Les « NUSES »

Le 05/10/2016
-
par pascal dandois
-
Thèmes / Obscur / Psychopathologique
Pascal Dandois en postant ce texte ajoute qu'il est inspiré par la photo sur un petit téléphone portable, d’une planche de dessins envoyée par un de ses amis, l’artiste Vincent Roussillat (OMG encore un Montpellierain, c'est une vraie OPA). Il est prévu dans la prochaine version du site (engagement de campagne validé par Dourak Smerdiakov) de mettre plus en avant les auteurs qui le souhaitent, de rajouter des liens vers leurs blogs et pages personnels, aussi je me permets de mettre ces informations dans la présentation. Il est assez clair que c'est de la pub en vérité et que ce n'est pas bien vu sur la Zone en règle générale. Quoi qu'il en soit, à vous de juger si le texte met en valeur le travail de ce dessinateur ou le dessert. Quant au texte en lui-même, c'est du Pascal Dandois ISO9001. S'attendre donc à des digressions oniriques, de bonnes idées sacrifiées en un paragraphe, le tout saupoudré de trash hardcore et malheureusement de discours politiques dégueulasses d'endoctrinement pro-calembours et jeux de mots dignes des pires délires des doubleurs français de Ken le Survivant. De véritables attaques Hokuto de cuisine dans nos pauvres lobes frontaux de lecteurs. Ne venez pas vous plaindre si vos points vitaux sont touchés et si votre corps explose comme dans le manga culte du club Dorothée.
En vérité, se dit Vincent, sans doute ne devrais-je pas déféquer la porte des chiottes grande ouverte, car évidement, comme je viens de le dire, ça laisse « la porte grande ouverte », ouverte à tout, à tout les excès, les excès imaginatifs ici en l’occurrence, et surement que je devrais encore moins y dessiner.
Cependant que s’expulsent de mon fondement mes selles, mon cerveau également se met à déféquer et c’est ainsi que se forment corporellement, mes « celles » (Victor Hugo n’a-t-il pas dit que les jeux de mots sont les pets de l’âme, ou un truc dans le genre ?) « Celles », c'est-à-dire : « celles-là », c’est-à-dire : mes femelles surnaturelles.

Elles ne disent rien, tout en parlant franchement sans pourtant bouger les lèvres, qu’elles soient labiales ou vaginales. « Voilà mes fesses » me montre une callipyge ; et je sais que c’est pour m’exciter autant que pour se moquer de mon pauvre cul personnel, mais je me demande si dans mon fantasme graphique, j’ai bien pris soin de leurs attribuer à mes drôles de croquis, les orifices sexuels qu’il faut (au fond, elles ne sont que des dessins et que pourraient-elles faire d’un anus, sinon un trou dans du papier (même pas hygiénique) ?). Une autre veut s’offrir à moi, proprement sur un plateau, car elle se donne en morceaux ma Venus demi-lot. Dans son amas charnel, lui manque t-il des bouts (à part le mien) ?

Elles ne s’embarrassent pas des règles nos demoiselles, que ce soit celles de la décence ou de la raison, d’ailleurs, nulle tache de sang ne vient souiller ma feuille de dessin, qu’il soit, ce sang, d’origine menstruel, ou la conséquence d’un numéro raté de femme coupée, pratiqué par un illusionniste devenu tueur en série par inadvertance.

Leurs étrangetés, leurs bizarres capacités, cela ne ferait-il pas d’elles des déesses ? Celle en morceaux à l’air vivante, bien que dans un état inadéquat pour la vie, elle serait immortelle, si elle existait concrètement. En fait, si elles toutes existent, en même temps elles n’existent pas, elles sont fictionnelles, un peu comme Dieu.

Me renvoie t-elle la balle, celle qui m’observe ? C’est le voyeur qui se fait mater en train de chier, par sa création, et en même temps, qui se reluque lui-même, comme si son esprit s’était barrer pour s’auto-imaginer dans une situation gênante, et en plus, la vision est envoyée à l’auteur qui s’improvise alter-égo de l’artiste, pour écrire ces conneries. Bon sang! Mais, on est tous combien là dedans, dans tes chiottes Vincent?

