Dès ce soir, un Être à la place d'un zeste de raison, sur la route, je me ferais reporter des vacuités pour ne pas me faire enculer par un chien malade, pour ne pas courir à la guillotine comme dans le récit de Jack et la nuit debout.
Pour La Zone, mes disques durs, externes comme internes, l'un comme l'autre, regorgent de nouveaux textes brûlants : chroniques, adaptables en série automatisée, d'une Saint Con annoncée pour 2017 ; l'adaptation étant à ranger du côté de ces listes darwiniennes et évolutionnistes que j'ai créé pour mes auto-fistfucking et pour ces propriétaires de scooters pourris, pétarardants sous ma fenêtre à trois heures du matin alors que je zézayais sur le papier du carnet de moleskine des rondelles foireuses pour pallier la panne d'inspiration quotidienne ; puisque je n'ai vraiment rien à dire et à écrire...
Je roulerais, dès midi pétante, le long de ces demeures bourgeoises qui n'existent déjà plus, maquillé comme un mardi-gras avec le masque de Scream et dans le coffre des jerricanes incendiaires : je leur prouverais que les bûchers de la Saint Con brûlent de tout bois ; et je serrerais précieusement ces flacons de sérum transformant les gens en zombies, fabriqués dans les laboratoires clandestins de Patagonie sous le fouet du contre-maître pour éviter les rébellions pertinentes.
Ce matin, oui je suis chagrin : une vraie incarnation de Keren Ann remixée sous la licence Marilyn Manson ; ce matin encore, tout a pris une teinte dépressive à la Curare qui « a crevé la couche d'ozone » par un vent distingué comme mes salutations que je vous adresse en ce matin dégueulasse...
Je roulerais, dès midi pétante, le long de ces demeures bourgeoises qui n'existent déjà plus, maquillé comme un mardi-gras avec le masque de Scream et dans le coffre des jerricanes incendiaires : je leur prouverais que les bûchers de la Saint Con brûlent de tout bois ; et je serrerais précieusement ces flacons de sérum transformant les gens en zombies, fabriqués dans les laboratoires clandestins de Patagonie sous le fouet du contre-maître pour éviter les rébellions pertinentes.
Ce matin, oui je suis chagrin : une vraie incarnation de Keren Ann remixée sous la licence Marilyn Manson ; ce matin encore, tout a pris une teinte dépressive à la Curare qui « a crevé la couche d'ozone » par un vent distingué comme mes salutations que je vous adresse en ce matin dégueulasse...