Tu ne m'aurais jamais aimé,
C'est une histoire de dégaine.
Toi, ta fraîcheur et ta beauté ;
Moi, mes airs de croquemitaine.
J'ai besoin de chaleur humaine,
Mais, solitaire vieux garçon,
Je pourris comme en quarantaine.
Ça ne sent déjà plus très bon.
C'est une histoire de dégaine.
Toi, ta fraîcheur et ta beauté ;
Moi, mes airs de croquemitaine.
J'ai besoin de chaleur humaine,
Mais, solitaire vieux garçon,
Je pourris comme en quarantaine.
Ça ne sent déjà plus très bon.
La jeunesse morne a passé
Sans d'autre espérance lointaine
Qu'un sourire à peine esquissé
Vite, par ta bouche hautaine.
Rance, gâtée, sous ma bedaine,
La chose dans mon pantalon
S'écoule ainsi que ma rengaine.
Ça ne sent déjà plus très bon.
J'ai beau m'en venir parfumé,
La vachette a l'idée soudaine
De s'enfuir dès qu'elle a humé,
Dans le vent mon approche vaine.
Je rends la pute puritaine,
Indifférente à tout bifton.
Je file aux chèvres la migraine.
Ça ne sent déjà plus très bon.
Mes mains dans tes tripes, sans haine,
J'en parlerai dans ma chanson.
Mais, là, 'faudrait plus que je traîne,
Ça ne sent déjà plus très bon.
Sans d'autre espérance lointaine
Qu'un sourire à peine esquissé
Vite, par ta bouche hautaine.
Rance, gâtée, sous ma bedaine,
La chose dans mon pantalon
S'écoule ainsi que ma rengaine.
Ça ne sent déjà plus très bon.
J'ai beau m'en venir parfumé,
La vachette a l'idée soudaine
De s'enfuir dès qu'elle a humé,
Dans le vent mon approche vaine.
Je rends la pute puritaine,
Indifférente à tout bifton.
Je file aux chèvres la migraine.
Ça ne sent déjà plus très bon.
Mes mains dans tes tripes, sans haine,
J'en parlerai dans ma chanson.
Mais, là, 'faudrait plus que je traîne,
Ça ne sent déjà plus très bon.