Pour la Saint con, je brûle un con et même plusieurs… en retard !
Paris insomniaque, le 22 avril 2015
Paris insomniaque, le 22 avril 2015
Il n’y a pas qu’un seul con que j’aimerais brûler.
Je brûle pour des cons depuis des années désormais, mais grâce à je ne sais quel processus métaplastique, je me réintégre à chaque fois ! Transmutation ! Si j’étais pas si dissipée, je le ferais même à la vitesse de la lumière des toilettes que t’as oublié d’éteindre.
En fait, j’aime plutôt la viande grillée, juste un aller-retour : bleue, avec du sang, beaucoup de sang. Le sang virtuel des batailles remportées en s’exilant vers des mondes pas si lointains, et des mondes imaginaires, où les amis imaginaires : Albator, Actarus ou Magnum viennent me chanter fleurette. Je suis une vraie romantique, on s'refait pas...
La fleurette, tu la portes sur ton dos maintenant poulette ! Une pivoine tatouée sur ton flanc qui y restera jusqu’à ce que mort s’en suive. Légère et si fluette qu’elle te survivra même, en s’envolant quand tu passeras l’âme du côté obscur de la force; Cui cui les ptits oiseaux, va prendre l’air avec ta moue des selfies volés dans les toilettes, quand tu te trouves bien maquillée ou que tu veux immortaliser l’instant préalable à des événements marquants de ta vie orageuse. L’orage est là, tout comme Ikéa, et le bordel de ton salon est à l’image de celui de ton existence terrestre. Tiens, d’ailleurs, pourquoi ne pas appeler E.T pour lui proposer d’aller boire un verre ? jamais fait ça. Ca manque cruellement à mes activités extra scolaires. Mais maintenant que je ne suis plus aussi bonne élève, je m’autorise aussi les barbecues carnivores les plus sanglants. Hop : un aller-retour, et c’est parti. Et ça ferait quoi si je grillais E.T avec des herbes de Provence, tiens ? je me ferais des ennemis, sûr. M’en fous, j’en ai déjà, des officiels et ceux que j’ignore. Bon ok, la liste est longue, longue, mais la liste des conneries ingurgitées au fil des repas l’est encore davantage. Alors mangeons, dévorons le sang des inutiles et des futiles, jusqu’aux larves cachées dans le cœur des fruits gâtés, pourris, caramélisés par tant d’efforts. Une entrecôte entre mes côtes et une compote de fille trop bien dévorée. Il en reste encore, hey ! Et il reste du charbon, alors y a plus qu’à !
C’est la bonne période pour les barbecues, viandez les troupeaux de bêtes !
Quoi, un pique-nique, mais de qui se fout-on ? Avec qui se fout-on ? et pourquoi pas un tea time avec Winnie l’Ourson ? Nan, mais je rêve…On vous a démasqué les infidèles de la moutarde, les frustrés du ketchup ! Ratez pas le prochain dîner aux chandelles chez mamie nova, va y avoir du sang, encore du sang ! Apporte du boire, des bouteilles d’absinthe à la fraise tagada. Les fraises, je les aime natures et sauvages, cherche pas d’édulcorant, on t’a vu, on sait que tu la joues dément. En réalité tu es sage, très sage, et moi ça m’ennuie. Je veux des fraises brûlées, aventureuses, aux allures de roues crevées sur l’autoroute.
Je brûle pour des cons depuis des années désormais, mais grâce à je ne sais quel processus métaplastique, je me réintégre à chaque fois ! Transmutation ! Si j’étais pas si dissipée, je le ferais même à la vitesse de la lumière des toilettes que t’as oublié d’éteindre.
En fait, j’aime plutôt la viande grillée, juste un aller-retour : bleue, avec du sang, beaucoup de sang. Le sang virtuel des batailles remportées en s’exilant vers des mondes pas si lointains, et des mondes imaginaires, où les amis imaginaires : Albator, Actarus ou Magnum viennent me chanter fleurette. Je suis une vraie romantique, on s'refait pas...
La fleurette, tu la portes sur ton dos maintenant poulette ! Une pivoine tatouée sur ton flanc qui y restera jusqu’à ce que mort s’en suive. Légère et si fluette qu’elle te survivra même, en s’envolant quand tu passeras l’âme du côté obscur de la force; Cui cui les ptits oiseaux, va prendre l’air avec ta moue des selfies volés dans les toilettes, quand tu te trouves bien maquillée ou que tu veux immortaliser l’instant préalable à des événements marquants de ta vie orageuse. L’orage est là, tout comme Ikéa, et le bordel de ton salon est à l’image de celui de ton existence terrestre. Tiens, d’ailleurs, pourquoi ne pas appeler E.T pour lui proposer d’aller boire un verre ? jamais fait ça. Ca manque cruellement à mes activités extra scolaires. Mais maintenant que je ne suis plus aussi bonne élève, je m’autorise aussi les barbecues carnivores les plus sanglants. Hop : un aller-retour, et c’est parti. Et ça ferait quoi si je grillais E.T avec des herbes de Provence, tiens ? je me ferais des ennemis, sûr. M’en fous, j’en ai déjà, des officiels et ceux que j’ignore. Bon ok, la liste est longue, longue, mais la liste des conneries ingurgitées au fil des repas l’est encore davantage. Alors mangeons, dévorons le sang des inutiles et des futiles, jusqu’aux larves cachées dans le cœur des fruits gâtés, pourris, caramélisés par tant d’efforts. Une entrecôte entre mes côtes et une compote de fille trop bien dévorée. Il en reste encore, hey ! Et il reste du charbon, alors y a plus qu’à !
C’est la bonne période pour les barbecues, viandez les troupeaux de bêtes !
Quoi, un pique-nique, mais de qui se fout-on ? Avec qui se fout-on ? et pourquoi pas un tea time avec Winnie l’Ourson ? Nan, mais je rêve…On vous a démasqué les infidèles de la moutarde, les frustrés du ketchup ! Ratez pas le prochain dîner aux chandelles chez mamie nova, va y avoir du sang, encore du sang ! Apporte du boire, des bouteilles d’absinthe à la fraise tagada. Les fraises, je les aime natures et sauvages, cherche pas d’édulcorant, on t’a vu, on sait que tu la joues dément. En réalité tu es sage, très sage, et moi ça m’ennuie. Je veux des fraises brûlées, aventureuses, aux allures de roues crevées sur l’autoroute.