Napolitain au chocolat blanc

Le 12/07/2011
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par Nana
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Thèmes / Débile / Idiot
ça sent le texte de troll improvisé à la 6 4 2 mais ce que les trolls ne savent pas ben c'est que la ZONE sous la RIGOLOCRATIE laisse entrer les trolls même s'ils portent des baskets. L'exercice d'impro est vraiment pas mal, surement un gars qui remportera un jour le prix PULITZER ou qui sera le nègre de Paul Loup Sulitzer en tout cas pour l'instant je vais me contenter d'un Alka Selzer. Enfin bon les troll, c'est trop LOL ! Comme ça ils débarquent en douce et ils font du rôle play, c'est vraiment trop kiffant ! En fait tu penses que t'as à faire à un gros débile avec un pseudo de merde alors qu'en réalité c'est un gros débile mais avec un autre pseudo de merde. Ils se prennent pour Splinter Cell en mission d'infiltration alors que leurs selles s'exfiltre de leur Sphincter (note pour plus tard : filer le bout de phrase à King Ju de Stupéflip)
ça arrive.. je ne pensais pas que ça arriverai, mais c'est arriver, et je vous l'assure, je ne suis pas ivre.
je fais très attention en postant cette expérience douloureuse - qui s'inscrira à jamais dans mon corps, mon cœur, mes mœurs- parce que des yeux étrangers peuvent se poser sur se texte et le supprimer pour préserver leur honte, leur deuil face à cette vivante digression.
passons aux choses sérieuse parce que ça rigole plus ; les clown, c'est bien d'en manger, mais pas à l'heure du déjeuner.
je vais vous raconter l'histoire de Moncha, mon chien… accrochez vous parce que ça fait pas du bien.
La digression vivante se déroula un jour de la semaine, je ne me souviens plus exactement du blase de ce day… lundi ? ou peut être mardi ? ou encore jeudi ????… passons. en tout cas, c'était pendant le mois d'octobre. ou de mai ? ou de décembre ? passons… à nouveau...
J'étais en train de manger, Moncha dormait. Je dégustais avec entrain mon Napolitain, croquant avec amour et délectation (mais sans érection parce que je venais de me branler, sinon oui, je pense que j'aurai bandé…) sa fine couche moelleuse de chocolat. avec vivacité, couplé d'une prude concentration, je ne faisais pas attention à mon chien
j'imaginais, je m'en souviens, mon gâteau se faire déchiqueter par moult acide contenu dans mon estomac… un peu de culpabilité face à ce carnage gastronomique, oui, mais à chaque bouchée, mes papilles palpitaient……… je savais pertinemment que ce met finirai pas se transformer en petit caca, mais, mais, la gourmandise… quand la moitié du gâteau disparu dans mes méandres intestinales, je jeta un regard attendri sur l'animal ; celui ci essayait violemment de s'arracher une petite bosse verdâtre et rugueuse fixé à l'extrémité de son premier anus, je l'avais déjà aperçue, cette verrue anale.
je ne la pris réellement en considération lorsqu'elle voltigea au dessus de ma blonde et soyeuse chevelure de secrétaire assidue, pour se retrouver sur l'emballage graisseux -mais coloré- de mon précieux.
Un filet et épais et rougeâtre s'échappa de la cavité avec tellement de surprise et de spontanéité qu'on avait dit une éjaculation non contrôlée, ô désespoir, une éjaculation du cul
mon goûté et mon repas de la veille ne tardèrent pas à fusionner avec le carrelage, à s'étendre, tel de la pâte à gâteau dans un moule, sur le sol… l'odeur ne se fit pas non plus attendre, les relan nauséabonds m'empêchèrent de nettoyer sur le champs cette bataille d'odeurs et de textures toutes plus immondes des unes que des autres
le blanc cassé du carrelage -d'après ma mère- n'a jamais été aussi coloré : du vert du rouge du jaune du noir (sûrement les poils de l'anus de mon chien) ou même du marron (des excréments ?), oh oui, du marron, il y en eu.. ma chienne avait en fait la diarrhée
un arc-en-ciel ! ma mère, en entrant dans la cuisine, s'empressa de finir mon napolitain, ensuite elle nettoya -nue, parce qu'elle préfère être en harmonie avec sa chère cuisine et ce même dans les moments les plus difficiles- et ensuite me porta tel joko, sur son dos… elle m'étala sur mon lit, me fis du bouche à bouche, et s'en alla me laissant las, là, à moitié endormis
si je vous raconte tout cela, c'est pour vous annoncer que désormais je ne mangerai plus que napolitain au chocolat blanc