l’aîné, âgé de quinze ans. Il porte le prénom de la star qu’idolâtre Mr.Cabronne. Steeven, treize ans, digne successeur de son père et à plus d’un titre. Et la petite dernière Ludivine, neuf ans.
Au début du moi, comme tout les débuts, les milieux et les fins de mois, Mr.Cabronne a était encaisser le loyer de la jeune Julie, une étudiante en Histoire de l’art qui vit dans l’appartement cagibi du deuxième étage. En effet, étant étudiante non boursière et même en travaillant comme caissière au monoprix du coin de la rue, Julie n’arrive pas à obtenir les huit cent euros que lui demande Mr.Cabronne. Celui-ci lui à donc proposé un arrangement charnel pour palier ce manque d’argent dans le seul but de lui permettre de continuer ses études, car il en est sûr, elle ira loin.
Mr.Cabronne à trois autres locataires de ce type, qui résident toutes dans des appartements cagibi, et qu’il prend soin de choisir, quand l’une vient à déménager ou simplement à ce suicider, selon leurs mensurations, leurs pratiques sexuelles et bien sur leurs apparences physique.

Ce que Mr.Cabronne n’avait pas prévu, c’est que la petite Julie, cette pute, irait appeler les services sociaux, pour lui envoyer une assistante sociale accompagnée de policiers en arme faire une petite visite à l’improviste chez lui. En examinant son duplexe tout en menaçant notre brave Mr.Cabronne de moult représailles. C’elle-ci découvrit inopinément en poussant la porte de la chambre de Ludivine, cette dernière, entrain de se faire sauvagement sodomiser par son grand frère, Steeven, qui lui la maintenait en levrette avec une chaussette dans la bouche pour l’empêcher de gémir. Cette scène mit Mr.Cabronne légèrement dans l’embarra vis-à-vis de notre assistante sociale, qui elle bien que outrée paraissait aux anges.
Mr.Cabronne, qui avait quelques sueurs froide et le visage pâle courut « déloger » son fils de sa sœur et lui asséner, au passage, quelques claques dans sa gueule.
Il se retourna ensuite vers la chargée de l’état pour lui proposer un arrangement financier pour qu’elle oublie toutes cette mauvaise histoire. Elle accepta de fermer les yeux contre un coquette somme pour l’affaire de la petite Julie, mais ne voulait rien entendre pour ses propres enfants. Elle appela les gendarmes qui vinrent passer les menottes à Steeven et pris les deux bambins pour les emmenés en foyer d’accueille.

Youtube 2

Mr.Cabronne, furieux, pesté contre la petite Julie devant sa femme, qui visiblement n’avait pas encore percuté qu’il venait de se passer quelque chose et devant son fils Johnny, qui lui en avait strictement rien à foutre, il avait gagné en tranquillité et la console du salon pour lui tout seul.
Après tout, cette pétasse de Julie de mes deux, n’a jamais payé de loyer ! Si cette chieuse va se plaindre et bah elle aura tout dans le cul - se dit Mr.Cabronne dans un éclair de lucidité. Je n’ai qu’à aller la virer à grands coups de pieds dans le derge conclut-il.
Ni une, ni deux il dévala quatre par quatre les marches des escaliers les poings serrés le vissage rouge vin, direction l’appartement de Julie. Arrivé il tambourina à la porte en criant à cette pute de Julie de sortir de là. La porte s’ouvrit et Mr.Cabronne vit un homme noir d’une taille colossale armé de biceps d’acier lui pauser la question suivante « qu’es tu veux, tête de con ? » Ce qui le désarçonna complètement. Après quelques secondes de bégayements qui parures très longues à Mr.Cabronne, il parvint à lui demander poliment qui il était :
_ Mais putain, t’es qui toi d’abord ?
_ Moi je suis le nouveau « mac » de Julie et toi t’es qui gros lard ?
_ Moi je suis le proprio, et tu t’appel ?
_ Moi on m’appel pas, on me trouve, au prie.
_ Hein ?
_ Qu’es tu veux ?
_ Foutre Julie dehors, elle me doit.. plusieurs loyer et ...
Le golgote, sorta une liasse de billets jaunes, lui lança au visage et claqua la porte. Mr.Cabronne médusé par la scène qui venait de se dérouler prit l’initiative d’ouvrir à nouveau la porte pour dire à tout ce petit monde que la fête était finie, qu’il ne fallait pas trop le prendre pour un con, quand même. Ce que vis Mr.Cabronne derrière cette porte dépasser l’entendement, Julie accrochée à une immense croix en bois, un bâillon en cuir noir avec une petite boulle rouge dans la bouche pour seuls vêtements. Figé dans son mouvement (spécial tuch El Déf) il continua d’examiner la pièce, à côté de la croix ce trouver : Une table basse en verre, avec un saladier toujours en verre dessus et de la cocaïne dedans, Mr.Cabronne commencé à se sentir mal, en effet il détester la drogue et encore plus les noirs, et par-dessus tout, les noirs qui vendent de la drogue. Il continua son analyse : à coté de la table : Trois flingues, au bout de ses trois flingues : Trois bras (noirs), au bout de ces bras : Trois visages, impassibles, sur ces visages : Deux lunettes de soleils et deux yeux (noirs) qui le regardaient, le tout : Sur un canapé (noir).
_ Mr.Gros lard, tu viens de faire la plus grosse connerie de ta vie. Dis le premier
_ La connerie de ta vie. Dis le deuxième
_ Möngôu da lacet to. Baragouina le troisième
Les trois hommes armèrent simultanément le chien de leur flingue respectif. Et Mr.Cabronne relâcha son sphincter.
_ Euh .. Bah euh, enfaîte je viens vous rendre la monnaie du règlement des loyers parce que là vous m’avez donné un peu trop enfaîte et je .. J’ai rien vus les mecs, vous savez moi.. Vous êtes chez vous et …
_ Omar, décroche Julie. Il y a un gros bout de barbaque à mètre à la place. Ordonna notre golgote tout en se levant en direction de Mr.Cabronne l’arme toujours pointée sur lui.
_ Donna toumbo. Ronchonna Omar.
_ Messieurs, allons tout cela n’est qu’un mal entendu et je vous garantie que « BAM ».
Mr.Cabronne nu pas le temps de terminer sa phrase, notre golgote lui asséna une balle dans les balloches. Il cria, s’effondra sur le flanc, les mains sur ses attributs qui pissés le sang, gémit un peu et tourna enfin de l’œil.

