La revanche de Vanessa

Le 07/06/2008
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par Glop-glop
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Thèmes / Débile / Disjoncte
Bon alors ce texte tente d'établir un genre de record du monde de déviance sexuelle. Pédophilie, viol, inceste, scato, presque tout y passe. Du coup, vu qu'en plus c'est bien écrit, bah c'est assez fun. Anecdeotique également. Parce que ça sent tellement la volonté de choquer le chaland qu'au final ça perd tout intérêt. Divertissant, sans plus. Quelques vannes ou un peu d'agressivité ne nuirait pas.
Comme il me fallait un bidet, je suis allé voir Ben à Saint-Pancrace (il fait surtout du Villeroy et Bosch). Et je ne sais pas si c'est la vue des 500 sanitaires qui parsèment son jardin, mais j'ai eu une énorme envie de chier. Si brutale que j'ai dû demander la direction de chiottes qui soient raccordés. Las, quand j'ai pu expulser mon caca pétaradant, il n'y avait pas de P.Q. pour me torcher. Par contre il y avait de la lecture : des inédits de Konsstrukt. Le bougre fait du lèche-fion avec les semi-célébrités de l'art-dégénéré et inonde le fameux analphabète niçois de ses textes. Comme j'ai l'esprit de sacrifice et après avoir un peu hésité quand même, j'ai décidé de garder la merde au cul et de ramener cette fumeuse littérature pour vous en faire profiter (?)...
Vanessa était réticente, elle ne voulait pas, elle a menacé de me quitter, de ne plus jamais revenir. Et puis elle a accepté, a appliqué son anus rose sur ma bouche en cul de poule. Sa rondelle collée à mes lèvres a de petites hémorroïdes que je chatouille avec ma langue.
Les hémorroïdes, ce sont des varices. Ca m'a rappelé des choses.
J'avais 8 ans, ma mère m'avait envoyé à Paimpol chez Mamie Hortense, parce qu'elle voulait être peinarde pour s'envoyer en l'air avec Gérard qu'était son amant en titre à cette époque là.
Je revois les épaisses cuisses glabres de Mamie Hortense parsemées de grosses veines bleues et d'énormes varices violacées. Elle relève sa blouse noire, qu'elle ne lave jamais et qui est lourde de crasse, et elle baisse ses bas de contention. Elle applique sa motte énorme et malodorante sur ma bouche. Je m'étouffe, je râle, un glaire épais s'écoule de sa vulve ridée et boursouflée par l'excitation. Ca sent les pieds et le poisson pourri, mais en beaucoup plus mauvais. Elle me tire sur les cheveux, j'ai mal, j'essaie de me débattre de lui faire lâcher prise, je plante mes ongles dans le gras-double de ses énormes fesses poilues, rien n'y fait, ça l'excite encore plus. Et puis elle émet un terrible vagissement, bien plus fort que ceux de maman avec Toussaint, le facteur antillais qui vient toujours sonner chez nous même quand il n'y a pas de mandat de papa, et à vrai dire y en a quasiment jamais. Jusque là, rien que de très normal, faut dire que j'avais l'habitude avec maman, sauf que la chatte de maman dégorgeait souvent du sperme et qu'elle sentait quand même moins mauvais, sauf quand elle a eu sa mycose qui lui remontait jusqu'au nombril. La mycose je l'ai eue moi aussi, forcément, mais dans la bouche, et sur la langue . C'est maman qui me l'a guérie en me frottant avec du papier de verre trempé dans l'alcool à brûler, comme quoi maman c'était pas une mère totalement indigne comme disait la concierge, celle obèse qui puait le saindoux et le rat-mort dans toute la cage d'escalier. Et puis parce que ça aurait fait mauvais genre de m'amener au dispensaire avec une maladie vénérienne, faut être honnête.
C'est quand Mamie Hortense a commencé à suffoquer que je me suis douté que quelque chose de pas normal arrivait. Elle râlait comme une perdue et elle s'est affaissée d'un coup, et puis j'ai reçu un jet de liquide chaud en pleine bouche. Il y en avait beaucoup plus que quand je devais sucer Gérard même après une semaine de continence, j'ai mis un instant à comprendre, le temps de tout avaler : beuark, c'était de la pisse ! Après j'étais comme un somnambule, je me suis débarbouillé le visage dans le bidet à cause que le lavabo était trop haut pour moi, faut dire que j'ai eu une croissance tardive et que je devais pas faire plus d'un mètre à l'époque, et j'ai été sonner chez la voisine. Elle était pas baisante cette vieille folle, elle m'a dit de dégager que c'était bien fait que Mamie Hortense elle était morte, que son cadavre puerait pas plus qu'elle de son vivant et qu'elle allait lâcher les chiens. Elle avait la bave aux lèvres, et puis les chiens aussi, alors j'ai trissé sans demander mon reste. Quand même, j'étais choqué, j'aime pas qu'on dise du mal de la famille. Je ruminais encore quand je suis arrivé en vue de l'église du bourg. Là, le curé m'a bien accueilli, faut dire que c'était pas souvent qu'on était gentil avec moi, j'aurais dû me méfier. Avec compassion il m'a dit que c'était très triste que je perde ma mémé aussi brutalement et que c'était pas la peine d'aller aux gendarmes, que lui il faisait le pompier volontaire, même qu'il avait des gros muscles sous sa soutane, et puis il a proposé de me les montrer. Bon, là je l'ai vu venir, j'étais pas dupe, j'étais résigné, et puis ça pouvait pas faire plus mal qu'avec Toussaint qui me faisait saigner à chaque fois, et maman qu'était morte de rire : _Qu'il est grand mon petit garçon qu' est devenu un homme, il a ses règles, comme une femme !
En fait ça s'est pas si mal passé, il a été plutôt correct m'sieur le curé, il était assez délicat, une sorte d'homosexuel quoi. Il m'a fait des caresses en me besognant, ce que les autres faisaient jamais. Il m'a pas insulté ni rien, il voulait même me suçoter à la fin, c'est moi qu'ai pas voulu comme je me rappelais la fois où maman m'avait mordu. En partant il a insisté pour me donner l'absolution pour mes péchés. J'ai bien voulu parce que je suis pas un garçon contrariant. Du coup ça lui a redonné la trique et il a fallu que je le suce, même que sa queue avait le goût de mon caca.
Ce goût là ça m'a pas dérangé, je le connais depuis tout minot, maman me faisait tout manger quand je faisais dans ma culotte.
_Alors ça vient ?
Elle dit qu'elle y arrive pas, qu'elle peut pas, cette gourdasse de Vanessa .
_Je suis constipée, on aura qu'à recommencer un autre jour...
Ah, la salope, elle essaie de se défiler ! Et puis c'est venu tout d'un coup et j'ai dû faire une fausse route parce que j'éternuais de la merde.
_Désolée pour la colique ! Qu'elle a dit en éclatant de rire tellement fort qu'elle se pissait dessus et sur moi.
_Ou t'es constipée ou t'as la colique, faudrait savoir ! que je l'ai tancée cette petite truie.
Du coup elle s'est fâchée toute rouge, elle a dit que c'était pas incompatible et que j'y connaissais rien et que les constipations qui se terminent en coliques dans sa famille c'était tout ce qu'il y a de plus courant ...
J'ai pas voulu discutailler, de toutes façons c'était cuit, j'avais complètement débandé ... ah, les femmes ! C'est toutes les mêmes ... elles s'y entendent toujours pour vous gâcher le plaisir.