Premier jet d'une pieuvre crachant son encre acide aux yeux de ceux qui n'y croient déjà plus , n'y ont jamais cru ...Maintenant : jm'en torche le cul
Vint alors le temps des âmes perdu , de celles qui se reflètes dans l'œil , de ces moments abstrait qu'un écrivain n'aurait pas la vivacité de coucher sur papier ,de sa plume angoissée. Comme un relent de fumée évanescent d'un bleu pâle , ou la clarté des mots flottant dans l'air, claquant avec agilité du bout de lèvres ankylosées .
La nostalgie d'une époque , ou malgré les expériences , les erreurs se répètent , inlassablement maudit et pervers dans leurs jeux de soumissions , ne pensant qu'a leurs raisons , des êtres informes mais vibrant , marchent ensemble en se trainant .
L'alchimie d'une destruction opaque se produit . Narguant les élites d'un rictus ,une route se dessine a l'encre, sur la couverture d'un livre n"étant qu'un fœtus : Persécution , déduction ou mensonges ...
La nature des mots, plus obscène et violente,fait que les douleurs se prolongent. Les absences , comme une salle de torture,au toucher de braise selon leur boutures ,nécessitent un écho que jamais de résonnera ...
L'écart se creuse alors, comme la tombe d'un toxico, s'étant masturber une fois de trop avec la seringue d'un autre.
Aucune vérité, aussi noire que le sang qui avait nourrit leurs pêchés,ne pu faire d'eux se qu'ils n'aurons été ...
Les saisons passées, la ramène a l'hiver tant redouter.
Seule la haine et l'amertume viennent maintenant lécher des larmes salée, qui sur sa joue , n'ont pas la place de couler .
L'espoir et la peur prirent forme en une seule entité , l'image de l'un dans une vie , sans un autre , chimère aux ailes coupées paradoxe de ce monde damné .
La nostalgie d'une époque , ou malgré les expériences , les erreurs se répètent , inlassablement maudit et pervers dans leurs jeux de soumissions , ne pensant qu'a leurs raisons , des êtres informes mais vibrant , marchent ensemble en se trainant .
L'alchimie d'une destruction opaque se produit . Narguant les élites d'un rictus ,une route se dessine a l'encre, sur la couverture d'un livre n"étant qu'un fœtus : Persécution , déduction ou mensonges ...
La nature des mots, plus obscène et violente,fait que les douleurs se prolongent. Les absences , comme une salle de torture,au toucher de braise selon leur boutures ,nécessitent un écho que jamais de résonnera ...
L'écart se creuse alors, comme la tombe d'un toxico, s'étant masturber une fois de trop avec la seringue d'un autre.
Aucune vérité, aussi noire que le sang qui avait nourrit leurs pêchés,ne pu faire d'eux se qu'ils n'aurons été ...
Les saisons passées, la ramène a l'hiver tant redouter.
Seule la haine et l'amertume viennent maintenant lécher des larmes salée, qui sur sa joue , n'ont pas la place de couler .
L'espoir et la peur prirent forme en une seule entité , l'image de l'un dans une vie , sans un autre , chimère aux ailes coupées paradoxe de ce monde damné .