Yoga-bitch

Le 02/10/2008
-
par Zaroff
-
Thèmes / Débile / Phénomènes de société
Ce matin quand je m'as levé, j'ai ouvert les volets. Et croyez-le ou pas, mais y'avait un... Dehors, la. Le truc subrepticement mais pas trop. Et ça m'a fait penser à la zone. Et c'est beau. Alors que ce texte, c'est l'inverse, ça me rappelle ma vie sexuelle, et c'est pas joli-joli. Enfin, ma vie sexuelle, pas le texte. Parce que le texte encore ça passe. Enfin j'me comprend. KIKOULOL c'est M. Yo, j'adore ce texte parce que ya le mot "nibards" dedans.
Harmonie, spleen, zénitude, abnégation... elle me faisait chier cette grognasse ! Pendant qu'elle me débitait ses sornettes à n'en plus finir sur le Don de Soi... et même pire : le dédoublement du corps par la pensée ; je commençais à sentir poindre une monumentale érection. Tout ce qui m'envoûtait à ce moment précis c'était son décolleté plongeant ! La fine raie sombre entre ses nibards engoncés dans une dentelle à bon marché, façon soutif chopé à Tati.
Elle baragouinait sans cesse cette salope son discours insipide tandis que je me malaxais les couilles subrepticement. -(J'aime bien écrire "subrepticement" : ça ne veut rien dire et je ne connais pas le sens de ce mot barbare.)-
Bref je me triturais les bourses en toisant sa poitrine, son énoooorme poitrine. De temps à autre, j'opinai du chef tout en prenant un air inspiré. Ma gaule devenait difficile à cacher, voire à maîtriser. Lorsque Jeannette orienta son monologue sur les flux internes psychiques inhérents à la plénitude des organes, je n'y tins plus ! je me levai d'un bond et arrachai son corsage tout en déboutonnant mon futal. Son visage s'offusqua et se voila d'une moue rébarbative. Qu'importe son courroux de pucelle, je la retournai et glissai la jupe sur ses mollets. Mon membre était dur, les veines gonflées et le gland d'un pourpre écarlate.
Je m'enfonçai avec rage en oubliant l'adage ou plutôt cette putain de citation qui dit que "l'orgueil précède la chute". J'aurais dû me douter bordel !!! Faut toujours charger à vide ! C'était perdu d'avance.
Un filet poisseux gicla misérablement sur le bas de son pull. Je ne vis pas arriver son poing dans ma gueule de paumé. Honteux, avili, bafoué et vaincu, je pris la tangente, ma virilité se résumant à une queue pendouillante et penaude. Putain de chakra !