Bambi en chaleur se frotte contre les arbres

Le 04/06/2008
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par Wold
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Thèmes / Obscur / Anticipation
Je cite : 'vivement qu’il crève que je prenne le pouvoir comme sa je pourrai buter qui j’ai envi'. Ca résume bien : un mélange de fantasmes de boutonneux aigri incapable de s'exprimer en français correct. Nécrotrucs bas de gamme, surpuissance en plastoc, viol de bonnasses et besoin pathologique de reconnaissance. Ca doit pas être facile tous les jours d'être un ado frustré.
Il est 20h et je me faisais chier. Cette sensation je ne l’avais pas connus depuis que papa était devenue maître du monde.
Je fumai une clope en haut de la plus haute tour de cette terre, regardant les minuscules voitures de pékin klaxonnées comme des pauvres connar pressé de finir leurs journée de travails minable. J'avai la terrible envie de balancer encore une grenade dans ce tas de merde mais papa m’engueulerai encore .Vivement qu’il crève que je prenne le pouvoir comme sa je pourrai buter qui j’ai envi.
Je jetai finalement mon mego en guise de consolation ,peut être qu’il arrivera sur la gueule de quelqu'un on sait jamais.
« Asuka au pied ! »
Mon domestique accouru comme un gentil toutou, je lui mit une claque et lui dit de me préparer l’ascenseur direction « salle de jeu».
J’espère que sa me détendra un peu .Je traversai ma chambre a 1000km d’altitude et prit l’ascenseur accompagné d’Asuka et de mes deux gardes du corps surentraînés,deux grosses souris de laboratoire qui avait eu le droit aux premières greffes de nanotechnologie qui en faisaient de parfaite bête de combat.
J’arrivai rapidement a une dizaines d’étages plus bas, traversai quelques couloirs glauques et quelque portes a reconnaissance d’emprunte digitale et j’était enfin arrivé dans la salle de torture.
Une pièce de 50m carré entièrement blanche, néon au plafond ou m’attendait quatre chirurgiens a ma bottes,prêt sur un claquement de doigts a m’enseigné de nouvelles techniques.
Mais jusque la,j’avait jamais rien demandé, c'est pas ces gros connar qui vont m’apprendre a être sadique.
On apporta un détenu français.
« A enfin on comprend ce que dit putain ! »
La dernière fois que je m’était amusé avec un de ces déchets il parlai pas Français et sa a finis par me prendre la tête, je comprenais rien a ce qu’il gueulait.
Et moi j’aime bien comprendre ce qu’il dise avant de crever, souvent sa me fait marrer et puis des fois y’en a même qui dise des truc intelligents.
Asuka se mit a genou.
« Puissant maître, je doit vous faire savoir que c’est le dernier français de la réserve »
Je lui fouti un coup de pied dans la gueule et m’allumait une clope.
Sa m’étonnai pas en même temps, mon père n’aimait pas beaucoup les français, a par ma mère bien sur, et il ne s’était pas privé d'atomiser toute ces grandes gueules. Du coup le français était devenu une espèce en voie de disparition et encore plus manque de bol,ma pute de mère ne m’avait qu’enseigné le français, je devrait certainement un jour me contenté de saloperie d’étranger a torturé.
Mes yeux se sortirent du vague et je m’avencait vers l’heureux élu, qui était une élue, sacrement bonne d’ailleurs, elle était attaché par les mains a une corde elle-même accroché au plafond, complètement a poil avec un sac en papier sur la tête et sûrement bâillonné vue les cris étouffé qui sortait du sac.
Je commençait par lui écraser ma clope sur ses seins quasi parfait, et lui bouffait un petit peu sans oublier de laissé de belle marque de dents.
J’avait une grosse trique, je la violai juste un petit peu sans aller jusqu'à jouir, comme sa,sa me laissait dans un état second qui me rendait, je dois l’avouer, plus créatif.
La bave devait sûrement me pendre aux lèvres, et j’en oubliais de retirer le sac sur sa gueule.
« outils»
Un chirurgien m’apporta un plateau d’outils, je prit un scalpel sûrement l’outil le plus simple et le plus efficace, et je lui ouvrait le bide, juste de quoi faire une fente assez large pour ma bite, je réglait la hauteur de la corde et je la pénétrai jusqu'à jouir.
Une fois finis je virai le sang de ma queue sous les applaudissements des chirurgiens et d’Asuka.
