Je te hais.
En fait, je VOUS hais car tu es plusieurs. L'internet a un côté schizophrénique très réjouissant lorsqu'il s'agit de la haine. Ce qui est d'ailleurs étonnant c'est que par voie de faits, je ne te hais pas toi, personne réelle mais vous, projections virtuelles de ce que tu veux montrer de ta personnalité. Mais je te prie de croire que même si je fais cette distinction, ce texte t'es destiné, connard.
En fait, je VOUS hais car tu es plusieurs. L'internet a un côté schizophrénique très réjouissant lorsqu'il s'agit de la haine. Ce qui est d'ailleurs étonnant c'est que par voie de faits, je ne te hais pas toi, personne réelle mais vous, projections virtuelles de ce que tu veux montrer de ta personnalité. Mais je te prie de croire que même si je fais cette distinction, ce texte t'es destiné, connard.
Je hais ton humour aléatoire. Parfois tu simules le second degré, comme si c'était quelque chose de naturel, mais ton naturel revient au galop. Tu n'as pas une once de subtilité et tout ce qu'on te dit, tu le prends pour toi, comme une insulte. J'adore écrire ce texte en t'imaginant fulminer, incapable de te retenir d'écrire un texte à ton tour, pour m'insulter, me violer, me brûler ou toute autre connerie que tu sais si bien écrire et que tu es pourtant incapable de faire. Je hais ta manière d'avoir le dernier mot systématiquement sous prétexte d'humour. C'est d'ailleurs assez révélateur que le fait d'être obtus à tendance tête à claques te serve d'humour.
Tu es incapable d'inventer, alors tu resuces. tu resuces tes blagues, tu resuces tes textes, tu resuces les idées des autres. Toi qui n'a jamais sucé personne. A part peut-être ta main après la branlette du soir, tu sais, celle que tu n'arrives pas à arrêter. Tu resuces enfin des bouts de personnalité car tu en as tellement peu que tu n'as pas le choix lorsqu'il s'agit de faire semblant de créer.
Je crois que ce que je déteste le plus, c'est que tu es un idiot cultivé. Tu connais les mots, les penseurs et leurs idées. Tu sais dans quels contextes les utiliser, tu sais comment simuler un talent littéraire. D'avoir trop lu et de faire écrire les autres, tu as bien appris tes leçons. Mais te rend tu comptes de ta prétention? Imagines-tu à quel point c'est horripilant de lire quelqu'un de techniquement au point qui soit incapable de la moindre ingéniosité au delà de son pauvre enchaînement de mots sans âme?
Je te vomis car tu hérisses toute ma fibre littéraire. Sous tes dehors amicaux, tu es pourri. Pourri par l'alcool, pourri par la bassesse, pourri par la solitude. Tu ne vaux rien de plus que ce que tu écris: un suicide malsain et gore qui ne fera rire que toi. Et encore, pas longtemps. Et même si tu perds des plumes dans le processus, je te hais car tu n'évolueras pas. Tu n'en seras que plus hypocrite, que plus petit, que plus insignifiant. Tu écriras d'autant plus sur des ratages, tu feras l'éloge de la loose, tu n'existeras plus. Ces projections de toi, ces avatars, ces fuites, ne seront plus qu'une fine illusion pour masquer ta médiocrité. Et elles seront inefficace puisque le plus médiocre tu seras, le moins abouti elles seront.
Tu veux te croire artiste maudit et tu n'as d'autre choix que de boire pour faire semblant qu'il t'arrive des malheurs. Pauvre pitchoune...
Tu es un raté, connard, un raté.
Tu es incapable d'inventer, alors tu resuces. tu resuces tes blagues, tu resuces tes textes, tu resuces les idées des autres. Toi qui n'a jamais sucé personne. A part peut-être ta main après la branlette du soir, tu sais, celle que tu n'arrives pas à arrêter. Tu resuces enfin des bouts de personnalité car tu en as tellement peu que tu n'as pas le choix lorsqu'il s'agit de faire semblant de créer.
Je crois que ce que je déteste le plus, c'est que tu es un idiot cultivé. Tu connais les mots, les penseurs et leurs idées. Tu sais dans quels contextes les utiliser, tu sais comment simuler un talent littéraire. D'avoir trop lu et de faire écrire les autres, tu as bien appris tes leçons. Mais te rend tu comptes de ta prétention? Imagines-tu à quel point c'est horripilant de lire quelqu'un de techniquement au point qui soit incapable de la moindre ingéniosité au delà de son pauvre enchaînement de mots sans âme?
Je te vomis car tu hérisses toute ma fibre littéraire. Sous tes dehors amicaux, tu es pourri. Pourri par l'alcool, pourri par la bassesse, pourri par la solitude. Tu ne vaux rien de plus que ce que tu écris: un suicide malsain et gore qui ne fera rire que toi. Et encore, pas longtemps. Et même si tu perds des plumes dans le processus, je te hais car tu n'évolueras pas. Tu n'en seras que plus hypocrite, que plus petit, que plus insignifiant. Tu écriras d'autant plus sur des ratages, tu feras l'éloge de la loose, tu n'existeras plus. Ces projections de toi, ces avatars, ces fuites, ne seront plus qu'une fine illusion pour masquer ta médiocrité. Et elles seront inefficace puisque le plus médiocre tu seras, le moins abouti elles seront.
Tu veux te croire artiste maudit et tu n'as d'autre choix que de boire pour faire semblant qu'il t'arrive des malheurs. Pauvre pitchoune...
Tu es un raté, connard, un raté.