Youtube 3

Quand Mr.Cabronne commença à reprendre ses esprits, il songeât d’abord à la douleur insoutenable que lui faisait subir ses couilles, ensuite il se dit qu’il a vraiment eu une vie de merde et qu’il a était un looser sur tous les tableaux, il se jura à lui-même que si il s’en sort, il changera tout, qu’il se montrerai plus respectueux avec sa femme et qu’il commencerai à s’occuper enfin de son gosse car il le savait maintenant il l’aimait plus que tout. Ses pensés lui donna de la force et du courage, il ouvrit les yeux. Il était accroché à la croix en bois avec le bâillon dans sa bouche, il n’était cependant pas nu.
Devant lui les trois blacks se saoulaient la gueule au rhum antillais et whisky, il faisait tomber leurs tête à tour de rôle dans le saladier de cock et riaient comme des cons tout en roulant des joins, la petite Julie était tenue en laisse au pied du golgote une seringue plantée dans son bras et la tête souriante pausée sur les genoux de notre ami black, les deux autres faisait couler de la gnole sur ses seins et les léchés ensuite. Ils s’amusaient tous beaucoup à les voir comme ça, Mr.Cabronne beaucoup moins. Après quelques heures ils étaient complètement pétés et décidèrent « d’aller foutre le feu » à Paris, laissant Mr.Cabronne seul sur sa croix. Ce dernier se dis que c’été le moment ou jamais, il essaya de défaire ses liens, il faisait tourné ses poignés qui étaient fortement serrés par de la corde, sa peau commençait à se déchiré sous les frottements, idem pour ses pieds qu’il essayait aussi de libérer. La douleur qu’il ressentait conjuguait à celle de ses couilles était insoutenables. A bout de force et de courage le visage en pleurs il décida d’abandonner.
C’est à ce moment là que la porte s’ouvrit et laissa apparaître t’el un ange céleste : Johnny.
Le petit au courant des agissements de son père avec Julie était légèrement surpris de le trouver ainsi mais ne savait pas comment réagir :
_ Mmmphf niu ninu niu
_ Euh, … P’pa enfaîte je viens pour te demander si tu peu pas me donner vingt euros pour la soirée chez Rémy et ..
Son regard se pausa sur le saladier de cock et sur tous les produits illicites pausés sur la table basse, il prit un pétard à moitié consommé dans le cendrier et, avec des yeux de gosse ouvrant ses cadeaux de noël, l’allumât. Son père rageait et n’en finissait plus de meuglé, c’est alors que Johnny vit que son père était eunuque. De stupeur il lâcha le join qui tomba sur la mare de gniôle qui avait servit à asperger Julie, l’alcool s’enflamma instantanément et mis le feu à l’alcool sur la table basse, Johnny prit son courage à deux mains et s’enfuit chez son ami, laissant son père en proie aux flammes.

Mr.Cabronne, était terrorisé. Les flammes se répandaient à toutes vitesse, le canapé était maintenant complètement en feu et la tenture accrocher au dessus commençait elle aussi à prendre feu.

Youtube 4

Il retenta de se libéré de ses liens, sa chair se rouvrit se qui ne l’empêcha pas cette fois de continuer, la chaleurs devenais de plus en plus omniprésente, le papiers peint des mûrs autours de lui brûler et le plafond commençait à noircir, la fumer qui s’en dégager commençait à le faire suffoquer. Pris maintenant de panique il se débattait frénétiquement laissant apparaître l’os de ses poignés. La croix commençait à prendre feu à son tour et tout autour de lui n’était plus que flammes, ses pieds le fît énormément souffrir, il baissa les yeux et vit que le feu commençait à les dévorer. Le plafond s’embrassa presque instantanément.
Il se dit à se moment que tout était finis il maudit son fils qui était la pire chose qu’il lui était jamais arrivé et regretta de ne pas l’avoir plus frapper.
Ses liens cédèrent au niveau des pieds grâce aux flammes, il était temps, en effets la boulle de son bâillon avait commencée à fondre dans sa bouche. Il réussi à se mètre sur ses jambes et marcha dans le feu en direction de la porte, sa croix en feu sur le dos..
Mais arrivé devant la porte il ne pouvait pas atteindre la poignée à cause de sa croix. Paniqué, déchiré par la douleur il eut le temps de lâcher un dernier hurlement avant de s’embrasser complètement et de fondre en un tas de graisse immonde qu’il était devenu.