Mon pire ennemi.

Le 25/11/2010
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par Yothar_Ace
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Thèmes / Divers / Poèmes de merde
Je n'y connais pratiquement que dalle en poésie, mais je suis à peu près sûr que ce truc digne des premiers brouillons de Nicolas Sirtakis (ahah, le con, ah, ah.) n'en est pas. Il me semble néanmoins que l'Alexandrin est respecté, c'est déjà ça. Heureusement, vous pourrez toujours porter votre attention sur la merveilleuse image sans rapport qui orne ce texte.
A toi, mon pire ennemi,
Je te hais, sombre con,
De ma merde, mon vomis,
Te remplirais à fond.

Et de la tête au pied,
Tu n'auras plus tes yeux,
Pour me voir rire, pleurer,
De bonheur, être heureux.

Dans mes plus beaux rêves,
Tu es malade, mourant,
Tu claques, tu meurs, tu crèves,
Et personne ne t'entend.

Mais ce que je préfère,
Au-delà des souffrances,
C'est ce sourire pervers,
A mes lèvres, se balance.

La chance me sourit,
Dans ma cave, tu finis.

Et, je te torture,
Le marteau, la faucille,
Des coups pleuvent, des injures,
C'est presque trop facile.

Tes doigts, je raccourcis,
Tes larmes apparaissent,
Mais ce n'est pas fini,
Ne chante pas la messe.

Du sang coule de tes yeux,
Car je les ais percés,
Hurlements silencieux,
Un baîllon bien serré.

Le marteau, très pratique,
Pas très lourd, tu verras,
Hélas, pas en plastique,
Brusquement, il s'abat.

Tu n'es plus, chancelier,
Qu'un cadavre désossé,
Les ligaments coupés,
Et tes os, sectionnés.

Ta folie s'est finie,
Et tu as bien souffert,
Belle vengeance d'une ethnie,
Mon brave petit Hitler...