Anti antichambre

Le 06/10/2002
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par Aka, Arwen, M. Yo, Ocus
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Dossiers / Remix
Une initiative spontanée lancée sur un chat par nos sublimes auteurs et intervenants M. Yo, Ocus, Aka et Arwen. Il s'agit d'une excellente parodie du texte Anti chambre par Amanite.
Parodie du texte Anti chambre par Amanite.
Texte d'origine :
Comme bien des soirs, elle revêtit une tenue qui mettait en valeur ses formes généreuses : guêpière de satin et velours noirs sous un long manteau de cuir, grandes cuissardes lacées haut sur ses jambes, petit collier de chien élégamment clouté, gants remontant jusqu’à ses épaules dénudées.
Tenue noire alternant matières mates et brillantes, douces et un peu rêches.
Ses cheveux mi-relevés lui donnaient un air un peu sauvage que ses yeux soulignés d’eye-liner et mascara accentuaient.

Version de Yo :
Comme bien des soirs, il revêtit son vieux survêtement qui mettait en valeur son bide généreux : Tongs usées, bob Ricard, marcel gris crade laissant paraître avec sensualité son tatouage "je t'aime zézette".

Minuit. Après un dernier regard dans le miroir, elle se décida enfin à sortir pour errer dans la nuit parisienne. Une petite pluie blafarde annonçait un hiver pas très froid.

Minuit. Après un dernier regard sur sa femme en sang et sur la bouteille de bières en mille morceau au milieu de la cuisine, José se décida enfin a sortir pour errer dans la nuit parisienne. "PUTAIN, IL PLEUT SA MERE..." lança - t il d'un ton sexy et ravageur.


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Texte d'origine :
Les hauts talons de ses cuissardes martelaient le pavé humide. Son manteau bruissait sous les mouvements rapides de ses jambes qui arpentaient le trottoir tels des compas pointus. Elle laissait dans son sillage un parfum entêtant aux accents de tubéreuse.

Version d'Ocus :
Les semelles de ses Nike Air glissaient sur le trottoir mouillé. Son jogging bruissait sous les mouvements lents des ses jambes. Il laissait dans son sillage une vieille odeur de bière et des relents de pets macérés.

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Texte d'origine :
Elle arriva devant le bar choisit pour cette nuit, huis clos et sonnette à l’entrée. Elle appuya fortement sur le bouton. Aussitôt, un molosse vint lui ouvrir la porte. La reconnaissant, il la laissa passer avec un sourire malicieux au coin des lèvres.

Version d'Aka :
Il se pointa devant le rade choisit pour passer ses heures croulantes, entrée sous réserve et bobinette à l'entrée. Il s'excita de tout son saoul sur le bouton. Aussitôt, un gros bras grincheux vint ouvrir pour voir ce que voulait cette poufiasse. Matant son joli petit cul qu'il avait déjà visité, il le laissa passer avec un gros sourire de pervers névrosé, la bave au coin des lèvres.

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Texte d'origine :
Elle fila se percher sur un des tabourets devant le comptoir du bar, croisant ses jambes, déboutonnant son manteau sur un décolleté pigeonnant. D’un rapide coup d’œil, elle avait déjà fait le tour de toutes les tables et avait repéré une jeune proie qui ferait l’affaire pour cette nuit. Il semblait vraiment parfait, ce jeune homme ! Grand, mince et un peu frêle malgré sa jolie carrure, longues mains fines, visage aux traits encore quelque peu adolescents…

Version d'Arwen :
il fila s'empaler sur un des pieux en bois calciné devant le comptoir du bar, serrant les fesses, dégrafant sa veste de jogging, mettant ainsi en exergue sa toison fournie. D'un rapide coup d'oeil, il avait déjà fait le tour de tout les pieux et avait repéré une proie bien mûre qui ferait l'affaire pour cette nuit. Il semblait vraiment parfait, ce vieux clochard! Petit, rabougrit et pas trop velu malgré son air de Marlon Brando des bas fonds de Buenos Aires, petites mains crasseuses, visage ridé par milles tempêtes...