Et puis, à part, il y a cette… plus haut je parlais de déesses, mais pour « Hell » j’utiliserai le terme « démone ». C’est étrange parfois ce malaise qu’on peut créer avec un simple crayon… Cela tient t-il au fait qu’elle a un je ne sais quoi de petite fille atteinte d’une tare immonde et indéterminée, qui la place dans une catégorie unique ? Serait-elle d’un genre « Antéchristine » ou « Fille de Satanne » en tout cas l’artiste, celle-ci, sans nul doute, il l’a belle et bien chiée, « accouchiée », et au moment de sa naissance, son fion (celui du créateur) devait avoir tout du cloaque glauque.

Et si je mettais des bulles de bédé sur le dessin (des bulles qui concurrenceront dans leurs rondeurs toutes ces poitrines nichonnières, généreuses en laitance spermaticide, ou je ne saurais dire quelle substance spirituelle et/ou spiritueuse, les alcools forts, y serait-ils pour quelque chose… ? eux qui permettent au monstres, aux goules, aux succubes, de se faire baiser. En effet, combien d’horreurs furent générées par l’abus sexuel des alcooliques, dans leurs sommeils éthyliques) ? Et si je rajoutais des bulles, ou du texte comme… par exemple :

« Je me sucerai moi-même la fente du bout de ma langue bifide mon Maître. »

« Mes yeux torves n’ont d’égal que les œufs noirs émergeant de tes boyaux. »

« C’est par le déchirement interne de mes zones génitales que je ressentirais l’orgasme de la mort. »

« Quand j’aurais plongé la main dans la matrice de ma consœur, jusqu’à mon épaule, alors je saurais qu’elle à atteint les nirvanas de la douleur »

« Laisses-moi nettoyer ton petit trou sale avec ma langue mon cher amour. »

« Viens, en écartelant mon nombril nauséabond (qui sent le sperme rance) tu verra le fœtus que tu n’es pas encore. »

« Suces mes seins dont le lait à nourri ces Saints oubliés qui ont fini dans l’enfer artificiel. »

« Offres moi, mon chéri, ce membre fantôme que t’as légué un eunuque suicidaire. »

« Viens bien au fond ! Empales moi jusqu’à la glotte ! »

« Ejacules mon Âme ! Vides-toi les couilles jusqu’au sang ! »

« Noies-moi dans ton foutre intarissable !

« Que ta verge n’ai de cesse, très cher, même si l’intérieur de ma chatte à la longue, devient comme du papier de verre. »

« Avales toute cette mouille que j’ai conçue au préalable pour toi. »

« Prends-moi ! Et ne me rends jamais ! »

« Quand tu rouvris ce catalogue de lingerie, tu fus très surpris de constater que sur les photos, désormais, tous les mannequins étaient enceintes…et puis tu te souvins, c’est vrai que l’autre jour, tu avais éjaculé dessus les suite d’une masturbation improvisée, et le papier du magasine (t’en souviens tu ?), avait absorbé ton sperme comme une éponge, et il avait même émis, il te semble, comme un léger bruit de succion. »

Et voila que je me mets pour finir à fantasmer quelque micro- nouvelle « FANTASTICO-PORNO »
Le fumier aurait dû se méfier, il l’a violée cette jolie jeune femme surnommée, « la hyène », puis dédaigneux et rigolard, il lui a tourné le dos. Mais ce qu’il ignore, c’est une petite particularité, que possède la Hyène, et qu’il va connaître. D’ailleurs la Hyène en va même jusqu’à espérer qu’on la viole rien que pour profiter, pour user justement, de cette particularité, de son « petit » don. Bon disons le, la Hyène, elle a un clitoris qui d’aspect normal, apparemment, n’en va pas moins jusqu’à prendre des proportions plus que phalliques quand elle en ressent le désir sauvage, et je vous garantis que le mec, ce salaud, il va le sentir passer…