LES DERNIERS X-MEN

Le 30/06/2016
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par pascal dandois
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Rubriques / Les derniers X-Men
C'est l'été et les hormones des zonards tournent à plein régime. Ici, Pascal Dandois, nous fait un reboot de licence total du multivers Marvel des Xmen en mode parodie érotisante. C'est probablement une contribution à la semaine #TDM que j'ai loupé puisque ça semble dans la thématique, cependant Pascal Dandois tel le roi Midas convertit tout ce qu'il touche en or. Au final, c'est concis, ça en vient à l'essentiel de la licence et à l'essentiel de la vie tout court, en toute modestie. Je trouve ce texte sublime dans le genre troll litt. Rappelons nous cependant que quelque soit la Bible narrative d'une licence, elle est forcément, quoi qu'il en soit, un sous-ensemble possible de la réalité et non un substitut. Amis du soir, bonsoir.
Pénix, le dernier mutant en liste issu de Matricia, (Matricia la mutante putain qui conçoit à partir de n’importe quelle cellule vivante ou morte, Matricia la pondeuse sans fins), lança son érection extraordinaire pouvant couvrir des distances inconcevables, et, pouvant même traverser des trous de vers, la lança dans tous les continuums possibles et impossibles. Ceci pour mettre désespérément la bite, (et pour enfin l’atteindre), sur le vagin de la Supra, une mutante qui n’existe que dans une seule et unique probabilité inter-démentionnelle. C’était le seul vagin, d’après le Devineur, à contenir le bon ovule, le seul ovocyte compatible potentiellement avec le sperme de Pénix, le seul à pouvoir générer l’embryon Salvateur, celui qui sauvera la surhumanité de la dégénérescence fatale de ses gènes, provoquée par ce mutant nommé Pourrisseur, dont l’existence, d’avantage même que le contact direct, provoquera donc la gangrène des patrimoines génétiques totaux. Et, mais, adoncques, alors que Pénix pensait avoir finalement atteint de sa bite, le but, avoir trouver au détour d’un infini trou noir, le vagin de la Supra, alors qu’il s’apprêtait ultimement à lâcher un bon coup la purée, sans même prendre le temps de quelque frottement dans cette méga-chatte ensanglantée par son intrusion, une purée qu’il s’allait lâcher en tant que puceau suprême, lâcher la purée « ultimement », car il n’avait droit, n’était capable que d’une seule éjaculation, sa bite fut en fait interceptée par le cloaque rectal et immonde, du Bad-pédé en personne, le Bad-pédé envoyé là par ce mutant qui ne dit pas son nom, et dont le superpouvoir est juste celui de vous foutre incessamment des bâtons dans les roues, celui de vous faire chier à n’en plus finir, dont la capacité de casse-couille, d’emmerdeur est incommensurable…. Le Bad-pédé est un mutant dont le cul est rempli à ras bord de merdes immondes qui généreront au contact du foutre de Pénix, une race putride, mi- mutante et ignoble, mi- déjections canines, une race qui irait irrémédiablement tout saloper, à moins que, peut-être reste-il une chance à l’univers de ne pas devenir l’unimerde, si, et à moins que, le Bouffe-merde n’atteigne le zénith de ses superpouvoirs, le Bouffe-merde un mutant apte à digérer toutes les saloperies possibles et imaginables, impossibles, inimaginables, à moins disais-je, que le Bouffe-merde n’y fasse quelque chose en avalant tout cela…à voir… voire, à suivre…