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Texte d'origine :
Elle le fixa longuement en battant des cils de temps à autre, jusqu’à ce qu’elle sente les yeux du jeune homme accrochés à son décolleté provoquant et à son entrecuisse orné de jartelles… Puis elle détourna le regard, jouant l’indifférente en sirotant un whisky de choix, tout en gardant le contrôle de sa prise en l’observant dans le miroir placé derrière le bar. Visiblement, sa tenue attirait beaucoup ce galant. Peu de temps après, elle le sentit s’approcher dans son dos. Il demanda une pochette d’allumettes au barman, prétexte classique, mais elle n’en attendait pas moins.

Version d'Ocus :
Il reluqua longuement le type en se grattant les aisselles de temps à autre, jusqu'à ce qu'il sente les yeux du mec accrochés à sa braguette gonflée par une énorme trique. Puis il replongea dans sa Kro, en feignant l'alcoolémie. Visiblement, sa bite intéressait beaucoup l'autre salop.

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Texte d'origine :
Elle fit soudaine volte-face et il fut troublé.
Elle craqua une allumette du bout des doigts, la maintint à hauteur de ses yeux, laissant la flamme donner à son regard une profondeur ensorceleuse.
Rivé à ses yeux enflammés, il tremblait déjà d’émoi. C’est ce moment propice qu’elle choisit pour souffler sur la flamme, puis effleurer de sa main gantée le ventre du jeune homme, la laissant redescendre lascivement jusqu’à son entrejambe…Il bandait déjà, le bougre !
La tâche allait être assez facile.

Version de Yo :
José se retourna d'un coup vers la folasse. Il se munit de son briquet "Pokemon", alluma une flamme éclairant l'entrejambe tendue de sa proie, puis y posa sa main... "dit CAMION ?!?" ... "CAMION !"
"POUET POUET !!!!!!!! ahahahahahha" fit-il en palpant vigoureusement. Il bandait déjà, le bougre !
Ca promettait une franche parti de rigolade !

***

Texte d'origine :
Elle laissa alors sa main le caresser doucement, puis, du bout de ses ongles, elle lui pinça un peu les testicules. Surpris, il serra les cuisses, mais la main resta prisonnière et elle continua ses caresses, doucement, jusqu’à ce qu’il se détende de nouveau.
Elle approcha ses lèvres de son oreille et dans un murmure sensuel, elle lui proposa de l’accompagner pour un second verre. Il accepta.
Tout continuait comme elle le prévoyait.

Version d'Aka :
José laissa alors ses grandes paluches l'astiquer vigoureusement, puis, du bout de ses doigts boudinés, joua plus que violemment avec ses glorieuses. Faisant sa mijaurée, il serra non seulement les cuisses mais les fesses, mais l'autre s'agrippa de plus belle, jusqu'à ce qu'il bande comme un âne. José lui léchouilla avidement l'oreille tout en lui proposant de sa voix rauque une grosse partie d'enfilade chez lui.
Comme prévu, c'est bien ce soir qu'il allait lâcher du lest.

***

Texte d'origine :
Tout au long de la conversation, elle apprit qu’il était de province, en visite chez le couple d’amis avec lesquels il était venu ici, et qui semblait ravi de le voir s’éloigner d’eux ce soir.
Parfait….tout était parfait… !
Elle n’eu pas de mal à le persuader de prendre congé de ses amis et la suivre pour une petite promenade nocturne dans les rues de Paris. Elle paya leurs consommations, déposa un léger baiser sur les lèvres du barman en lui murmurant quelques mots à l’oreille, et ils retrouvèrent hors du bar, toujours sous cette bruine incessante.

