L'Exilé du Trégor #InspirationAmibe

Le 01/05/2017
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par Clacker
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Dossiers / Écrire quand vous avez l'inspiration d'une amibe
Après cette fin de St-Con haletante, voici le premier texte du dossier "écrire quand vous avez l'inspiration d'une amibie" avec des mots tirés aléatoirement "Baïkonour, déliquescence, déruraliser, fébronie, pitchounettes, quartz, rouar, sialogogue, trégor, éprouvé." Si toi aussi tu souhaites participer, plus d'informations ici : http://forum.lazone.org/index.php?topic=3575 . Pour ce qui est du texte, un grand classique de Clacker qui nous fait partager une fois de plus une scène de cul saupoudrée de crack. Miam !
Elle sortit du pieux et rejoignit la salle de bain cradingue en dandinant son croupion osseux. Moi je la regardai, tout affalé sur les punaises de lit, la main posée sur le chibre. Après s'être récurée le vagin, elle se planta devant la glace et se regarda la tronche avec acribologie. Elle s'éclata quelques pustules, puis revint vers moi. Bon sang, on aurait dit que ses muscles tentaient de s'enfuir. Cette petite était tellement sucée par la came qu'elle partait en déliquescence à seulement vingt-trois ans. Dieu seul sait comment elle supportait l'attraction terrestre. L'une de ces pitchounettes juste un peu trop conne pour éviter de vendre son âme aux chicots grimaçant d'un dealer. C'est ça le progrès, réjouissons-nous de déruraliser à tour de bras les ravissantes paysannes.
Je la tirai par le bras - pas trop fort, de peur de lui arracher - et la recouchai contre moi. Elle me titilla les boursettes d'une main, et de l'autre ouvrit le tiroir de la table de chevet pour en sortir son matos.
- T'en veux ? dit-elle.
- Faudrait me couper les couilles pour que je j'accepte de taper cette merde.
Elle voulait me zondomiser, et moi je voulais la sodomiser. Voilà ce qui différencie l'homme de la femme. M'enfin celle-là acceptait tout ce que je lui faisais, une vraie Fébronie.
J'attrapai mon propre matos, la boite de préservatifs, ceux-là qui sont annelés pour soit-disant décupler le plaisir. La gamine, avenante, me malaxa le lombric quelques secondes, et j'en enfilai un. Son con sécrètait encore cette divine substance sialogogue dont j'aimais tant me délecter. Je lui fis un bilan complet : palpations en règle, biopsie et laryngoscopie. J'étais encore en train de l'estoquer quand le souteneur a ouvert la porte. Je voulais finir mon affaire mais il commença à me danser la pyrrhique, menaçant de me planter son beau couteau à manche de quartz.
- Lache Nadejda maintenant ! T'as eu ton heure !
Je décollai le doigt du clito de Nadejda et lui adressai un beau doigt d'honneur humide.
- ROUAR !!! qu'il fit. Sans blague, il s'était mis à rugir comme un tigre du bengale.
Il s'appelait Gennadi mais tout le monde avait pris l'habitude de le sobriquer "gandon" (capote), et ça le rendait furax.
- Gandon, tu vois pas que Nadejda et moi-même atteignons un nombre de zeptoteslas encore jamais mesuré entre deux être vivants ?! hurlais-je. Appelle le Guinness Book enfoiré !
Gennadi décida de se barrer, hors de lui. Il me le ferait payer plus tard.
J'avais correctement éprouvé la petite Nadedja et je me sentais léger comme un nouveau-né. Je me rhabillai, lâchai quelques roubles sur le plumard, et m'en allai par les rues de Baïkonour. Je fis le tour du thier près de l'église, tirai ma révérence au révérend, et rentrai dans ma demeure, après avoir raflé tout son samogon à mon voisin.