La Belle et la Bête

Le 12/09/2015
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par La-Pute-Phallique
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Thèmes / Débile / Absurde
Débarquer d'un trou de ver. Pondre toute une théorie fumeuse à partir d'un jeu de mot tiré par les cheveux. Snifer les interlignes pour probablement trouver l'inspiration nécessaire à l'écriture poussive de la vingtaine d'autres lignes. Il est étonnant qu'on ne trouve pas dans ce court extrait de pensée pure une vanne résultat d'un badtrip sur le mot "analphabète" , une digression sur l'ambiguïté pédophile latente dans le nom de la marque "Babybel", un paragraphe indigné sur l'expression "bête comme chou". Au delà du terrorisme donc, l'humorisme. On a le droit de dire que c'est misogyne ou on s'en bat les trompes de Fallope ? Vivement qu'une troupe de Femen, Zarofettes et Pussy Riot enragées s'occupent du cas du narrateur. Quant à l'auteur, s'il poste d'autres textes "dans le genre" on va finir par croire qu'il croit au premier degré alors que sur la Zone, on ne s'exprime pas en dessous du huit-sixième.
Une intro ? Pff... Obligé ? Non ? Ah cool...
Il paraît qu’une « Belle » est « bête » voir même « délicieusement conne » sous toutes mesures…

Et puis y’a la « Bête » qui sans être un cerveau optimisé, fait autre chose que chier et baiser !

Elle respire entre deux crachats sociétaux une certaine forme de panache, corps étranger à celle qui fait bander.

C’est pas que la « Bête » est moche mais… Elle a un faciès mythologique.

Son expression à la con, c’est de raconter des histoires ! Fausses où vraies… Honnêtement ? Rien à taper !

La « Belle » c’est la vide-couille de toutes ses histoires mais le genre vertueux qui écarte les cuisses comme on compose un sonnet.

Au final, c’est pas plus mal. Une « Belle-Bête », une « Bête-Pas-Belle » ça entretient pas le paradoxe, ça le sodomise !

Mais dans toute cette orgie vénale de l’égo, elles veulent la même chose. Des créatures qui s’assument, pas des trainées qui se résument.

Alors la « Belle » donne le droit à la « Bête » d’être un peu moins « moche » si on retient ses tentatives d’être un moins « conne ».

C’est le troc de l’âme. Une putain d’intolérance qui transforme la « Belle » et la « Bête » en la « Bête » et la « Belle ».

Ça ne revient pas au même ? Bah ça dépend très chers humanoïdes !

Tes la « Belle » où la « Bête » ?