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Le 19/08/2009
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C'est une surprise : ce dernier épisode n'est pas le simple effondrement programmé d'une série à bout de souffle. Tout le début est constitué de l'arbre généalogique, côté féminin, du narrateur. Lignée, on s'en doute, souillée par les crimes, l'inceste, l'infamie. L'effet de surprise fonctionne. On est d'abord fasciné par cet héritage de violence. Et comme toujours, ça se vautre dans le grotesque, une sorte de grand cirque de l'horreur, la foire à l'abus. Kstrkt est le Benny Hill de l'ignominie. La confession terminale, plus sobre, est salutaire.