Version d'Arwen :
tout le long de la discussion, José apprit qu'il etais de Marseille, en visite chez un ami trav' avec qui il etait venu ici-bas, et qui semblait ravi de le voir s'éloigner de lui ce soir. Parfait! tout etait parfait.. José n'eu aucun mal à le persuader de prendre congé de son ami trav' et de le suivre pour une petite sodo plein air dans les caniveaux de Paris. José sorti son desert eagle, le fourra sensuellement dans la bouche du barman en lui beuglant à l'oreille quelques mots, et ils se retrouvèrent hors du troquet, toujours sous ce crachin néphrétique...

***

Texte d'origine :
Ils marchèrent un moment dans la nuit de grisaille. Elle en profitait pour vérifier de temps en temps de ses attouchements et baisers, que l’excitation du jeune homme continuait à croître. Soudain, elle s’arrêta devant une porte cochère.
« J’habite ici » lui dit-elle. « Tu ne veux pas venir te sécher un peu ? Tu es tout trempé avec cette vilaine pluie froide ! »
Il eu à peine le temps de balbutier un « oui » timide, qu’elle avait ouvert la porte et le poussait vers celle de son appartement. Elle le plaqua sur la porte en lui administrant un baiser torride, fit tourner la clé dans la serrure et referma la porte blindée à double tour.
C’était délicieux, il tremblait de plus en plus !

Version de Yo :
Ils marchèrent mains sur les fesses dans les ruelles sombre de ce quartier sordide. José en profitait pour accroître encore l'excitation de son nouvel ami par quelques "POUET POUET CAMION" complices... Soudain, il s'arrêta devant un squat puant emplies de rats et de mouches.
"c'est chez toi, con ?!?" demanda le vieux clochard marseillais. "Non" répondit José, "mais chez moi ya ma femme et mon gosse, j connais bien ici, c est un coin tranquille peinard.. Profites en pour enlever tes fringues, t es mouillé comme une gouinasse !"
Il eu a peine le temps de pousser un "heu.." gêné qu'il l'attrapa et le poussa à l'intérieur du taudis, lui foutu une énorme trempe de manière a le faire tomber sur un matelas rongé par la crasse.
Putain ça s'annonçait bien, il commençait lui aussi a avoir la gaule.

***

Texte d'origine :
Elle alluma une lumière tamisée qui laissait entrevoir un salon à la décoration baroque. Elle laissa son manteau tomber à terre, lui prit la main et l’entraîna vers une porte entrouverte…
Elle le poussa doucement à l’intérieur de la pièce. Eclairée de lumignons, les murs couleur rouge sang séché, ornés de nombreux miroirs, reflétaient son image. Elle le planta au milieu de la pièce, allongeant de pas langoureux ses jambes gainées de cuir et bas résille, tournant sur elle-même pour lui faire admirer son corps enlacé dans sa guêpière, sa croupe rebondie encadré de jartelles et de rubans…
Elle le sentit approcher, effleurer ses fesses de son sexe tendu sous son pantalon, se coller à elle…
Il était mûr, à point pour les amusements.

Version d'Aka :
José alluma sa grosse madlight et la pointa vers le matelas grouillant. Il se défroqua rapidement, lui prit la queue et le tira vers un matelas voisin. Il l'éjecta dessus d'un bon coup de rein. Grâce à la madlight, on voyait mieux les graffs dégueux qui couvraient les murs ainsi que les flaques de pisse qui reflétaient son image. Il lui dit "bouge pas mon gros regarde ce que je vais te mettre" en jouant à l'hélicoptère avec sa queue, ne manquant pas de lui faire remarquer son joli string en cuir piqué à une pédale la veille. José sentit l'autre arriver à l'odeur, la langue tombante, le fouettant à coup de bites...
Il était assez jouasse pour enfin se faire défoncer.

***

Texte d'origine :
Elle se retourna et commença à le déshabiller, tout en léchant sa peau…Quelle peau tendre ! Tendre à souhaits !
Quand le jeune homme fut entièrement nu, elle l’invita à s’allonger sur une sorte d’autel drapé de velours noir. Elle prit ses poignets, releva ses bras au-dessus de sa tête, les fit glisser dans de petites encoches, et d’un geste ferme, les emprisonna en les nouant bien serrés avec un lacet de cuir. Elle attrapa les chevilles, leur fit le même lien de cuir. Sans qu’il n’ait eu le temps de réagir, le jeune homme se retrouva délicieusement crucifié.
C’était une proie magnifique !

