Lieu commun n°000: "politiquement correct"

Le 11/03/2016
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par pascal dandois
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Thèmes / Débile / Disjoncte
Attention vous trouverez les propos de ce texte de Pascal Dandois choquants mais ne vous y trompez pas, c'est une ruse de sioux : subtilement disséminés tout au long de ce qui pourrait être qualifié de manifeste homophobe, misogyne, anticlérical à la première lecture, se trouvent des calembours et autres jeux de mot qui si vous n'y prenez pas garde vous occasionneront de graves lésions neuronales. Non ce texte n'est pas le contrecoup de la journée de la femme et du hashtag #JamaisSansElles, tant il est vrai que sans elles on ne volerait pas bien loin #huhu, non ce n'est pas un plaidoyer anti LGBT, c'est un attentat terroriste littéraire à vannes pourries cluster bombes pouvant provoquer des pandémies d'arrêts vasculaires cérébraux, des ruptures d'anévrismes en chaîne. On se demande de fait si Pascal Dandois n'appartient pas à la section expérimentale de Daesh : le terrorisme par l'humour, petit terrorist-lab embryonnaire créé pour creuser le potentiel du cynisme et de l'ironie pour retourner l'arme de ce chien d'infidèle d'adversaire qui ose rire de tout, contre lui-même. Plus concrètement, de manière plus terre à terre, ce texte qui déchainera des polémiques mais pour de mauvaises raisons malgré mes mises en garde, est une réponse directe à Curare- et ses vives revendications féministes ALORS QUE BON SANG § LA ZONE EST UN SITE DE LITT2RATURE KOI § UNE SORTE D4ANTICHAMBRE DE SALON DE TH2 § ET QUE DE FAIT QU4ON LE VEUILLE OU NON DERRI7RE LA MAJORIT2 DE NOS PSEUDOS SE CACHENT DES FEMMES ET DES SHEMALES § Maintenant puisque tout le monde veut occulter la chose, puisque tout le monde ne comprend pas la Zone est Role Play, Flood et Troll Friendly, on va voir s'écharper Pascal Dandois et Curare-, le profil gauche et le profil droit d'une même tête pensante pourtant : Julie Andrews dans le film Victor Victoria de Blake Edwards. Julie Andrews, qui rappelons-le, a fait le film le plus subversif, le plus transgressif qui soit explorant les limites de la misogynie et des stéréotypes primaires LGBT : Mary Poppins.
HISTOIRE D’Q

Quand, à-propos du scandale qui venait d’éclater, les journalistes vinrent pour avoir ses impressions, interviewer au Salon de la Salope, la célèbre mère maquerelle, alors qu’elle venait d’y faire une conférence sur l’utilisation du double-gode chez les gouines-transes, Dominique Strosse-Conne, ancienne ministre de la sodomie dans le gouvernement d’Edouard Killadure, ne put que répondre qu’elle n’en croyait pas ses oreilles.

Puis la nouvelle se rependit comme une traînée de foutre…
Le pape de la pipe, Jean-Cule II apprit la chose lors d’une cérémonie de mariage de gros (car ils sont addicts au cassoulet) pédés, au moment pile où à la fin de la messe les deux époux s’enfonçaient respectivement l’annulaire dans le fion en guise d’alliance pour entériner leur union sodomite (quand ils retirèrent leurs phalanges, deux « pfffff » de surprise, partirent de concert). En prenant connaissance de cette nouvelle, Jean-Cule II, alors qu’il devait baptiser par la même occasion, en les aspergeant, c’est à dire en leur éjaculant sur leur mignon minois comme il se doigte, les deux jolies petites salopes qui le suçaient, Jean-Cule II débanda aussitôt sous le choc, car sa surprise, fut terrible, grande, énorme, comme la bite de Kronos, sur laquelle, comme il est dit dans la Bitble, fut empalé par le cul, Le Christ. Ou bien, grande, énorme, comme l’entrée de la chatte de sa mère, notre mère à tous, la Sainte Putain, la Santa Puta.

Jean-cule II tout retourné en guise d’exorcisme général, récita pour lui-même et l’assemblée présente, deux « notre paire de couilles ».

Même les plus sceptiques durent admettre le fait, quand le document compromettant obtenu par un voyeur, fut diffusé dans son intégralité sur TV69 « la chaîne des chiennes en chaleur déchaînées », la vidéo montrait le président qui avouait l’ horreur, à son premier ministre, (à voir l’expression de ce dernier en entendant les dires terribles de son supérieur, on comprenait qu’il venait de réaliser aussitôt que le président n’avait jamais demandé à l’enculer, non plus qu’ à se faire enculer, et pas d’avantage de fist-fucking, et il réalisait également qu’ à chaque fois qu’il lui proposait de le sucer, le président remettait la fellation à plus tard sous prétexte qu’il devait aller se faire faire une branlette par sa petite sœur) « j’ai jamais trempé le biscuit » disait donc le chef du gouvernement, non sans honte, car horreur ! Si insoutenables soient-ils, les faits étaient désormais indéniables : « Le président de la Raie-publique, à 54 ans était puceau, « était », mais que dis-je, il « EST » car il l’est encore au moment ou j’écris … «PUCEAU ! ». (Pour couronner le tout il avoua en plus un peu plus tard qu’il n’avait jamais embrassée une fille sur la bouche).