Et il lime et il lime et je m’emmerde. Bordel. Ma chatte s’assèche, il le voit pas ce con, il lime et moi, je m’emmerde
« -T’aime ça hein salope ?
-Oui, oui… »
« -T’aime ça hein salope ?
-Oui, oui… »
Mais putain qu’est-ce que je fous là, tant qu’à s’emmerder en baisant, je devrais faire payer, on m’a toujours dit « si t’es bonne à rien, tu seras toujours bonne à te faire baiser » Ca c’était papa. Maman elle, elle disait « Tu plais ? C’est normal, tant qu’on a une chatte on plait »
Et hop il me retourne. Putain que je m’emmerde. Au moins je peux regarder les cartes postales au mur en levrette, puis le changement de position me fait mouiller un peu. Par contre il a une grosse bite, ça tape au fond mais ça fait mal. Je gémis
« Oh tu aimes ça hein ma salope
-Oui, oui… Mmmmm »
Mais je suis con ou quoi, pourquoi je surjoue, je fous quoi, là, pourquoi pas lui dire d’arrêter et le renvoyer chez lui ? J’ai quoi à prouver ?
Bonne à rien sauf à baiser
Qu’il disait en me mettant sa queue dans la bouche
Et ce con qui lime et qui lime, j’en ai marre, j’en ai plein le cul, c’est le cas de le dire vu qu’il tente la sodo. Mais meeerde, ça fait mal, je lui avais dit non, t’as une trop grosse queue
« -Mmmm, tu gémis comme une vraie chienne
-Oui, oui, eeeeee »
Et en plus c’est pareil, une fois qu’il a rentré sa teub il lime et il lime. Je dois pas être si bonne il est long à venir bordel à queue. A tiens, il grogne et hahanne, bientôt la delivrance ?
Il sort, il me dessine une moustache avec ma merde au bout de sa queue. La moustache de gomez ça s’appelle, verrrrrri feune.
Il m’enfonce son gland au fond de la gorge, ça me tire les larmes aux yeux mais putain je vais gerber, y’a personne pour lui dire d’arrêter ?
Tant que t’as une chatte tu plais. Et une bouche aussi, on dirait
Je le pompe avec ennui mais conviction, pourvu que ça finisse, ma langue s’enroule, bordel, même ma bouche est seche et oh, j’ai envie de me fumer une tige et de boire une bière, que ça finisse, bordel !!!
« je vais venir, tu le veux où ? »
Il est con ou quoi, il voit pas que je peux pas parler avec sa grosse queue dans la bouche
« gnnnn » je dis et splatch, plein ma gueule, vu qu’il avait tiré par les cheveux ma tête en arrière j’en prends plein les yeux, ça brule, plein le nez, ça décape. Ma moustache de gomez, mes yeux plein de larmes. Il s’essuie la bite dans les draps, il remonte son pantalon et il se casse.
Et ma bière bordel ?
Et hop il me retourne. Putain que je m’emmerde. Au moins je peux regarder les cartes postales au mur en levrette, puis le changement de position me fait mouiller un peu. Par contre il a une grosse bite, ça tape au fond mais ça fait mal. Je gémis
« Oh tu aimes ça hein ma salope
-Oui, oui… Mmmmm »
Mais je suis con ou quoi, pourquoi je surjoue, je fous quoi, là, pourquoi pas lui dire d’arrêter et le renvoyer chez lui ? J’ai quoi à prouver ?
Bonne à rien sauf à baiser
Qu’il disait en me mettant sa queue dans la bouche
Et ce con qui lime et qui lime, j’en ai marre, j’en ai plein le cul, c’est le cas de le dire vu qu’il tente la sodo. Mais meeerde, ça fait mal, je lui avais dit non, t’as une trop grosse queue
« -Mmmm, tu gémis comme une vraie chienne
-Oui, oui, eeeeee »
Et en plus c’est pareil, une fois qu’il a rentré sa teub il lime et il lime. Je dois pas être si bonne il est long à venir bordel à queue. A tiens, il grogne et hahanne, bientôt la delivrance ?
Il sort, il me dessine une moustache avec ma merde au bout de sa queue. La moustache de gomez ça s’appelle, verrrrrri feune.
Il m’enfonce son gland au fond de la gorge, ça me tire les larmes aux yeux mais putain je vais gerber, y’a personne pour lui dire d’arrêter ?
Tant que t’as une chatte tu plais. Et une bouche aussi, on dirait
Je le pompe avec ennui mais conviction, pourvu que ça finisse, ma langue s’enroule, bordel, même ma bouche est seche et oh, j’ai envie de me fumer une tige et de boire une bière, que ça finisse, bordel !!!
« je vais venir, tu le veux où ? »
Il est con ou quoi, il voit pas que je peux pas parler avec sa grosse queue dans la bouche
« gnnnn » je dis et splatch, plein ma gueule, vu qu’il avait tiré par les cheveux ma tête en arrière j’en prends plein les yeux, ça brule, plein le nez, ça décape. Ma moustache de gomez, mes yeux plein de larmes. Il s’essuie la bite dans les draps, il remonte son pantalon et il se casse.
Et ma bière bordel ?