Une intro ? Pff... Obligé ? Non ? Ah cool...
Il paraît qu’une « Belle » est « bête » voir même « délicieusement conne » sous toutes mesures…
Et puis y’a la « Bête » qui sans être un cerveau optimisé, fait autre chose que chier et baiser !
Elle respire entre deux crachats sociétaux une certaine forme de panache, corps étranger à celle qui fait bander.
C’est pas que la « Bête » est moche mais… Elle a un faciès mythologique.
Son expression à la con, c’est de raconter des histoires ! Fausses où vraies… Honnêtement ? Rien à taper !
La « Belle » c’est la vide-couille de toutes ses histoires mais le genre vertueux qui écarte les cuisses comme on compose un sonnet.
Au final, c’est pas plus mal. Une « Belle-Bête », une « Bête-Pas-Belle » ça entretient pas le paradoxe, ça le sodomise !
Mais dans toute cette orgie vénale de l’égo, elles veulent la même chose. Des créatures qui s’assument, pas des trainées qui se résument.
Alors la « Belle » donne le droit à la « Bête » d’être un peu moins « moche » si on retient ses tentatives d’être un moins « conne ».
C’est le troc de l’âme. Une putain d’intolérance qui transforme la « Belle » et la « Bête » en la « Bête » et la « Belle ».
Ça ne revient pas au même ? Bah ça dépend très chers humanoïdes !
Tes la « Belle » où la « Bête » ?
Et puis y’a la « Bête » qui sans être un cerveau optimisé, fait autre chose que chier et baiser !
Elle respire entre deux crachats sociétaux une certaine forme de panache, corps étranger à celle qui fait bander.
C’est pas que la « Bête » est moche mais… Elle a un faciès mythologique.
Son expression à la con, c’est de raconter des histoires ! Fausses où vraies… Honnêtement ? Rien à taper !
La « Belle » c’est la vide-couille de toutes ses histoires mais le genre vertueux qui écarte les cuisses comme on compose un sonnet.
Au final, c’est pas plus mal. Une « Belle-Bête », une « Bête-Pas-Belle » ça entretient pas le paradoxe, ça le sodomise !
Mais dans toute cette orgie vénale de l’égo, elles veulent la même chose. Des créatures qui s’assument, pas des trainées qui se résument.
Alors la « Belle » donne le droit à la « Bête » d’être un peu moins « moche » si on retient ses tentatives d’être un moins « conne ».
C’est le troc de l’âme. Une putain d’intolérance qui transforme la « Belle » et la « Bête » en la « Bête » et la « Belle ».
Ça ne revient pas au même ? Bah ça dépend très chers humanoïdes !
Tes la « Belle » où la « Bête » ?