« Que faisons nous de la fille grand maître ? »
Je le fixai quelque seconde pour lui faire croire qu’il venait de signer son arrêt de mort et je répondai finalement
« Recousez la, et apporté la moi calmé dans ma chambre ce soir »
J’avait envie de parlé français, si elle était capable de tenir une conversation rationnel je lui laisserait la vie sauve sinon elle ferai le saut de l'ange.
Elle avait de la chance, j’avait envie de savoir a quoi ressemblait la France depuis que je n’y était plus retourné.
Je me dirigeai vers la sorti un peu moins blasé que quand j’y était entré et pourtant je ne l’avait même pas tué,bizarre..
Et je fis quelque chose que ne pensai plus être capable de faire
« Asuka, viens dans le couloir tout de suite »
« Bien sur mon maître »répondit il un peu affolé
La porte de la salle se referma au nez de mes deux gardes du corps
« Asuka, je veux que cette fille ne sache pas que c’est moi qui l’ai torturé, dit lui que je suis un supérieur qui a pris pitié d’elle, je veux qu’elle est un peu de confiance en moi, qu’elle n’est pas peur de moi… »
Asuka écarquilla les yeux, sûrement aussi étonné que moi de mes propres propos.
Ce déchet, a force de me léché le cul toute la journée avait finis par connaître un peu de mes entrailles.
Je sourit l’espace d’une seconde, dégainait mon flingue, lui foutai sur le front, il ne bougea pas d’un pouce, et je finissais par imité un gros « bang » avec ma bouche.
Une tache de pisse apparut rapidement sur son pantalon, et un éclat de rire sur mon visage.
Je repartais seul dans les couloirs, en riant de bon cœur, tout en rangeant mon flingue dans sa sacoche.
Mes deux molosses arrivèrent rapidement pour appuyer sur le bouton de l’ascenseur, direction ma chambre.
Ting ! « Dernier étage, chambre du..BANG ! sssscritchh.. »
« Ha putain enfin elle ferme sa gueule la pute électronique ! »
Le plus gros gardes s’empressa d’utiliser son micro pour annuler l’alerte et pris soin de choisir ses mots pour annoncer que ce n’était que moi qui m’amusais à exploser les hauts parleurs a coup de flingue.
Merde alors décidément j’était de bonne humeur !
Je rentrai dans la chambre m’affalait sur le canapé de cuir dans mon immense salon et ordonnait a cette putain de chaîne hifi de foutre du tchaikovsky,et m’enfilait une grosse poutre de coke dans le nez.
La, les gardes étaient vraiment sur les nerf, casse noisette et mes yeux de défoncé leurs faisaient perlé des goûtes de sueur un peu partout.
Je m’allumai une clope « alors les tarlouses ?on a pas le droit de me parler sinon les méchante pupuce eletronique vous balance des petites décharges mortel ?»
Ils restèrent à regarder dans le vide. Je leurs pointaient mon bereta dessus.
« Et maintenant ?si je dit la parole ou la mort ? On dit quoi ? »
Ils ne bougèrent pas.
« ha oui c’est comme sa ?bon je compte jusqu'à trois et j’en bute un »
« un,deux….. » sssscritchh
C’était l’ascenseur qui ouvrait ses portes. Mon père.
Bordel, j’en suis sur qu’il va me faire chier pour le connar de balayeur que j’ai buté ce matin.
Mon père s’avança, au milieu de la pièce entourée de ses dix gardes.
Il retira ses ray ban noir, qui révéla sa face de de gros porc de niac.
« fiston,tu éteint cette merde et tu m’écoute bien »
J’éteignais la chaîne hifi avec la telecomande après avoir retenus mon réflexe d’utiliser la gâchette de mon flingue.
Mon père s’avança vers la table basse et posa une petite boite.
« il y a deux milliard de dollars devant ta face de bâtard,et sa fiston c’est le prix de ton immortalité »
Je le regardais avec des yeux perplexe de cocainé.
« C’est la réplique de la merveilleuse invention qui a fait que notre nation domine le monde et que ton cul occupe un canapé perché a 1km d’altitude, sauf que celle-ci fait quelque centimètre de diamètre et repousse les balle et non les missiles nucléaires"
Bordel, j’ouvrais la bouche comme un abrutis complètement excité par mon nouveau joujou.
« Ferme ta bouche et laisse moi te dire une dernière chose avant que tu joue au super héros dans les rue, sa n’arrête pas les coup de couteau n’y les balle de mon flingue personnel, alors ne t’avise pas de faire trop le con »
« Oui papa »répondais-je avec un sourire de gentil petit garçon.
