Comme souvent, Konsstrukt se laisse aller à la littérature zombifiée : ça avance mécaniquement et maladroitement, c'est plein de sang et de pus, et surtout ça n'a pas la moindre psychologie. Et là, c'est particulièrement le cas : aucune substance, et une intrigue qui se résumé aux simple catalogue des traitements odieux infligés par le tueur à sa victime. Ca fait léger. On regrette amèrement les premiers épisodes.