Version d'Arwen :
José fi un salto arrière en lui arrachant les vêtements avec sa queue-hélicoptère, tout en léchant sa peau! Quelle peau râpeuse, ridée a souhait! Le vieux clodo a présent nu comme au premier jour en se bas monde, le cordon en moins - la mode est au sans fil- José lui fit un D--Ashibarail afin de le projeter cul le premier sur une sorte d'autel drapé d'une nappe du fan-club PSG.
Il pris ses poignets, , releva ses bras maigres au dessus de sa tête vérolée, les fit glisser dans de petites encoches purulentes et d'un geste ferme, les entrava avec du fil de pêche en nylon calibre 3 - acheté au Bauf Pecher dans le 16ème..José chopa ses chevilles, leur fit la même entrave... Avant que l'autre tantouse ai gueulé sa race, il se retrouva crucifié comme un petit jésus rabougris, gros et crasseux.

***

Texte d'origine :
Il était si frêle, sa peau très blanche contrastant à ravir sur le noir de l’autel, le regard apeuré, le sexe brandit vers le plafond, où un miroir reflétait son indécente nudité.
Elle lui banda les yeux et se plaça derrière lui tandis qu’elle enfila patiemment d’autres longs gants noirs. Ceux-ci étaient terminés aux extrémités, de petites épingles effilées qui dépassaient à chaque ongle. Elle commença par caresser furtivement ses jambes, ses bras, son torse, laissant sur le parcours de ses doigts, perler de minuscules gouttes de sang.

Version de Yo :
Il était si sale, sa peau pustulée s'accordant a ravir avec la pisse entourant l'autel, l'air ahuri, le sexe qui commençait tout de même a débander suite à cette violence inattendue. José attrapa une batte de base-ball.. "Alors enculé de marseillais ? PSG !!!" cria-t-il en le frappant sur ses jambes.. ses bras.. son torse.. "CRIE LE AVEC MOI !! PSG !!!!!!!!!"

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Texte d'origine :
Elle étouffa les grimaces naissantes de sa bouche de quelques baisers sensuels.
Sa langue lécha les gouttelettes de sang sur les bras et les jambes du jeune homme.
Le sentant gémir et trembler, elle continua ses griffures en écartant un peu son entrejambe, remontant le long de ses bourses durcies, sans avoir omis de s’attarder sur son périnée pour voir son sexe se tendre encore un peu plus…
Il bandait sacrément !

Version d'Aka :
Il étouffa la gueule de l'autre avec son écharpe de la coupe des coupes 1996. Sa langue lécha goulûment la Kro qu'il lui avait balancé sur tout le corps en signe de victoire. Le sentant étouffer et gémir, il continua en le labourant de la petite coupe en porte-clef qu'il avait toujours sur lui, lui broyant les couilles et s'attardant à griffer sa queue bien comme il fallait.
L'autre, complètement à la masse, bandait encore plus (ce con).

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Texte d'origine :
Le sang gouttait toujours sous ses caresses. Il gémissait maintenant à la fois de douleur et de plaisir. Elle souriait, satisfaite de l’excitation perverse qu’elle lui procurait.
Elle lui murmura que sa langue allait l’apaiser et entreprit de joindre les gestes à la parole.
Tranquillement, sa langue remonta le long de l’intérieur des cuisses du jeune crucifié. Elle lapa ses jeunes couilles éraflées, jusqu’à les laver complètement du sans coagulé. Puis elle vint s’asseoir sur son torse, ses fesses frôlant la bouche de sa jeune proie, les jambes repliées, les talons de ses cuissardes lui bloquant la nuque et la tête.