Il me regarda quelque seconde sans parler, regarda la coke sur la table basse, s’avança prit un verre d’eau et la versa sur la poudre.
mes mains se crisperent et ma bouche eux de petite convulsions, je me contenais de toutes mes forces pour ne pas intervenir. Mon père regarda mes garde du corps et leurs dit:
« Empêché le de prendre cette merde »
Les gardes hochèrent la tête, mon père cracha par terre, recacha sa tête de jaune avec ses grosse lunette et se reparti suivit de ses chiens.
Je me retrouvais seul avec les deux gros cons qui me regardait sûrement sous leurs lunettes noires.
Je prit une petite cuillère et bouffi la coke a la flotte comme un yaourt.
Ils me regardèrent sans vraiment savoir quoi faire, moi je mâchais la mixture comme si c’était des Korn flakes.
« Bah quoi bordel y’a un problèmes ? »
Ils me regardèrent et ils firent signe que non d’un mouvement de tête
« Bon bah allez me cherchez la pétasse je lui réserve une surprise, ha oui et faite lui snifez de la ketamine avant qu’elle vienne je veut pas quel me pete les couilles »
Ils partirent aux pas de course et moi je commenssai a sentir la blanche m’exploser le crâne, enfin sûrement parce que sentait plus grand-chose en fait.
Je regardais le petit cadeau que m’avait fait papa et je ne pus empêcher un petit rire nerveux.
J’ouvrai la boite, une petite boite noire avec marqué « mini-luck ».je me demandait qu'est-ce que c'etait que ce nom de merde?
Je l’accrochai a ma ceinture, et d’un coup je ne sais pas si c’était la coke ou pas mais je me sentait comme un demi dieu avec pour seul talon d’Achille mon bide et son allergie au coup de couteau.
Je m’affalait sur le canapé satisfait et je foutai les pied sur la table et m’allumai encore une clope.
Ssssrchitchhhhernieretage
L’ascenseur s’ouvrait et laissait sortir trois personnes, mes deux chiens et la pute.
Je gueulai « dégagez laissez moi seul avec elle »
Ils repartirent avec l’ascenseur me laissant seul avec la femme.
Une grande brune au visage triste le genre de salope que nothomb, l’écrivaine préféré de ma salope de mère aurai idolâtré.
Mais bon moi je la détestait soudain, malgré qu’elle m’est bien diverti,je sortait une trace de blanche d’un autre pochon et m’empifrai le nez.
Elle était planté la a regardé le sol au milieu de la pièce, avec sa grande blouse blanche de malade, on aurai dit un fantôme et sa commençai a me faire flipper. Qu’est-ce qu’il m’est encore passé par la tête tout a l’heure ?
Je lui lançai mon flingue à ses pieds, elle ne broncha pas.
« hé salope,je voulait que tu me raconte ton histoire de ta vie de merde,histoire que je chiale sur un couché de soleil,te sauvé la vie tout sa quoi..mais j’ai changé d’avis »
Je tirai une grosse latte sur ma clope
« Je voudrai te dire que c’est moi qui est enculé ton bide, et j’ai même appuyé sur le fameux bouton pour que les gentille bombe vitrifie ton putain de pays d’enculé »
Elle ne bougea toujours pas
« Alors bordel prend le flingue et tire moi dessus! »
Toujours pas un geste,je me lève et gueule
« Alors bordel ?tu va pas me dire que tes comme toutes les femme ?un putain d'homme avorté !? »
Elle ramassa le flingue, je souriais comme un con.
Elle le pointa sur moi et tira.
On entendit la balle siflé.Elle me regarda avec des grands yeux
« Et oui sale pute hahaha regarde cette petite boite, la a ma ceinture, avec sa aucune balle ne peut m’atteindre !c’est pas merveilleux hahahaheuouarg,treu !treu !treu »
Une violente quinte de toux lui fit jaillir des gerbes de sang de la bouche, il regarda son thorax perforé, il regarda la femme avec des yeux ahuris et tomba à la renverse.
La femme s’approcha, décrocha la boite de sa ceinture, la contempla quelques secondes, tira la petite languette du mode off a on et l’accrocha a sa robe
Elle regarda le cadavre un instant, se retourna et parti en boitant, ramassa la flingue sur son passage et disparu en silence avec l’ascenseur.