Quelle horreur, sa laideur
Rime simple mais évocatrice de la mocheté qu'est cette tentatrice !
Une de ces catins bons marché qui ne sait que débaucher,
Si vous saviez, si vous compreniez… Comme elle m'obsède.
Sa difformité excite mes envies les plus primaires
Sa difformité réveille morbides fantasmes et lubrique ardeur !
Sa poitrine, dégoulinante n'enchante pas que son corset -qui peine à se fermer.
Comme on doit être bien… au fond… À l'extrémité de cet objet.
Goûter, sentir, s'envelopper et s'enivrer dans sa putride sueur suintante le long de son décolleté
Palper cette masse difforme et gluante jusqu'à l'engourdissement
Sucer son enveloppe, sa peau vergeturée de tous les cotés
Croquer puis mâcher ses rosâtres mamelons !
Aspirer avec volupté ses filets grumeleux de sang que son vagin recrache
Comprenez moi ! Elle m'envoûte ! Me possède, me répugne et me dégoûte.
Sa chevelure, grasse, abreuve de son huile visqueuse et nauséabonde, la horde de vers entremêlés dans ses haillons
Quel horreur, quel déchet ; je la hais, cette saleté qui me fait chavirer !
L'avez vous seulement vu se déplacer ? ce tas d'obscénité !
Je vous l'assure, ça n'est qu'une translation d'ordure
À coté, mes multiples amputations passent inaperçues
Tellement forte, grande, lourde !
Imaginez !
Des neurones embués par son abondantes cellulites cérébrales
Imaginez !
Son sang, ses globules accouplés à moult îlots graisseux
J'admire cette chaire, chaire que je n'ai plus !
Plus comme avant, une jambe sur deux !
Puis un bras manquant
Un peu trop de doigts, que je glisserai amoureusement dans son gigantesque anus en observant son visage, ses yeux, et son sensuel rictus.
Une de ces catins bons marché qui ne sait que débaucher,
Si vous saviez, si vous compreniez… Comme elle m'obsède.
Sa difformité excite mes envies les plus primaires
Sa difformité réveille morbides fantasmes et lubrique ardeur !
Sa poitrine, dégoulinante n'enchante pas que son corset -qui peine à se fermer.
Comme on doit être bien… au fond… À l'extrémité de cet objet.
Goûter, sentir, s'envelopper et s'enivrer dans sa putride sueur suintante le long de son décolleté
Palper cette masse difforme et gluante jusqu'à l'engourdissement
Sucer son enveloppe, sa peau vergeturée de tous les cotés
Croquer puis mâcher ses rosâtres mamelons !
Aspirer avec volupté ses filets grumeleux de sang que son vagin recrache
Comprenez moi ! Elle m'envoûte ! Me possède, me répugne et me dégoûte.
Sa chevelure, grasse, abreuve de son huile visqueuse et nauséabonde, la horde de vers entremêlés dans ses haillons
Quel horreur, quel déchet ; je la hais, cette saleté qui me fait chavirer !
L'avez vous seulement vu se déplacer ? ce tas d'obscénité !
Je vous l'assure, ça n'est qu'une translation d'ordure
À coté, mes multiples amputations passent inaperçues
Tellement forte, grande, lourde !
Imaginez !
Des neurones embués par son abondantes cellulites cérébrales
Imaginez !
Son sang, ses globules accouplés à moult îlots graisseux
J'admire cette chaire, chaire que je n'ai plus !
Plus comme avant, une jambe sur deux !
Puis un bras manquant
Un peu trop de doigts, que je glisserai amoureusement dans son gigantesque anus en observant son visage, ses yeux, et son sensuel rictus.