Pulsion

Le 13/09/2009
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par Reteex
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Thèmes / Polémique / Semaine 'textes de merde' 05
Voilà un concurrent super sérieux pour le concours de textes de merde, malgré ses deux semaines de retard. Stupidité éblouissante, écriture de pangolin liquéfié, histoire de merde d'un psycho-killer qui va acheter sa baguette de pain... Les armes déployées contre le lecteur sont nombreuses. Et en plus c'est complètement chiant ! C'est le Silence des Agneaux contre la Septième Compagnie, Winny l'ourson névropathe, le Necronomicon belge. On s'en prend plein la face à tous les étages, c'est un vrai bonheur.
Ce text a pour bute de sensibiliser les jeunes mâle découvrant less plaisir sexuelle à se protéger, non seulement contre le sida en mettant une capote mais aussi de se protéger contre les action immaîtriser avec des lunettes de soleil prettent a être mises dès que l'astre féminin entre en scène...
Je marche dans la rue… déserte !… Je contemple les building, les nuages, les voitures, l’humanité… Je regarde ma montre :19 heures 30, il fera bientôt nuit.
    
         Ha ! Voilà qui est bien ! La boulangerie est encore ouverte ! J commande une baguette de pain quand la serveuse me souris ; des yeux, des la bouche, du corps, universellement… C’est une ravissante jeune fille, apparemment âgée de 20-22 ans, le visage dépourvu d’une quelconque ride. Elle a des yeux turquoises, enduits d’une beauté rare révélant ainsi une étonnante gaité, une douceur extrême me donnant l’envie de vomir… Ses pommettes roses et bombées peuvent faire croire à n’importe quel dépressifs, le flingue sur la tempe et prêt à sauter dans le vide luminique des tour de cette ville, en un bonheur temporel et moral ancré dans l’âme du monde…
    
         Voilà maintenant 20 secondes sue cette fille me souris, et autant de temps que ma haine contre l’humain prend de l’ampleur, proportionnellement au volume de mes organes extérieur, quand soudain, elle m’adresse la parole, très gentiment se qui fait monter mon stresse ! « Voici votre baguette monsieur ! Cela fera 90 centimes, s’il vous plait ! Je suis confuse de devoir vous presser comme cela, mais la boutique ferme ! Puis-je vous inviter à prendre un verre pour me faire pardonner ? De plus, je vous trouve particulièrement charmant ? » Alors, une réflexion intense m’envahi : que dois-je choisir ? Mes instincts génitaux ou mon dégoût ? Ma langue se dirige vers mes hautes incisives comme pour émettre le son [n] , mais mes instincts primordiaux prennent le dessus ! Sans mon consentement, , ma langues recule donc très vivement, laissant mes lèvres former un cercle…Je lui répons hypocritement : « Oui avec grand plaisir mademoiselle ! Je ne puis laisser passer la si belle et bien aimable personne que vous êtes ! »
    
         Nous marchons dans la rue. LA simple idée de tenir sa main dans la mienne entraîne mon sang tel que la lune entraîne entrain l’océan. Je mets un pas devant l’autre, les pupilles dilatées, me concentre sur mess jambes pour ne pas me laisser porter par mes pulsion masculines… Nous sommes arrivés… Il me faut quelque chose de fort pour résister… ne pas sombrer… Fuir ou m’emporter… Je commande donc une absinthe sèche, tandis qu’elle se contente d’une limonade ; j’aurais aimé prendre comme celle-ci, mais les bulles pétillantes de liberté m’auraient fait invoqué les forces sombres de la nature… Elle m’explique qu’elle apprécie plus que tout les crépuscules, les crépuscules près-nocturnes car toute cette beauté exaltante lui ferait perdre la pensé. Je me concentre vainement pour fusionner le son de sa voie avec celui des moteurs, mais effectivement… il est vain… Il me reste toujours l’espoir que mon dialogue fut trop insuffisant, et que l’on en reste là, mais voilà qu’elle me dit : « Vous passerez bien quelques temps dans mon appartement, n’est-ce pas ? » Je suis complètement pris au dépourvus. Si j’exerce le moindre effort d’élocution ou de regard, le plus sombre de l’humain se révélerait en moi, laissant la toute puissance de l’immaîtriser me submerger jusqu’aux infinie distances de plank qui me composent…Toute cette canalisation profonde et général contribue a renforcer mon dégoût et mon mal-être .
    
         Son appartement est en accort avec l’immortelle splendeur de cette femme, et je manque de m’évanouir en franchissant le seuil se sa porte, tant que cette harmonie qui semble de plus être naturel me bouleverse…Un rien paraît refléter sa personne : Ses cheveux brun se fondent avec le planché, ses yeux bleu avec la couleur mural, l’esprit ambiant reflète ses dialogue etc. Je m’effondre sur son canapé… Elle me prévient, avec cette même voie me faisant frémir, qu’elle doit absolument prendre une douche et que je n’ai qu’à passer voire le contenu de son réfrigérateur et me servir. Je profite de cet instant de solitude pour assouvrir de quelques pourcents mes pulsion, mais la douche n’a pris que quelque temps, et lorsqu’elle est finie, les instincts reviennent, infiniment plus forts, comme dopé par ma tentative de soulagement !
    
         Tous mes efforts sont réduits à néant… Tout ce contrôle vainement tenté, me donne la tête qui tourne. A cet instant, les instincts primordiaux prennent le dessus, l’ultime se révèle devenir la solution… Cette demoiselle aux côtés de moi, la perfection en mon contact, guide mes mains vers ses cuisses… Les extremitées remontent… doucement vers ce cou tendre et délicat, criant toute la luxure universelle. Dix lames de kératine pénètrent cette peau et la transpercent, laissant s’échapper de longs cris strident de détresse, une époustouflant agitation herculéenne, et une grandiose marée rouge ; l’excitation est à son comble !… Un e gravité soudaine aimante inexorablement l’ensemble de mes vêtements, gravité semblant de plus être contrôlée par moi-même, mais je ne saurais expliquer de quelle manière… Le grand surplus de sang dans mon cinquième membre contribue à le raidir et à l’endurcire, le rendant ainsi plus dur que le diamant…Je retire mes ongles délicatement du cou de cette sirène pour mieux la maîtriser. Mes organes sentent sa personne… Ils sentent et bougent dans un rythme divin, transportant l’esprit outre-cieux vers des plaisir occulter, refaisant surface…Son visage n’est plu que chaire. Les mouvements de mes organes entraînant mes mains dans la danse ultra-violente, écrasent sans cesse se crâne contre le carrelage… Enfin !… Ce sourire horripilant a cessé son arrogance ! Pour en être assuré, je préfère lui éclater les organes vitaux ;et transfuser toute mon énergie, moi debout, à mon pied que je fait s’acharner sur cette carcasse immobile, et qui le restera, j’en suis certain…
        
         ma luxure est satisfaite, mon ego aussi, mais la seul intégrité de se corps me perturbe. Je pénètre alors dans la cuisine et y saisi un long et large couteau…

         Je m’endormirais cette nuit sur une vaste étendu de chaire me servant de matelas…