La folle escapade

Le 08/09/2009
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par Le Duc
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Thèmes / Semaines Textes De Merde / Semaine 'textes de merde' 05
On est en droit de se demander ce qu'espère Le Duc avec ce texte. Pour un texte de merde, il est plutôt comestible. Certes, c'est pas drôle, un peu ennuyeux et ça mène nulle part, mais on est bien loin du niveau ducal à l'ancienne. Pas beaucoup de fautes, utilisation quasi-appropriée du vocabulaire, et une simili-intrigue qui tient plus ou moins. Un petit effort pour merdifier artificiellement ton texte, ça serait trop demander, connard de merde ? Le Duc est mort, vive personne.
Marcel se fait chier. Il est chez lui, sur son canapé à regarder de mauvaises émissions. A côté de lui se trouve cette pouffiasse de truie qui lui sert de femme qui le gonfle depuis maintenant bientôt 15 ans. Il essaye tout de même d'entamer une discutions et lui demande si elle a bien pensée à acheter le jinjin.
Qu'avait-il pas dit là ? Comment Gertrude aurait-elle put oublier une chose aussi essentiel pour le couple, elle se mis à beugler des choses peux compréhensible et énerva très vite le Marcelle qui lui, cogna pour la faire taire.
Mais son ennuie ne passa pas pour autant. Il se dit qu'il pourrait peut-être remédier à sa lassitude en allant tirer sa crampe chez les putes.
Il prit donc sa vieille Renault turbo pourrie et partit à la recherche de sa dulcinée aux abords des forêts Parisiennes. Bien qu'il ait eu l'habitude, Ã une certaine époque de ce genre d'escapade, aujourd'hui il se sentit perdu. Après avoir tourné plusieurs heures il ne trouvait que vieilles putes sur le déclins et travestis.
Mais où sont ces jeunes salopes de l'Est que j'ai vu t'en de fois dans les reportages sur TF1 ? Se demanda Marcel. A croire que toutes se liguent contre lui.
Rien à foutre, Marcel sait être obstiné quand il le désir, direction la Hollande, plus précisément Amsterdam, et encore plus précisément le quartier rouge ! Ce soir Marcel va niquer une roumaine de quinze ans, et pis c'est marre !

Il se mis en route direction Lille, paya l'autoroute. Traça à toute allure, 110 sur la voie de gauche, rien ne pouvait plus arrêter Marcel. Il se demanda à un moment si il était dans la bonne direction, quand même. C'est alors que le moteur de Marcel se mit à chauffer, les voyants rouges sur le tableau de bord s'allumèrent. Contraint, Marcel se déporta sur la voie de droite et s'arrêta dans une aire de repos ou seul un poids lourd stationnait.
Marcel entrepris de réveiller le chauffeur routier qui faisait sa pose pour lui demander assistance, ou du moins si il pouvait emprunter sa cibie. Le vieux routier, bien que de mauvais poil de s'être fait réveiller allât jeter un oeil à la bagnole de Marcel et conclut que ça devait être le joint de culasse qu'est dégueulasse, ou bein le carbu qu'est foutu.
Et dans les deux cas, il l'a dans le babas.
Marcel appela une dépanneuse avec la cibie de chauffeur mais celle-ci ne pouvait venir que le lendemain.

Le chauffeur, sympa, invita Marcel à venir boire un coup avec lui dans sa cabine, ce que Marcel fit. Ils en arrivèrent, après bien des mauvaises bières et whisky, Ã parler des raisons qui avaient conduit Marcel à se retrouver ici. Et ils en conclurent, dieu seul sait comment, à en déduire que « les femmes sont toutes des salopes ». Moment solennel dans la cabine, croisements furtifs de regards et se qui devait arriver, arriva. Le conducteur tapa à grand coup de bite dans le cul de Marcel, qui bava sur la banquette en jouissant comme une salope. C'était sale et sa dura longtemps et ils remirent ça, un paquet de fois. Personne ne veut savoir tous les détails, je vous l'assure. Certainement pas le moment où Marcel sortit un peu de matière fécale du cul du conducteur avec son poing et trouva très érotique à ce moment là de le lécher avec un regard pervers.
Après une nuit d'amour Marcel décida de vivre avec le chauffeur poids lourd et de tout larguer.
Ils étaient heureux, amoureux. Insouciant.

Jusqu'à ce que Fredo le camionneur en ait marre de s'en prendre plein le cul et délaissa Marcel sur le bord de la route.
Marcel se dit que les mecs étaient tous des salaud et décida de mettre fin à ses jours en buvant un litre d'eau de javelle fraîchement acheter à la station essence de l'aire d'auto route.