Version d'Arwen :
La Kro giclait et moussait sous les coups de butoir. Il hurlait de l'humiliation de cette cinglante défaite pour son club et jouissait. José souriait, satisfait de l'état d'excitation humiliante de ce con de marseillais.. José hurla à tue tête qu'un Footix carré dans son anus allait l'apaiser et mis l'objet en question dans la main de la victime tout en entreprenant de se brosser tranquillement les poil du cul sur la tête a Footix. Sortant un coton-tige clouté, il entreprit de faire les narines du croulant crucifié, absorbant toute la kro ayant coulé dans les nasaux de cet étalon marseillais.. Puis José refit l'hélicoptère avec sa queue, frôlant avec une violence toute prémédité la bouche du vieil éphèbe, les jambes repliées, les talons de ses Caterpillars lui bloquant la nuque et la tête.

***

Texte d'origine :
Elle saisit alors d’une main ferme le membre érigé et le serra dans son gant noir. Elle se mit à le branler durement, jusqu’à faire gonfler son gland d’une rouge ardeur. Il gémissait encore…elle effleura de nouveau ses couilles, mais cette fois d’un petit ustensile qui ressemblait à une petite fourchette.
La langue du jeune homme léchait sa croupe, la mordait presque à chaque griffure. Mais alors, elle resserrait l’étreinte de ses jambes et immobilisait le jeune imprudent. Elle riait aux éclats en lui disant, perverse : « Tu bandes comme un forcené ! Plus je te griffe, plus j’enserre ton sexe, et plus tu bandes ! Tu aimes ? N’est-ce pas ? »

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Version de Yo :
José se décida alors a se montrer plus tendre envers son adversaire : Plan "Love" garanti : il le branla durement en chantant "ALLUMEEEEEEEER LE FEU" de Johnny Halliday. Le marseillais hurlait de plaisir...
Il effleura de nouveau ses couilles, en y agrafant sa carte de colleur d'affiche du Front National.
Le marseillais n'en pouvait plus, il voulait sucer son partenaire, mais dès qu'il pensait avoir enfin sa bite en bouche, José la retirait en recommençant l'hélicoptère et criait "Ah ahhhhh tu bandes hein ? tu l'auras pas heu tu l'auras pas heu ! ON EST PAS DES PD NOUS AU PSG !!"

Texte d'origine :
Il haletait d’inquiétude et d’excitation. Son sang coulait en minces filets le long des drapés de velours de l’autel. Les miroirs reflétaient à l’infini ces entrelacs rouges, noirs, diaboliques.

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Version d'Aka :
Avec frénésie, elle continuait de branler ce sexe dressé de peur et de désir, l’étreignait de plus en plus fort de sa poigne gantée.
Lorsqu’elle l’entendit crier plus que de gémir, elle lui porta le coup de grâce. Saisissant ses couilles à pleine main, elle les pressa très progressivement jusqu’à les sentir bouillonner sous ses doigts, elle branla le sexe encore d’un ou deux coups violents, jusqu’à voir le gland se gonfler de sperme, puis elle arrêta ses mouvements pour regarder le liquide laiteux de la jouissance couler sur ses gants noirs et se mêler au sang qui perlait encore…

Il beuglait sa honte d'être marseillais afin de pouvoir le chopper. La Kro coulait toujours et allait se mélanger à la pisse, ce qui faisait une belle occasion de refléter ces deux grands sportifs en pleine action. José continuait toujours à savater à coup de Cater' les couilles de l'autre, rêvant à un but en or à la coupe du monde. Lorsqu'il entendit l'autre hurler "MAIS ILS SONT OU, MAIS ILS SONT OU LES MARSEILLAISSSSSSSS", il ne put contenir sa joie. Ecrasant ses couilles de ses deux pieds, il trépignait sur lui même en criant "Youppieeeee j'ai gagnéééééééééééé", en agitant par la même occasion la queue de l'autre comme le fanion de son club favori, jusqu'à voir l'autre complètement euphorique qui du coup arrosait joyeusement l'écharpe parisienne de son jus tant convoité. José s'arrêta de sauter pour regarder ce liquide baver sur son trésor...

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Texte d'origine :
Il hurla d’un plaisir partagé d’horreur, le corps raidit et saccader de soubresauts. Elle lécha ses lèvres écumantes, dénoua le bandeau qui recouvrait ses yeux pour se régaler de l’effroi et de la jouissance qui se mélangeaient dans son regard…
Elle riait, tête rejetée en arrière, cheveux défaits, gorge provocante, enivrée de ces délices sulfureux.
Il n’osait avouer son plaisir, c’était évident, et elle jubilait de sa gêne.

Version d'Arwen :
Ils chantaient en coeur "I Will survive" partagés entre l'ivresse et l'inquiétude, le trou du cul raidi par l'angoisse.
José lécha un peu de la Kro, dénoua l'écharpe du PSG pour se régaler de cette face de macaque ridée et pleine de mousse de bière dont l'odeur acide se mélange avec celle de l'urine.
José riait, tête chaussée d'un BOB SUZE, son écharpe flottant et claquant dans le vent, dansant avec l'onde sibylline des mers du sud, il etait le Maître du Monde et ce singe son Tita-nique... L'autre n'osait avouer sa joie d'être battu par son adversaire du PSG et José jubilait de sa gène.

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Texte d'origine :
Mais il était trop apeuré maintenant, et ne semblait pas capable de revenir un jour éprouver de nouveaux délices d’anti chambre. Elle ne ressentit aucune confiance en ce jeune homme.
Alors, avec un léger regret pour cette peau si tendre, en l’embrassant fougueusement, elle lui planta une petite dague effilée, là, à la jugulaire, et le regarda se vider de son sang…
Tout brillait de superbes couleurs chaudes et contrastées sous les lumignons et les miroirs.
Rouge….sang. Noir…velours. Flammes…lubriques !

Version de Yo :
Le clochard Marseillais avait vraiment du mal à s'en remettre et marmonnait "allez allez.... allez alleeeez... alleeeeeeeez......." Il ne semblait pas être assez mûr pour être membre permanent de psg-muscles.com. Il ne ressentait aucune sympathie pour ce vieillard qui reniait ses origines marseillaises douteuses.
Alors, avec un dernier regard ému sur la flaque de pisse mousseuse reflétant cette peau emplie de sperme à la kro, José sortit son couteau-suisse Mac-Gyver et commença à découper le sexe de l'autre en s'aidant du coupe-ongle et du décapsuleur.
Tout était parfait en cette fin de nuit si douce et romantique...
Jaune pisse... Bleu PSG... Et encore un nouveau trophée !!

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Texte d'origine :
Voyant le jour poindre, elle arrêta sa contemplation. Il était temps de réagir.
Elle roula le corps inerte dans le tissu de velours. Elle poussa le cadavre vers une trappe dissimulée sous l’autel. Elle actionna un levier….maintenant le corps partait dans le flot saumâtre des égouts qui l’emporterait très loin…
Elle brûla les divers objets personnels du jeune homme dans le petit Godin toujours allumé dans la cuisine. Elle se doucha longuement, et partit se coucher pour jouir d’une longue grasse matinée aux doux rêves sanguinolents en s’adonnant à quelques plaisirs onanistes…

Version d'Aka :
Entendant le coq chanté, José entama "La Marseillaise" (triste ironie du sort), une main sur le coeur, mais il réagit qu'il était peut être temps de décamper.
Il tabassa encore un peu le cadavre de c'te 'culé de marseillais, le découpa à la tronçonneuse. Il souleva la cuvette des toilettes et jeta les bouts restant en beuglant "AUX CHIOTTES MARSEILLE, AUX CHIOTTES!"... maintenant ce pauvre con était retourné parmi les siens...
Il fit un bûcher où il brûla l'écharpe marseillaise et la recette de l'aïoli. Puis il s'en jeta encore une petite dans le nez, et partit mater la rediffusion de la coupe des coupes 1996, se tapant une queue en imaginant que, en fait, c'était la ligue des champions...